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magouille et compagnie - Page 2222

  • 2015, l’année du grand effacement des dettes publiques

    Par Bruno Colmant, professeur à l’université de Louvain, membre de l’Académie royale de Belgique

    En 2015, la dette publique de la zone euro devrait frôler 100 % du PIB, auxquels il faut ajouter l’endettement caché, c’est-à-dire la partie non financée du coût du vieillissement de la population. En un an, les dettes publiques européennes ont augmenté de 400 milliards d’euros et, depuis 2007, de 3.000 milliards d’euros ! Les critères de Maastricht ayant fixé le seuil d’une dette publique supportable à 60 % du PIB, cela signifie que l’excédent de la dette publique européenne atteint aussi 3.000 milliards d’euros, soit l’équivalent du PIB allemand. C’est insupportable.

    La question n’est plus de savoir si les Etats de la zone euro sont en défaut : la plupart le sont, dans la mesure où le poids des dettes publiques n’est plus transposable dans le futur. Ce n’est pas la dette en tant que telle qui importe, mais sa cohérence avec la prospérité et les revenus futurs. Or la dette publique ne bénéficie plus en rien aux générations futures, alors que le remboursement est mis à leur charge. Cette dette ne finance d’ailleurs plus des investissements mais des transferts sociaux. Au surplus, comment expliquer qu’une crise de l’endettement se règle à coups de rigueur budgétaire et de chômage, c’est-à-dire au détriment de ceux qui devront la rembourser ?

    Le modèle d’Etat providence par endettement constitue la racine de cette situation. La dette publique s’est aussi enflammée à cause de la crise économique et des sauvetages bancaires. Elle est aussi alourdie par l’absence de croissance économique, tandis que la monnaie unique a fourni à tous les Etats européens qui l’ont adoptée des conditions d’emprunt allemandes, c’est-à-dire anormalement basses.

    Comment sortirons-nous de ce piège infernal ? Nombreux sont ceux qui invoquent la sortie « par le haut et par l’extérieur » de l’endettement public, c’est-à-dire par la croissance (qui diminue le poids relatif de la dette publique) ou par l’inflation (qui dilue la valeur de la dette). Malheureusement, il n’y a pas de croissance et l’obstination politique allemande écarte l’inflation, alors que cette orientation est poursuivie par les Etats-Unis, l’Angleterre et le Japon.

    Sans inflation, nous sortirons de cette crise d’endettement public « par le bas et par l’intérieur », c’est-à-dire par une diminution du pouvoir d’achat de la monnaie elle-même. Seuls les pays qui ont eu des monnaies de réserve mondiales (l’Angleterre au début du XX e siècle, les Etats-Unis actuellement) peuvent se permettre d’imposer leur dette publique au reste du monde. Avec une monnaie adolescente, l’Europe est loin d’être dans cette posture.

    Concrètement, si l’absence d’accès aux marchés financiers de certains pays du sud de l’Europe se confirme, il faudra alors se préparer à un effacement des dettes. Ce ne sera pas un défaut généralisé de la dette européenne, mais des dissolutions et compensations nationales de dettes. Il s’agira de défauts « internes », comme la Russie l’a effectué en 1998 sous forme d’un probable rééchelonnement (c’est-à-dire d’une élongation forcée des maturités) des dettes publiques avec un allongement simultané des engagements vis-à-vis des assurés et pensionnés (les capitaux se transformant en rentes, etc.).

    Ce scénario d’effacement des dettes n’est plus de la science-fiction car de nombreux indices sont décelables. Parmi ces derniers, les dettes publiques ont re-migré vers leur pays d’origine (la dette publique portugaise a été rachetée par des banques portugaises, etc.). Les transferts financiers du nord vers le sud ont été parcimonieux, tandis que l’idée d’eurobonds a été écartée. Cela rejoint la logique allemande, qui veut que les dettes d’un pays soient strictement financées par l’épargne domestique.

    En conclusion, nous longeons les abîmes de grands chocs socio-économiques. Il faut cesser d’entretenir de pathétiques illusions sur l’attrition naturelle des dettes publiques par une croissance qu’on ne voit pas. Au sud de l’Europe, il est naïf d’imaginer que la monnaie, les dépôts bancaires et les réserves d’assurance garderont un pouvoir d’achat stabilisé alors que leur contrepartie se trouve dans des dettes publiques impayables.

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com

  • Délitement communautariste de la France : nouvelles lois contre les « discriminations »

    PARIS (NOVOpress via Kiosque courtois) – C’est en effet la question que l’on peut légitimement se poser avec les deux propositions de lois déposées mardi au Sénat et à l’Assemblée nationale. A l’initiative du député PS de Seine-Saint-Denis Razzy Hammadi (photo) et de la sénatrice Europe Ecologie Les Verts Esther Benbassa, ces propositions de lois visent à mettre en place un recours collectif en matière de discrimination.

    Ces recours sont inspirés des modèles américains des « class actions ». Ces derniers offrent la possibilité, pour des personnes s’estimant victime d’un préjudice commercial, environnemental, social ou encore sanitaire, lié à son genre, son orientation sexuelle, son handicap ou son origine ethnique, de déposer plainte de façon collective. Aux Etats-Unis, ces recours collectifs ont abouti sur une « judiciarisation » exponentielle de la société : tout devient désormais sujet de possibles condamnations devant les tribunaux.

    Les groupes de pression « antiracistes », dont les pouvoirs sont déjà exorbitants, vont en sortir encore renforcés

    Comme le soulignent leurs initiateurs, ces propositions sont le fruit d’un long « lobbying » du milieu associatif, et tout particulièrement du président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN), Louis-George Tin, ainsi que de la LICRA.

    Lorsqu’une condamnation pour discrimination sera prononcée, ces recours collectifs permettront à toute personne estimant avoir subi un préjudice similaire de se manifester dans les six mois qui suivent, et de prétendre être indemnisée. Ainsi, un immigré qui s’estime victime d’un délit de faciès pourrait être indemnisé sur la base d’une condamnation déjà existante. D’autre part, ces propositions renforcent le pouvoir des associations antiracistes puisque les victimes doivent passer par leur biais pour être reconnue comme telle. Ces associations avaient déjà vu leurs pouvoirs renforcés avec la possibilité de se constituer partie civile lors d’une discrimination, débouchant sur une véritable traque des citoyens. L’instauration de tels recours en France laisse donc présager d’importantes dérives.

    http://fr.novopress.info

  • TF1 : omnibulé par le FN, Hollande dérape sur la fiscalité et s’enlise en Syrie

    Apaiser les Français en proie au "ras le bol" fiscal et réaffirmer sa détermination dans le dossier syrien : François Hollande s'est livré dimanche sur ces deux fronts à un exercice de pédagogie télévisé. Sans convaincre !
    Très attendu sur la Syrie alors que la France, aux avant-postes lorsque des frappes semblaient imminentes, a été tenue à l'écart de l'accord russo-américain intervenu samedi, le président l'a assuré sur TF1 : il s'agit d'une "étape importante, pas le point d'arrivée".
    "L'option militaire doit demeurer, sinon il n'y aura pas la contrainte", a souligné le chef de l'État, qui espère une prochaine résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, endossée par Moscou.¢
    Cette résolution, a poursuivi François Hollande, qui ne s'était pas exprimé longuement à la télévision depuis le 14 juillet, pourrait être votée "avant la fin de la semaine". Elle prévoirait explicitement "la menace de sanctions" contre le régime de Bachar al-Assad en cas de "manquement" à sa parole.
    Dès lundi, a-t-il rappelé, les chefs des diplomaties américaine, britannique et française, John Kerry, William Hague et Laurent Fabius, se retrouveront autour de lui à l'Élysée pour "mettre en forme" cette résolution.
    L'étape suivante, selon lui, serait la recherche d'une "solution politique" qui pourrait être au menu de l'Assemblée générale des Nations unies fin septembre à New York.
    Pour François Hollande, qui s'était déclaré "déterminé" à "punir" le régime syrien, la menace de frappes "a porté", conduisant le président russe Vladimir Poutine à "prendre une initiative" afin de rechercher une issue sur le tapis vert avec Washington.
    Le président de la République s'est attaché à convaincre une opinion publique rétive, loin de lui apporter le même soutien que pour l'intervention au Mali. Dans un récent sondage BVA, 60% des Français se disaient insatisfaits de sa gestion de la crise syrienne.
    HOLLANDE OMNIBULÉ PAR LE FN
    Sur le plan intérieur, le chef de l'État, qui avait promis une "pause fiscale" en 2014, a tenté d'apaiser le ras-le-bol des Français. Les premières tranches du barème de l'impôt sur le revenu, a-t-il confirmé, seront "allégées".
    "Aucune taxe nouvelle" ne sera imposée pour améliorer les comptes de la Sécurité sociale, a-t-il promis, écartant de facto la possibilité, évoquée dans la presse, de taxer des produits comme les cigarettes électroniques ou l'aspartame.
    "Très prochainement", a-t-il également déclaré, un crédit d'impôt sera accordé pour la rénovation thermique tandis que, selon lui, la future contribution climat énergie montera en puissance "de manière limitée" et n'aura "pas d'effet en 2014".
    Sur l'éventuelle taxation du diesel, objet d'un nouveau et substantiel couac gouvernemental, il est resté en revanche évasif, se contentant de noter que "ce n'est pas rendre service à l'écologie (...) que de la réduire à des impôts".
    Quant aux responsables écologistes qui avaient menacé de ne pas voter le budget si le diesel n'était pas davantage taxé, il les a appelés à ne pas se déterminer par rapport à "des congrès ou d'autres rendez-vous, mais par rapport à l'intérêt de la France".
    Autre sujet chaud sur lequel François Hollande était interrogé, le changement de cap de l'ex-Premier ministre UMP François Fillon sur l'attitude à adopter en cas de duel face PS-FN. Il y a "des règles, des digues, des principes", a-t-il observé.
    François Hollande a rappelé avoir appelé à voter Jacques Chirac lors de la présidentielle de 2002 alors que le candidat socialiste, Lionel Jospin, avait été éliminé au premier tour, laissant Jean-Marie Le Pen face au président sortant pour le deuxième tour.
    "Je ne me suis pas posé de questions, je n'ai pas regardé qui était le plus ou moins sectaire, la question ne se posait même pas", a-t-il dit.
    "Il y a un moment où ce qui nous rassemble - que se soit des gaullistes, des libéraux, des radicaux, enfin des républicains- (?), c'est une conception commune de la France et de la République, et c'est mon rôle de le rappeler", a ajouté le président.
    Sur le front du chômage, il l'a assuré : "On est tout près du but", à savoir une inversion de la courbe d'ici à la fin de l'année, "nous y sommes presque".
    Au centre, Jean-Louis Borloo, président de l'UDI, a dénoncé une "désinvolture (...) complètement délirante" sur l'emploi, le chômage et la fiscalité.
    Pour Michèle Tabarot, secrétaire générale de l'UMP, l'interview a "confirmé l'inconstance et l'inconsistance du chef de l'État". "Le seul point à retenir" est l'annonce "de nouvelles hausses d'impôts en 2014", la "pause fiscale n'étant qu'un leurre".
    A l'inverse, pour Bruno Le Roux, patron du groupe PS à l'Assemblée, "le président de la République a fait taire ses contempteurs en délivrant une vision claire et nette de son action.
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/2013/09/tf1-omnibule-par-le-fn-hollande-derape.html#more

  • Marchandisation des ventres, un marché commun européen ?

    L’offensive libérale-libertaire en faveur du mariage  et de l’adoption pour les couples homosexuels ne date pas d’hier. Ce combat est mené avec constance depuis de nombreuses années par le lobby progressiste –pour casser le socle de la famille traditionnelle, un des piliers de la résistance au mondialisme- et  sa branche homosexualiste au nom « d’intérêts » privés ultra-minoritaires et du communautarisme. Une offensive qui s‘appuie sur une propagande constante, affichée ou sournoise, affirmée ou  insidieuse, dans les médias, les émissions  sérieuses ou de divertissements, au détour d’une publicité,  d’un téléfilm, et  qui dispose de puissants relais au sein de l’Europe de Bruxelles.

    Les humanistes éclairés des instances européistes cherchent  ainsi à légiférer sur la reconnaissance mutuelle des actes d’états-civils afin de faciliter  les adoptions à l’étranger pour les couples de même sexe. Et imposer de facto des mariages de cette nature dans les 13 pays de l’UE qui ne reconnaissent pas les unions homosexuelles.

    Le but poursuivi affirme Bruno Gollnisch est bien  une automaticité de la reconnaissance  de la parentalité homosexuelle et à la création d’un  marché intérieur du ventre féminin.

    A ce titre,  existe sur internet des sites donnant des conseils aux couples hétéros ou homos qui entendent avoir recours à la Gestation Pour Autrui (GPA),  quand bien même vous l’aurez compris celle-ci serait interdite dans leur pays.

    Le site Subrogalia, dans sa version en langue française,   prodigue ainsi  ses astuces  et offres ses services tarifés   pour mettre au point une « maternité de substitution » « en Californie,  à Moscou, en Inde, en Ukraine, en Géorgie, en Thaïlande ou au Mexique. »

    D’ailleurs en cas de  GPA dans un pays « exotique » comme l’Inde par exemple, il est précisé que  comme « beaucoup de parents le demandent » ils auront un   bébé  tout blanc , un pur «  causcasien » ;  tout juste cela prend il  « un peu plus de temps pour déterminer la mère porteuse » et « le coût du don d’ovules » est il «  un peu plus élevé »….

    Alors que la GPA est interdite sur notre sol (pour combien de temps encore ?) Subrogalia propose de « Traiter le processus nécessaire devant les tribunaux français et de légaliser le statut de votre nouvel enfant », « (superviser) la légalisation de l’enregistrement des bébé en France»?  qui « sera alors Français ».

    Il est précisé qu’il n’est pas nécessaire  d’être marié et qu’un « Gay célibataire peut accéder à la gestation pour autrui : Beaucoup de nos clients sont des personnes seules de toute condition sexuelle. Il n’y a pas d’obstacle pour un homme ou une femme gay, d’avoir un enfant par mère porteuse. Évidemment, vous pouvez le faire en tant que couple aux USA, mais pas dans autres pays ».

    Le président de l’AEMN constate une nouvelle fois la règle du  deux poids deux mesures qui règne au sein des sociétés dites « avancées » de notre continent.  Un  site  comme Subrogalia invitant à enfreindre la loi peut  s’afficher en toute légalité, à l’heure de la répression, du  flicage généralisé  par une Union européenne en pleine dérive orwellienne, de toutes pensées résistantes  non politiquement correctes et/ou rétives au « sens de l’histoire mondialiste » .  Faut-il s’en étonner ?

    http://aemn.eu/fr/2013/06/18/marchandisation-des-ventres-un-marche-commun-europeen/

  • Allo, Valls ? Des antifa agressent des jeunes portant des sweats de la Manif pour tous !

    Acte 1 : les soutiens d'Esteban Morillo - vous savez, celui qui est accusé d'avoir tué Clément Méric - prévoient de manifester aujourd'hui à Paris. La Préfecture de Paris le leur interdit. Du coup, la contre-manifestation des antifa parisiens présente moins d'intérêt.

    Acte 2 : Il faut se recycler. A 10h30, ce matin, les antifa se rendent donc aux abords du centre IVG de l'hôpital Tenon, dans le 20e, où doit se tenir la prière mensuelle de SOS Tout-Petits. Antifa, pro et anti avortement sont dispersés. Un cagoulé annonce la suite du programme :

    "Nous sommes ici pour défendre le centre IVG de Tenon régulièrement remis en cause par les anti-IVG. Ensuite, nous irons trouver les skinheads qui ont prévu de se réunir aujourd'hui"

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    Acte 3 : Pas de skinheads en vue pour l'instant. Mais une quinzaine de jeunes, dont certains portent des sweats de la Manif pour tous, attablés à la terrasse d'un café de la Motte-Picquet (15e arrondissement). Un photographe ayant assisté à la scène raconte :

    "Un groupe de jeunes avec pour certains des sweats La Manif Pour Tous prenaient un verre en terrasse lorsqu’une vingtaine d’antifas sont arrivés en les prenant pour cibles. Connus pour leur engagement au sein de l’extrême droite, deux jeunes sont particulièrement visés. Les agresseurs, visages masqués et gants de combat sortis, ont fait voler en éclat toute la partie terrasse de ce café situé à La Motte Picquet Grenelle. Durant trente secondes, les débris de verre et de porcelaine ont été expulsés dans un rayon de 15 mètres, touchant aussi des passants. Des tables ont été renversées, et des coups de chaises ont été échangés entre les agresseurs et les victimes. La police (présente cinq minutes avant) est arrivée cinq minutes après, trouvant sur place des jeunes sous le choc et une terrasse dévastée."

    Acte 4 : D'après cet article, six agresseurs auraient été arrêtés. Le gérant du café aurait déposé plainte.

    De leur côté, les antifa marseillais appelaient à manifester aujourd'hui contre l'université d'été du Front national. Appel relayé par le journal Le Monde. Qui regrettera ensuite d'éventuels incidents ?

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  • Syrie : les Etats-Unis livrent des armes aux islamistes. Et la France va "renforcer son soutien"

    Les Etats-Unis d'abord

    "Est-ce parce que la perspective de frappes contre le régime Assad s'éloigne ? Les Etats-Unis ont commencé à fournir des armes et des équipements techniques aux rebelles syriens, affirme le Washington Post.

    Citant des sources américaines et syriennes, le quotidien américain a écrit que la CIA a commencé à livrer des cargaisons d'aide matérielle létale ces quinze derniers jours. Le journal rapporte sur son site que le département d'Etat a envoyé des véhicules et autres matériels, y compris des équipements de communication sophistiqués et des kits médicaux de combat".

    Et Hollande veut soutenir "l'opposition démocratique" (sic. Et si, il a osé) : 

    "Le président François Hollande et les chefs des diplomaties saoudienne, jordanienne et émiratie "sont convenus de la nécessité de renforcer le soutien international à l'opposition démocratique" en Syrie, "pour lui permettre de faire face aux attaques du régime", a annoncé aujourd'hui la présidence française". 

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  • AL QUAIDA UNE FABRICATION DES ETATS UNIS Michel Collon Chauprade Bonnet Clark Chouard

  • Gender : la théorie se confronte à la réalité

    Malheureusement la folie des Hommes n’a pas de limite. Le Figaro présente un cas administratif « complexe » sans même remettre en cause les principes absurdes à l’origine de ce désastre.

    «Voilà qui ne va pas nous simplifier la tâche!», soupire Maryvonne Blondin. Avec sa collègue Michèle Meunier, la sénatrice socialiste dirige un groupe de travail sur l’identité de genre. «Nous réfléchissons depuis quelques mois à une loi qui faciliterait le changement d’état civil pour les transexuels, explique-t-elle. Comme en Argentine, en Allemagne ou en Espagne, il s’agirait de permettre à ces personnes d’obtenir de nouveaux papiers, correspondant à leur physique, sans avoir à se soumettre à une opération chirurgicale».

    Mais au fil de leurs auditions, les sénateurs découvrent les difficultés du dossier… Ainsi, ce casse-tête qui tourmente les services de l’état civil de Berlin. Début 2013, selon une note interne datant d’avril, révélée par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, «un homme a donné naissance à un enfant». Il s’agissait en réalité d’un transexuel: né femme, doté d’un appareil génital féminin, il se définit cependant comme homme et, après avoir suivi un traitement hormonal durant des années, s’était fait enregistrer comme tel à l’état civil de sa mairie. «Il a clairement l’apparence d’un homme, témoigne Anja Kopfinger, une élue écologiste. Il porte un bouc et n’a pas de seins».

    Lire la suite sur lefigaro.fr…

    http://www.contre-info.com/

  • Le site de Valeurs Actuelles a t-il été piraté ?

    Lu ici

    "Alors que le journal Valeurs actuelles vient de sortir une information qui pourrait bien coûter sa tête à la ministre de la justice (cette dernière avait essayer d’utiliser ses contacts politiques au sein du PS afin d’exiger l’annulation d’une condamnation pour complicité de vol de son fils), on constate étrangement ce matin que le site internet de l’hebdomadaire n’est plus en service. De quoi s’inquiéter sur un éventuel piratage destiné à tuer cette affaire dans l’œuf… Démocratie en danger ?

    Comme nous le relations hier, Valeurs actuelles vient de sortir un document hallucinant : une lettre de Christiane Taubira datée du 5 février 2001, où celle qui était alors député guyanaise demande à celle qui était alors ministre de la justice, Marylise Lebranchu, de faire en sorte de nettoyer le casier judiciaire de son fils condamné par la justice pour complicité de vol, en faisant tout simplement annuler la condamnation car « à chaque fois qu’il subit un contrôle d’identité, la consultation du fichier provoque sa conduite au commissariat. » 

    Autrement dit, un membre de la majorité parlementaire demandait à son ministre de la justice de faire sauter, comme un PV, la condamnation de son fiston !! Comme au temps de la monarchie ou comme cela se passe dans certains régimes corrompus…

    Que la ministre de la justice ait essayé d’enfreindre la sacro-sainte règle démocratique de la séparation des pouvoirs devrait faire la Une de tous les journaux et devrait forcer François Hollande à virer immédiatement sa garde des Sceaux. Le fait que l’on en soit loin prouve l’état délabré de notre démocratie, où un ministre régalien peut avoir essayé d’influer la justice au profit d’un membre de sa famille sans créer d’affaire d’état !"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/