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magouille et compagnie - Page 2223

  • Gender : la théorie se confronte à la réalité

    Malheureusement la folie des Hommes n’a pas de limite. Le Figaro présente un cas administratif « complexe » sans même remettre en cause les principes absurdes à l’origine de ce désastre.

    «Voilà qui ne va pas nous simplifier la tâche!», soupire Maryvonne Blondin. Avec sa collègue Michèle Meunier, la sénatrice socialiste dirige un groupe de travail sur l’identité de genre. «Nous réfléchissons depuis quelques mois à une loi qui faciliterait le changement d’état civil pour les transexuels, explique-t-elle. Comme en Argentine, en Allemagne ou en Espagne, il s’agirait de permettre à ces personnes d’obtenir de nouveaux papiers, correspondant à leur physique, sans avoir à se soumettre à une opération chirurgicale».

    Mais au fil de leurs auditions, les sénateurs découvrent les difficultés du dossier… Ainsi, ce casse-tête qui tourmente les services de l’état civil de Berlin. Début 2013, selon une note interne datant d’avril, révélée par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, «un homme a donné naissance à un enfant». Il s’agissait en réalité d’un transexuel: né femme, doté d’un appareil génital féminin, il se définit cependant comme homme et, après avoir suivi un traitement hormonal durant des années, s’était fait enregistrer comme tel à l’état civil de sa mairie. «Il a clairement l’apparence d’un homme, témoigne Anja Kopfinger, une élue écologiste. Il porte un bouc et n’a pas de seins».

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    http://www.contre-info.com/

  • Le site de Valeurs Actuelles a t-il été piraté ?

    Lu ici

    "Alors que le journal Valeurs actuelles vient de sortir une information qui pourrait bien coûter sa tête à la ministre de la justice (cette dernière avait essayer d’utiliser ses contacts politiques au sein du PS afin d’exiger l’annulation d’une condamnation pour complicité de vol de son fils), on constate étrangement ce matin que le site internet de l’hebdomadaire n’est plus en service. De quoi s’inquiéter sur un éventuel piratage destiné à tuer cette affaire dans l’œuf… Démocratie en danger ?

    Comme nous le relations hier, Valeurs actuelles vient de sortir un document hallucinant : une lettre de Christiane Taubira datée du 5 février 2001, où celle qui était alors député guyanaise demande à celle qui était alors ministre de la justice, Marylise Lebranchu, de faire en sorte de nettoyer le casier judiciaire de son fils condamné par la justice pour complicité de vol, en faisant tout simplement annuler la condamnation car « à chaque fois qu’il subit un contrôle d’identité, la consultation du fichier provoque sa conduite au commissariat. » 

    Autrement dit, un membre de la majorité parlementaire demandait à son ministre de la justice de faire sauter, comme un PV, la condamnation de son fiston !! Comme au temps de la monarchie ou comme cela se passe dans certains régimes corrompus…

    Que la ministre de la justice ait essayé d’enfreindre la sacro-sainte règle démocratique de la séparation des pouvoirs devrait faire la Une de tous les journaux et devrait forcer François Hollande à virer immédiatement sa garde des Sceaux. Le fait que l’on en soit loin prouve l’état délabré de notre démocratie, où un ministre régalien peut avoir essayé d’influer la justice au profit d’un membre de sa famille sans créer d’affaire d’état !"

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  • Les libertés éducatives et l'objection de la conscience sont les vecteurs de la reconstruction d'une société juste

    Thibaud Collin intervient à l'Université d'été de La Manif Pour Tous. Voici son intervention :

    C"Mes chers amis, Vous me permettrez de vous appeler ainsi car ce qui nous réunit tous ce matin est un amour commun, celui du bien de notre pays. Malgré nos différences, nous partageons une même détermination : la recherche du bien de notre société passe par la recherche du bien de l’être humain, du bien intégral de chaque être humain.

    Ce qui nous réunit ce matin malgré nos différences, est d’avoir partagé une même aventure : l’opposition résolue et pacifique à une loi inique. Nous avons perdu la bataille législative. Beaucoup s’interrogent. Que faire ? Où orienter nos forces ? Questions auxquelles diverses réponses légitimes peuvent être apportées. La lutte contre cette loi a été l’occasion de nombreuses prises de conscience qu’il s’agit maintenant de déployer dans leurs tenants et aboutissants. Il s'agit d'identifier les sources du mouvement qui a porté cette loi car là gisent les raisons de notre échec législatif. Il s'agit d'y reconnaître autant de chantiers à entreprendre, de défis à relever, dès aujourd'hui.

    Je voudrais succinctement en pointer trois sans prétendre être exhaustif : La première source est, à mon sens, une vision tronquée de la personne, vision selon laquelle le corps sexué n’est qu’un matériau de la liberté individuelle elle-même soumise à des désirs indéfinis. C'est en retrouvant une juste intelligence de l’unité de la personne sexuée que chacun d'entre nous pourra contribuer au bien de notre pays et des personnes qui y habitent. Des décennies de mentalité contraceptive ont occulté aux yeux de beaucoup l’union essentielle des trois dimensions de la sexualité humaine : dimensions relationnelle (don réciproque des époux), jouissive (plaisir et épanouissement personnel) et procréative (transmission de la vie et accueil de l'enfant fruit de ce don mutuel). Éduquer à l’intégration de ces trois dimensions, témoigner qu’il est possible et heureux de la vivre, n’est-ce pas une tâche certes exigeante mais exaltante ? La revendication au mariage et la filiation pour les personnes ayant une orientation homosexuelle a été portée et légitimée par une vision et une pratique éclatée de ce qui se joue dans l'union conjugale. Peut-être n'avons-nous pas assez mis au centre de nos discours des derniers mois ce thème de la conjugalité comme étant le lieu d'où la différence sexuelle reçoit en plénitude toute sa vérité. Notre échec nous invite à ouvrir les yeux. Pourquoi ne pas investir notre énergie dans ses multiples associations qui depuis de longues années courageusement et modestement se consacrent à l'éducation affective et sexuelle ?

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  • Quand j’entends le mot « kulture », je sors ma kalach ! par Pieter KERSTENS

    C’est effectivement ce que doivent penser les habitants de la Canebière. Parce qu’en 2013, Marseille est la capitale européenne de la culture … criminelle ! Déjà une quinzaine de règlements de compte depuis la Saint-Sylvestre et aucune amélioration en vue d’ici la trêve des confiseurs…
    Le ministre de l’Intérieur a bien déversé sa haine envers les mouvements nationalistes, envers MM. Soral et Dieudonné et aussi contre le F.N, lors de l’université d’été du P.S à La Rochelle, mais il ne s’est pas trop longtemps appesanti sur la vague de règlements de compte et de criminalité qui non seulement déferle sur la cité phocéenne, mais affecte aussi d’autres villes en France.
    Manuel Valls, ce fervent amateur de gazage des femmes, des enfants et des vieillards, n’a pas encore démontré ses compétences quant à combattre la racaille et la pègre immigrée, coupables d’assassinats, de viols, d’agressions et de véhicules incendiés dans tout l’Hexagone. 
    « La délinquance baisse à Marseille, dans tous les domaines » affirmait Pinocchio-Valls le 22 août dernier.  On souhaiterait moins de bla-bla et plus de résultats.
    Pour la majorité des citoyens « la sécurité, c’est la première des libertés » et ils exigent de pouvoir se déplacer sans être attaqués par des crapules à chaque coin de rue, dans le train ou dans le métro.
    Le danger ne vient pas de l’extrême-droite, des fââââchistes ou des partis nationalistes, mais des ministres qui adoubent les criminels d’une culture de l’excuse, pardonnent aux délinquants leurs méfaits sur les victimes et incitent les juges à une complaisance suspecte.
    Il faut mettre le holà à cette dérive imbécile, dictée par des idéologues au service de doctrines hérétiques, qui tentent de nous convaincre qu’il s’agit d’un « sentiment d’insécurité » ou encore d’un « ressenti ».
    « La mort pour les assassins. La vie pour les innocents ! »
  • Le Haut Conseil à l'égalité prône l'avortement. Il y a une égalité entre enfant vivants et tués in utero ?

    En fait, les acteurs de la culture de mort pâlissent de jalousie devant les sites internet pro-vie et veulent mettre en place un site concurrent. Avec l'argent du contribuable :

    "Le Haut Conseil à l'égalité a recommandé la création d'un site institutionnel "clair et volontariste en faveur du droit à l'avortement" pour contrebalancer la forte influence des anti-IVG sur Internet, dans un rapport qui doit être remis vendredi à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes. Les sites anti-avortement à l'apparence "neutre, voire institutionnelle" délivrant une information "fallacieuse" sont les premiers référencés et les plus visibles sur Internet, rapporte le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh), qui souligne que l'accès à une information de qualité est "un droit non garanti".

    Dans sa lettre qui mandatait le Haut Conseil en avril pour dresser un état des lieux de l'information dans ce domaine, la ministre des Droits des femmes avait estimé que "l'information publique sur l'IVG (était) trop peu visible alors même que les sites internet délivrant une information biaisée, voire hostile à la pratique de l'IVG, apparaissent en tête des classements de consultations sur les moteurs de recherche". Le rapport, dont l'Agence France-Presse a eu connaissance, recommande de mettre en place un site internet institutionnel destiné aux femmes et professionnels, un numéro national "guichet unique" anonyme et gratuit, une équipe de veille et d'animation et, enfin, d'organiser la première campagne nationale d'information dévolue notamment à la question du droit à l'avortement". 

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  • Geneviève Fioraso : Marcel Proust au bûcher !

    D'abord le globish à l'université française. Maintenant les coups bas portés aux classes préparatoires. Trop, c'est trop, s'insurge Jean-Paul Brighelli.

     

    Geneviève Fioraso aime Proust, dit-elle. Mais sa récente loi sur les universités permet désormais (et recommande même) de l'enseigner en anglais - pardon, in english. Plus de Temps retrouvé mais, au choix, The Past recaptured, Time regained ou Finding Time again : si c'est ainsi qu'elle traite ceux qu'elle aime, que fait-elle à ceux qu'elle déteste ?
    Parlez-vous franglais ? demandait il y a quarante ans le regretté Etiemble. Grâce au PS, nous savons désormais ce qu'est le progrès : ce qu'un grand universitaire mettait à l'interrogatif (angoissé) en 1964 est passé à l'affirmatif en 2013.
    Nicolas Sarkozy s'était déconsidéré jadis en une phrase malheureuse sur La princesse de Clèves. Mais au moins, tout américanophile qu'il fût, il ne préconisait pas de traduire en globish - le nom nouveau du babélien que dénonçait jadis Etiemble - le roman de Madame de Lafayette. Devrons-nous, comme on l'a fait il y a sept ans pour la malheureuse amante du duc de Nemours, organiser des lectures publiques (ou clandestines) de Remembrance of things past ou de In search of lost time - in french in the text ? 
    Que sait madame Fioraso ? 
    Le français utilisé dans les universités françaises n'attirerait pas, paraît-il, "les étudiants de pays émergents comme la Corée du Sud et l'Inde. Et nous nous retrouverons à cinq à discuter de Proust autour d'une table", a déclaré madame Fioraso. Comme l'a très bien remarqué Antoine Compagnon, la Corée du Sud sera contente d'être classée dans les pays émergents. Mais Madame Fioraso ne fait ni tache ni exception : elle appartient à un gouvernement dont le chef pense que la Macédoine s'appelle la Macédonie, et que les Japonais tués dans un site gazier algérien sont chinois. Sait-elle seulement assez d'anglais pour reconnaître, derrière l'énigmatique titre Cities of the plain, le Sodome et Gomorrhe de Proust ? Sait-elle qu'un colloque Proust attire non pas cinq mais cinq cents personnes - qui, anglaises ou javanaises, parlent de la Recherche en français - avec ou sans accent ? En fait, que sait-elle ?
    Les étrangers qui viennent étudier chez nous veulent apprendre le français, la culture française, la séduction à la française - et les mots pour le dire. Pas pour avaler un succédané de ce qu'ils ont à la maison. Ils viennent pour la part d'excellence qui nous reste - pas pour se noyer dans le flux médiocre d'une pensée normalisée, mondialisée, un prêt-à-penser aussi insipide que le prêt-à-vomir de chez McDo.
    Tout cela ne serait qu'anecdotes si l'on ne flairait, dans ce gouvernement plus encore que dans le précédent, un mépris global pour la culture telle qu'elle s'enseigne. Est-ce un hasard s'il n'y a aucun(e) littéraire au cabinet du ministre de l'Enseignement supérieur (qui préfère se faire appeler "la ministre", les fautes de français caressent les féministes dans le sens du poil) ? Quand on prêche l'enseignement de l'ignorance, comme disait jadis si justement Jean-Claude Michéa, c'est que l'on a une idée derrière la tête - et cette idée, c'est que plus personne, à terme, ne décrypte Albertine disparue, pardon : The Sweat Cheat gone.
    Détruire les prépas
    Autre détail, mais le diable est dans les détails : Geneviève Fioraso veut faciliter, prétend-elle, l'accès aux études supérieures des moins fortunés ; mais elle choisit d'imposer aux élèves de classes prépas, y compris scientifiques, ce dernier refuge des bons élèves, de quelque milieu qu'ils viennent, le paiement de droits d'inscription dans une université qu'ils ne fréquentent pas - et ce n'est pas rien : au minimum 460 euros si on prend en compte la sécurité sociale étudiante, ce qui fera entrer 9 millions d'euros dans les caisses de l'État. Byzance !
    On m'objectera que les étudiants vraiment pauvres sont boursiers et ne paient pas de droits d'inscription, que cette décision ne taxe que les riches, bien fait pour eux, bla-bla-bla... Mais un couple de fonctionnaires moyens n'a pas accès aux bourses, et ce qu'ils gagnent leur permet tout juste d'acheter les livres de classe de leurs enfants - qui ne sont pas gratuits dans le supérieur. Ce ne sont plus les riches que l'on ponctionne aujourd'hui, mais les classes moyennes, éternelles vaches à lait d'un PS convaincu qu'en tapant sur ceux qui composaient jadis son fonds électoral, à commencer par les enseignants, ils continueront à voter pour lui : d'aucuns n'ont rien compris à ce qui s'est passé en 2002, ni rien prévu de ce qui se passera en 2017.
    Par ailleurs, les classes prépa sont, à court terme, incitées à se fondre dans les universités, qui sont si bien des gages d'excellence qu'elles apparaissent à peine, et fort mal placées, dans le dernier classement de Shanghai - que Geneviève Fioraso critique à haute voix, mais dont elle se soucie fort. En France, nous n'avons pas de pétrole, mais nous avons une idée - et une seule : détruire ce qui fonctionne, et pour des raisons strictement idéologiques. Les prépas sont le dernier refuge de l'excellence systématique, de l'élitisme bien compris, le dernier lieu qui permet de hausser les élèves au plus haut de ce qu'ils valent - le seul souci d'une pédagogie intelligente, pas de cette "pédagogogie" à bons sentiments, au pouvoir dans l'Éducation depuis une trentaine d'années. En assommant aujourd'hui les prépas, ce n'est plus seulement Mozart qu'on assassine, ce sont les cadres du prochain demi-siècle que l'on stérilise.
    Peu importe : nous les importerons de Chine...
    Le silence de Vincent Peillon 
    Il est au passage curieux que ce soit le ministre de l'Enseignement supérieur qui décide d'éradiquer à terme les classes préparatoires, sises dans des lycées, et que Vincent Peillon s'abîme dans un profond silence... On savait déjà que la rue de Grenelle commençait et finissait à Bercy. Dorénavant, il faudra également penser qu'elle se confond avec la rue Descartes. Mais tout cela, c'était la cuisine interne de l'Éducation - un domaine dont les Français se soucient assez peu, malgré l'urgence. Les enseignants sont trop payés, trop choyés, trop considérés, trop privilégiés, c'est bien connu.
    Dois-je rappeler à la gauche que tant des siens furent par le passé de vrais intellectuels - et de bons élèves ? Que Blum avait publié dans sa jeunesse un Stendhal et le beylisme qui rappelle que l'intelligence est la condition nécessaire du bonheur ? Que les khâgnes et les Écoles normales supérieures (dont sortait Blum, justement) furent longtemps le laboratoire des minorités agissantes ? Mais d'où sortent les conseillers de Geneviève Fioraso ? Un seul d'entre eux est titulaire du capes, aucun apparemment n'a fréquenté l'agrégation. Après tout, on ne méprise bien que ce que l'on ne connaît pas.
    Last but not least, comme il faut désormais s'habituer à dire : cette année, je travaillerai (avec mes prépas...) sur Un amour de Swann. Et savez-vous comment les Anglo-Américains appellent ce livre, Madame le ministre ? Eh bien, Un amour de Swann, tout simplement. Ils viennent à nous quand vous prétendez aller à eux.

     

     

  • 911, le film était un montage vidéo.

    En faisant une analyse détaillée du film de l’un des avions qui percute l’un des tours, on peut voir que l’aile de l’avion passe derrière l’immeuble voisin pendant une fraction de seconde. Il s’agit donc bien d’un montage vidéo du type Jurassic Park.

  • Femen : le ballon de baudruche explose

    Lu ici :

    "Des feux follets médiatiques. Des Icare ayant papillonné trop près d'un miroir brûlant, grillées par leur Narcisse reflétant. Un an après leur arrivée en France et le battage autour de leurs «happenings» sein nus, le mouvement des Femen se disloque. Il «a fait pschitt», dit l'une des leurs, «discrédité à l'extérieur, explosé à l'intérieur». Depuis qu'elles sont officiellement timbrées, en prenant la figure le 16 juillet dernier de la Marianne française sur les vignettes postales, leur chute semble même s'être précipitée. Après le temps des interrogations sur le mystère des origines et des amitiés troubles de ce réseau ukrainien frayant avec le pouvoir russe, sur leurs méthodes guerrières, avec leur centre d'entraînement au combat en plein Paris, est venu le temps des soupçons avec l'opacité de leur financement. Puis c'est l'heure du discrédit et des accusations, au sein même de leurs rangs, qui a sonné: elles n'auraient qu'un vernis d'idéologie, plus attirées par leur nombre d'occurrences sur Google et sur papier glacé que par la rage de leur «laïcité et liberté» à crier au monde, ces féministes articulées depuis l'Ukraine par un homme, un gourou, Viktor Svyatski.

    [...] L'imposture vient de conduire la branche belge des Femen à annoncer sa dissolution. [...] Un tourment n'arrivant jamais seul, la justice française rattrape le mouvement ce vendredi. Neuf Femen - dont Inna Chevtchenko, leader du groupe - comparaissent devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour «dégradations dans un lieu de culte en réunion», après leur action dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris le 12 février dernier. [...] Elles sont défendues par Me Patrick Klugman, avocat qui a été le conseil de SOS Racisme et de la féministe Caroline Fourest, proche des Femen. Laquelle les aurait «lâchées sur ce coup-là», affirme une ancienne Femen, «à cause de son amitié pour le maire de Paris, Bertrand Delanoë, et Manuel Valls», qui avaient condamné cette action."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Plainte contre Trierweiler : on attend la suite

    Beaucoup de nos lecteurs nous interrogent pour savoir où en est la plainte de Xavier Kemlin contre Valérie Trierweiler que nous évoquions dans un article du 18 juillet (EXCLUSIF: Trierweiler convoquée chez le juge en septembre) sur les informations données par le plaignant lui-même.
    À ce jour, selon ses propres affirmations, Xavier Kemlin est toujours dans l’attente de cette convocation à laquelle il devrait également se rendre et à l’issue de laquelle la dame en question pourrait se voir mise en examen. Une convocation apparemment toujours prévue pour septembre.
    Mais devant le silence radio sur cette affaire, il est tout de même permis de s’interroger.
    Depuis qu’il a déclaré la plainte recevable, le juge subit-il des pressions ou des intimidations déguisées ?...
    Sinon, quelles sont les raisons de ce total black-out ?...
    Certains messages lancés sur Internet sont allés jusqu’à prétendre que cette info était un Hoax… Assiste-t-on alors à une véritable entreprise de désinformation destinée à pourrir la situation ?...
    Les faits reprochés semblent pourtant bien avérés puisque la plainte a été admise. Ou alors peut-être s’agit-il du « syndrome de la patate chaude », selon les propres termes de Xavier Kemlin…

    L’affaire est tellement chaude que le juge hésiterait encore devant le risque de s’y trouver brûlé…

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Plus dure sera la chute

    Xavier Raufer faisait justice la semaine dernière dans Valeurs actuelles des bobards assénés ces dernières années par notre classe médiatique vantant le très artificiel miracle économique brésilien. Aujourd’hui, la croissance est en berne (0,9 % en 2012 contre 7,5 % en 2010), les marchés s’effondrent et c’est un pays gangréné par l’ultra violence, la pauvreté de masse et la corruption qui s’apprête à accueillir l’année prochaine, et après une Afrique du Sud toute aussi chaotique, la coupe de monde de foot. Oui mais voila, dans un Brésil avec à sa tête un gouvernement de gauche et qui incarne le rêve mélangiste (là aussi bien frelaté et éloigné de la réalité) d’une société métissée et ouverte prônée par les officines mondialistes, toutes critiques étaient mises sous le boisseau…

    En France, François Hollande s’accroche lui aussi à son rêve d’une reprise de la croissance, qui ne tiendrait pas tant aux mérites de la politique impulsée par son gouvernement que par un redémarrage de la croissance aux Etats-Unis.

    Dans les faits constate Bruno Gollnisch, les Français n’ont pas confiance en la politique gouvernementale or ladite confiance est indispensable à la croissance. Citons seulement trois exemples qui justifient pleinement la défiance de nos compatriotes.

    Le chef de l’Etat avait promis qu’il n’y aurait pas en 2014 d’augmentation d’impôts et de taxes, sauf celle de la TVA. Il a finalement annoncé le 14 juillet des hausses nécessaires. Un revirement qui incitera les Français (ceux qui le peuvent) à épargner plutôt qu’à consommer.

    Le gouvernement vient aussi de décider de supprimer la prime de 1.000 euros versée à l’entreprise pour la prise en charge de chaque apprenti, alors que les mêmes ministres expliquaient (non sans raison) que l’apprentissage est un remède efficace pour endiguer le chômage des jeunes…

    François Hollande avait aussi promis la mise en chantier de 500.000 logements par an. Nous en sommes très loin. La hausse de la TVA sur la construction de logements (sauf sociaux) qui passe de 7 % à 10 % ; l’autorisation donnée aux collectivités locales d’augmenter les droits de mutation, en les relevant de 1,3 milliard d’euros — les fameux « frais de notaire »- lors d’un achat de bien, vont se répercuter sur le coût du logement qui est bien sûr le premier handicap à l’achat..

    Tout cela n’empêche donc pas François Hollande de seriner que la France va sortir de la récession que « la reprise est là », conviction martelée qui aurait pour effet de ramener la « confiance », de « forcer le destin » expliquait le socialiste Julien Dray

    En attendant, nouveau couac de communication, nouvelle preuve d’amateurisme aussi, le chef de l’Etat semble incapable d’accorder son violon avec son ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, qui annonce pour sa part et au même moment, comme l’avait calculé au printemps dernier la Commission européenne, une croissance comprise cette année entre -0,1 % et +0,1 %. C’est à dire nulle.

    Car ce retour de la croissance américaine sur laquelle table M. Hollande relève aussi de la méthode Coué et de l’affabulation, expliquait le 6 août Olivier Delamarche (Associé et gérant de platinum gestion) sur BFM business dont il est un consultant régulier.

    « On est en train de vous expliquer que la Terre est carrée et non plus ronde et tout le monde applaudit et relaie cela » a-t-il affirmé. « Beaucoup de gens ont annoncé qu’il va  y avoir de la reprise aux Etats-Unis or il n’y pas de reprise!  Si vous regardez les chiffres du chômage. En 2013, aux États-Unis, 77 % des postes créés le sont à temps partiel », en l’espèce  « des barmens, des serveurs », « des postes à bas salaires ».

    A la vérité poursuit-il, « On ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une reprise, on ne peut pas dire que les chiffres du chômage indiquent un réindustrialisation aux Etats-Unis, il  n’y pas de postes manufacturiers qui sont créés – tout cela c’est du pipeau ! »

    Aussi, M. Delamarche constate l’évidence à savoir qu’« une société qui ne crée plus d’emplois, qui ne travaille plus réellement cela ne fait pas du PIB et de la croissance capable de tirer (vers le haut) le monde entier ».

    « On nous balade. Rien n’est plus sous contrôle les Américains ne peuvent plus rien faire (…) à part continuer à faire des annonces idiotes (…) ».

    Autre problème, et de taille pour les Français et les Européens de la zone euro, « le sort de la Grèce sous perfusion ». Un traitement qui ne peut durer éternellement la question étant désormais de « choisir » affirme Olivier Delamarche , « la date du jour où on va la débrancher ».

    « C’est un peu facile de continuer à entretenir cette Grèce pour ne pas qu’elle sorte de l’euro parce que c’est tabou (…) et donc vous avez la Grèce qui est complètement exsangue, qui demande des sous pour pouvoir survivre et on leur donne des sous parce qu’on leur dit vous n’avez pas le droit de sortir de l’euro et on continue de leur donner des sous et cela n’a pas de fin. Cela sera 40 milliards, 50 milliards à chaque semestre ? On va jouer à cela pendant encore combien de temps ? »

    Là aussi, souligne le président de l’AEMN, ce gouvernement englué dans ses chimères euromondialistes et la technocratie européiste aux manettes de cette Europe folle seront contraints à des révisions déchirantes – mais en sont-ils capables ? A défaut, ils seront balayés par les peuples, par le vent de fronde qui n’en doutons pas, soufflera dans les urnes en 2014.

    http://aemn.eu/fr/2013/08/13/plus-dure-sera-la-chute/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=plus-dure-sera-la-chute