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magouille et compagnie - Page 2221

  • L'enseignement du gender à l'école imposé par l'UE ?

    Communiqué de La Manif pour Tous :

    "Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. La Manif Pour Tous est particulièrement inquiète des dispositions envisagées en matière d’éducation sexuelle, de lutte contre les stéréotypes et d’éducation à l’égalité des genres. Elle dénonce fermement la volonté affirmée dans l’amendement 151 de promouvoir l’égalité de genre dans les programmes et manuels scolaires.

    Une nouvelle menace pour l’enfant et les libertés fondamentales

    La Manif Pour Tous dénonce l’amendement 151 de la députée européenne Barbara Matera (PPE) qui propose de rendre obligatoire des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles primaires et secondaires des Etats membres. De tels cours n’ont certainement pas leur place en primaire, et d’autant moins qu’ils aborderaient notamment la question de « l’égalité des genres ». La Manif Pour Tous dénonce ce projet de promotion de l’identité de genre, notion qui fait débat chez les spécialistes et qui n’est pas un sujet pertinent à l’âge de l’école ! Imposée aux écoles, cet enseignement serait ainsi décidé sans concertation avec les parents, sans respect de leur rôle de premiers et principaux éducateurs de leurs enfants.

    L’amendement 151 est une grave atteinte à l'article 26 (§3) de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui stipule que le droit d'éducation est reconnu prioritairement aux parents. Il met en danger la liberté et le droit des parents à s'opposer à l'interférence d'acteurs étatiques ou non étatiques dans cette éducation. La défense d'un droit d'accès de l’enfant à une information scientifique et dégagée de tout jugement en matière de sexualité ne doit pas se faire sans l’implication des parents et l’assurance que les contenus contribuent à l’équilibre de l’enfant. Par ailleurs les concepts de genre n’entrent pas dans le champ « d’une information scientifique » et n’ont donc pas de place dans ce cadre.

    La Manif Pour Tous en alerte

    Le 18 septembre prochain, La Manif Pour Tous suivra avec attention les débats de la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen. Elle se prépare à se mobiliser et à mener toutes les actions nécessaires si cet amendement devait être adopté. La Manif Pour Tous demande aux députés européens de cette  commission permanente de prendre concrètement position à l’occasion de ce vote pour défendre les intérêts de l’enfant, le rôle de ses  parents et la neutralité des instances nationales d’éducation gravement mis en danger par ce rapport. Elle leur rappelle que :

    1. La Manif Pour Tous s’oppose fermement à la diffusion à l’école du concept de genre, notion floue et non scientifique conduisant notamment à la remise en cause des identités sexuelles homme/femme.

    2. Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La liberté d’éducation des parents est un droit fondamental et inaliénable qu’aucune institution ne peut retirer et que toutes les conventions internationales garantissent.

    3. La Manif Pour Tous défend les droits de l’enfant. Elle est prête à agir aussi bien au niveau français qu’au niveau européen"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Dimanche soir, le président Hollande a essayé de se justifier devant les Français

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Lors de sa justification sur TF1, le président normal réussit à susciter une audience… normale !
    Accueilli par une manifestation de La Manif pour tous, d’ailleurs vite dépassée par les slogans « Hollande démission », le président n’a pas soulevé les foules. 8,1 millions de téléspectateurs étaient devant leur poste. Avec un nombre d’auditeurs légèrement supérieur à la moyenne, ce n’est pas un franc succès pour le président de la République.

    C’est un oral télévisé sans grandes surprises depuis le dernier, en juin 2013

    Il en a repris les grandes lignes, à savoir comme chaque fois, qu’il inverserait la courbe du chômage et qu’il n’y aurait pas de hausse d’impôts ! Mais il innove sur le dossier syrien. Pour cacher la séquence diplomatique humiliante pour la France qu’on entrainé ses fanfaronnades, il proclame en effet que sa politique a pesé sur la décision diplomatique rendue dernièrement. Il a déclaré : « La pression que nous avons fait peser avec les Etats‑Unis a payé ». Et pourtant c’est la Russie qui a réussi à éviter la solution armée voulue par les gouvernements français et américain.

    Enfin, Hollande se comporte en chef de clan face au Front national

    A propos des déclarations de Fillon sur le Front national, le président à commencé par affirmer qu’en tant que chef de l’Etat, il n’avait pas à se positionner. Tout cela pour ajouter quelques minutes plus tard : « J’ai appelé à voter Chirac en 2002 et je ne le regrette pas » ! Voilà une petite contradiction qui ne le dispose pas à remonter dans les sondages.

    http://fr.novopress.info/

  • TF1 : obnubilé par le FN, Hollande dérape sur la fiscalité et s’enlise en Syrie

    Apaiser les Français en proie au "ras le bol" fiscal et réaffirmer sa détermination dans le dossier syrien : François Hollande s'est livré dimanche sur ces deux fronts à un exercice de pédagogie télévisé. Sans convaincre !
    Très attendu sur la Syrie alors que la France, aux avant-postes lorsque des frappes semblaient imminentes, a été tenue à l'écart de l'accord russo-américain intervenu samedi, le président l'a assuré sur TF1 : il s'agit d'une "étape importante, pas le point d'arrivée".
    "L'option militaire doit demeurer, sinon il n'y aura pas la contrainte", a souligné le chef de l'État, qui espère une prochaine résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, endossée par Moscou.¢
    Cette résolution, a poursuivi François Hollande, qui ne s'était pas exprimé longuement à la télévision depuis le 14 juillet, pourrait être votée "avant la fin de la semaine". Elle prévoirait explicitement "la menace de sanctions" contre le régime de Bachar al-Assad en cas de "manquement" à sa parole.
    Dès lundi, a-t-il rappelé, les chefs des diplomaties américaine, britannique et française, John Kerry, William Hague et Laurent Fabius, se retrouveront autour de lui à l'Élysée pour "mettre en forme" cette résolution.
    L'étape suivante, selon lui, serait la recherche d'une "solution politique" qui pourrait être au menu de l'Assemblée générale des Nations unies fin septembre à New York.
    Pour François Hollande, qui s'était déclaré "déterminé" à "punir" le régime syrien, la menace de frappes "a porté", conduisant le président russe Vladimir Poutine à "prendre une initiative" afin de rechercher une issue sur le tapis vert avec Washington.
    Le président de la République s'est attaché à convaincre une opinion publique rétive, loin de lui apporter le même soutien que pour l'intervention au Mali. Dans un récent sondage BVA, 60% des Français se disaient insatisfaits de sa gestion de la crise syrienne.
    HOLLANDE OMNIBULÉ PAR LE FN
    Sur le plan intérieur, le chef de l'État, qui avait promis une "pause fiscale" en 2014, a tenté d'apaiser le ras-le-bol des Français. Les premières tranches du barème de l'impôt sur le revenu, a-t-il confirmé, seront "allégées".
    "Aucune taxe nouvelle" ne sera imposée pour améliorer les comptes de la Sécurité sociale, a-t-il promis, écartant de facto la possibilité, évoquée dans la presse, de taxer des produits comme les cigarettes électroniques ou l'aspartame.
    "Très prochainement", a-t-il également déclaré, un crédit d'impôt sera accordé pour la rénovation thermique tandis que, selon lui, la future contribution climat énergie montera en puissance "de manière limitée" et n'aura "pas d'effet en 2014".
    Sur l'éventuelle taxation du diesel, objet d'un nouveau et substantiel couac gouvernemental, il est resté en revanche évasif, se contentant de noter que "ce n'est pas rendre service à l'écologie (...) que de la réduire à des impôts".
    Quant aux responsables écologistes qui avaient menacé de ne pas voter le budget si le diesel n'était pas davantage taxé, il les a appelés à ne pas se déterminer par rapport à "des congrès ou d'autres rendez-vous, mais par rapport à l'intérêt de la France".
    Autre sujet chaud sur lequel François Hollande était interrogé, le changement de cap de l'ex-Premier ministre UMP François Fillon sur l'attitude à adopter en cas de duel face PS-FN. Il y a "des règles, des digues, des principes", a-t-il observé.
    François Hollande a rappelé avoir appelé à voter Jacques Chirac lors de la présidentielle de 2002 alors que le candidat socialiste, Lionel Jospin, avait été éliminé au premier tour, laissant Jean-Marie Le Pen face au président sortant pour le deuxième tour.
    "Je ne me suis pas posé de questions, je n'ai pas regardé qui était le plus ou moins sectaire, la question ne se posait même pas", a-t-il dit.
    "Il y a un moment où ce qui nous rassemble - que se soit des gaullistes, des libéraux, des radicaux, enfin des républicains- (?), c'est une conception commune de la France et de la République, et c'est mon rôle de le rappeler", a ajouté le président.
    Sur le front du chômage, il l'a assuré : "On est tout près du but", à savoir une inversion de la courbe d'ici à la fin de l'année, "nous y sommes presque".
    Au centre, Jean-Louis Borloo, président de l'UDI, a dénoncé une "désinvolture (...) complètement délirante" sur l'emploi, le chômage et la fiscalité.
    Pour Michèle Tabarot, secrétaire générale de l'UMP, l'interview a "confirmé l'inconstance et l'inconsistance du chef de l'État". "Le seul point à retenir" est l'annonce "de nouvelles hausses d'impôts en 2014", la "pause fiscale n'étant qu'un leurre".
    À l'inverse, pour Bruno Le Roux, patron du groupe PS à l'Assemblée, "le président de la République a fait taire ses contempteurs en délivrant une vision claire et nette de son action.
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/2013/09/tf1-omnibule-par-le-fn-hollande-derape.html

  • LMPT : l’indécente tentative de récupération d'Hervé Mariton

     

    Communiqué coup de gueule de Me Pichon :

    M"Suite à l’Université de la Manif pour tous qui s’est déroulée ce week end à Vincennes, on pouvait lire sur le compte twitter du député UMP de la Drôme Hervé MARITON le commentaire suivant : #UELMPT #commentsengager? Faut-il créer, pour ceux qui le souhaitent, au sein de l’#ump?,un mouvement qui porte nos #valeurs? qui est partant?

    Cette lamentable tentative de récupération du formidable mouvement de contestation à une rupture anthropologique radicale que fut la loi Taubira et ses suites logiques (PMA GPA gender) au moment même où Monsieur VANNESTE a été évincé manu militari par le service d’ordre de la LMPT, m’obligent à sortir du silence auquel je m’étais abstenu pas soucis du bien commun.

    Lorsqu’avec de nombreux avocats en robe, nous avons assisté aux gazages collectifs de manifestants pacifiques sur les champs Elysées le 24 mars dernier, nous avions rapidement perçu que nous entrions dans une phase répressive.

    Nous avons donc décidé de créer le Collectif des Avocats contre la répression policière et idéologique pour venir en aide à ces jeunes manifestants qui pour la plupart découvraient les contrariétés de la garde à vue. Et le 27 mars nous organisions symboliquement sur les champs Elysées notre première conférence de presse en compagnie de Béatrice Bourges du Printemps Français et d’autres personnes comme Axel Rokvam qui fondera plus tard les veilleurs.

    Quelques jours après, le 4 avril, 67 jeunes gens se retrouvaient en garde à vue pour avoir campé en silence devant l’assemblée nationale. 24 jeunes filles se retrouvèrent enfermées dans une cellule de 18 mètres carrés agrémentée des particules d’urine et de vomi.

    Appelé par quelques uns d’entre eux aux alentours d’une heure du matin, je me rendis donc au commissariat afin d’assister ces jeunes gens qui pour la plupart n’avaient pas encore perçu l’utilité d’un défenseur. Atterré par le caractère scandaleux et disproportionné de cette situation, je m’empressai donc de prévenir mes amis de Nouvelles de France et du Salon Beige ainsi que d’autres médias télévisés et radiophoniques.

    Le lendemain matin, alertés par ces mêmes média du lieu de détention – personne ne connaissait encore le commissariat de la rue de l’évangile - Hervé MARITON et Jean Frédéric POISSON, arrivaient au commissariat en leur qualité de parlementaires. J’étais plutôt satisfait de leur arrivée en pensant avant tout au sort des jeunes gardés à vue mais ces deux élus me snobèrent avec le plus grand mépris. J’apprenais quelques heures plus tard de la part de certains gardés à vue que Monsieur MARITON leur avait déconseillé de prendre PICHON comme avocat.

    Ne connaissant pas personnellement Monsieur MARITON, je m’étonnais de ce jugement de valeur et ce alors qu’ayant été réveillé en pleine nuit, je m’étais précipité pour défendre certains de ces jeunes gens, évidemment gratuitement.

    J’apprenais par la suite que la médisance provenait de certains esprits chagrins de l’équipe juridique de la LMPT terrorisée à l’idée que l’on apprenne que l’avocat des gardés à vue était un sympathisant du Printemps français, de surcroît très marqué à droite.

    Le même jour débarquait comme une star Frigide Barjot et tout le staff de la LMPT, et alors que je m’apprêtais à la saluer (je l’avais connu lors d’un voyage à Rome) elle me repoussa devant les caméras de télévision en me demandant ce que je faisais là. Je lui répondis « mon métier ». Quelques minutes plus tard, hors caméra, elle me déclarait, « tu comprends Frédéric, c’est de la com, mais nous menons le même combat ». J’encaissais sans rien dire en me disant que le combat que nous menions était supérieur à nos divisions.

    Et puis il y eut l’affaire Nicolas Bernard Buss. Nicolas m’avait fait appeler en pleine nuit pour l’assister au commissariat, mais je défendais déjà d’autres personnes et je n’étais donc pas disponible. J’envoyai mon confrère Benoit Gruau qui accepta de me substituer en pleine nuit.

    Après sa scandaleuse incarcération, la visite discrète et efficace de Jacques BOMPARD lui permit au bout de dix jours d’être transféré dans une cellule plus décente.

    Mais dés le lendemain de cette visite, Hervé MARITON se précipitait pour récupérer cette affaire médiatiquement porteuse, flanqué de quelques députés de l’UMP pour un entretien de courte durée avec Nicolas. Là encore, prévenu par le service juridique de la LMPT, affolé à l’idée que des élus de droite nationale « récupèrent » le cas de Nicolas avaient prévenu Hervé MARITON. Les caméras étaient présentes et Hervé MARITON laissa entendre que c’était grâce à lui que Nicolas était traité de façon à peu près humaine.

    De son côté Marion Maréchal Le Pen (qui avait assisté SANS OSTENTATION à des veillées sans s’exposer au feu des caméras) me contacta pour aller rendre visite discrètement à Nicolas dont elle avait été dissuadée par des pseudo-intermédiaires.

    Cette récupération de l’UMP m’écoeura d’autant plus que jusque là on nous avait fait comprendre qu’il y avait les bons manifestants que l’on peut défendre et les mauvais manifestants (campings pour tous, hommens, printemps français trop sulfureux pour l’image de marque) réservé aux avocats infréquentables. NICOLAS faisait jusqu’alors partie des mauvais manifestants, ceux qui méritaient d’être punis. Mais tout à coup, l’image étant porteuse, il devenait un manifestant emblématique qu’il était bon de soutenir.

    Lorsque l’on s’appelle la Manif pour tous, on se doit d’accueillir tout le monde : Les cathos, les athées, les juifs, les musulmans, les gaullistes, les trotzkystes, les libéraux, les homosexuels, les carnivores, les végétariens et même les élus du Front National ou des anciens de l‘UMP comme Christian VANNESTE.

    Je n’ai pas oublié qu’au mois de mai dernier, lors d’une manifestation organisée par la LMPT, Monsieur MARITON, interrogé par les journalistes sur la présence d’une élue du FN à ses côtés, en l’occurrence une conseillère du FN Sophie ROBERT, celui-ci déclara qu’elle n’avait rien à faire là. Preuve encore une fois que ce qui importe à ses yeux, ce ne sont pas d’abord les convictions mais d’abord l’image qu’il peut donner.

    Partant du même état d’esprit, notre courageux député avait fait le pied de grue auprès du mensuel gay « Têtu » - qui ne l’avait pourtant pas sollicité - pour décrocher une interview afin de faire amende honorable et se démarquer d’une image d’homophobe par une très élégante pique à l’encontre d’une ancienne ministre de son mouvement : « Je ne suis pas la nouvelle Christine Boutin ».

    Parallèlement, une fois la loi votée, Monsieur MARITON – qui échange des textos réguliers avec Mme TAUBIRA - s’empressa de déclarer qu’il appliquerait la loi et qu’il se ferait une joie de marier un couple unisexe dans sa mairie.

    Aujourd’hui et alors que la LMPT organise à juste titre des conférences sur la clause de conscience, Monsieur MARITON qui ne l’a pas fait jouer, a l’indécence de vouloir récupérer ce formidable mouvement.

    Je n’oublierai pas que l’idéologie du genre a commencé à être enseignée sous Luc Châtel, Ministre de l’Education Nationale sous Sarkozy. Certes Hervé Mariton été en désaccord avec Monsieur Châtel sur ce point mais il persiste à militer ensemble au sein du mouvement "France Moderne et Humaniste", un courant de l'UMP qui regroupe aussi Franck Riester, ouvertement pro mariage gay.

    Je n’oublierais pas que les lois liberticides en vertu desquelles Monsieur Vanneste est aujourd’hui poursuivi et qui sous couvert de lutte contre l’homophobie répriment la liberté d’expression, ont été votées en décembre 2004 sous un gouvernement UMP et une majorité appartenant pour les trois quarts à ce même parti.

    Bossuet disait :«Dieu se rit des prières qu'on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s'oppose pas à ce qui se fait pour les attirer »."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Vandalisme écologique ...et financier

     

    Bouriège : un village médiéval détruit pour construire six éoliennes

    Sur les hauteurs de la commune de Bouriège, des archéologues dénoncent la destruction partielle d’un ancien village médiéval pour y ériger six éoliennes.

     

    La ligne de crête est parfaitement dégagée, la vue magnifique sur le Madres, le puech de Bugarach, le Saint-Barthélemy et le village de Bouriège en contrebas. Entre quelques chênes verts et des bouquets de genêts, se dressent plusieurs murs, vestiges d’une ancienne église romane datant certainement des XIe et XIIe siècles. Et puis, à une dizaine de mètres de là, dans un vaste carré, un amas de pierres dispersées s’étale sur le sol.

    Le village médiéval de Bouriège avant le passage des bulldozers d’Alstom

    A cet endroit, il y a quelques semaines encore, on trouvait ce que l’archéologue Dominique Baudreu appelle "un véritable village médiéval fossilisé, avec des microreliefs qui marquaient les emplacements des rues et des maisons". Mais ça, c’était avant que ne passe un bulldozer. Connu depuis le XIIe siècle, le village médiéval de Saint-Pierre-le-Clair, perché à 579 mètres d’altitude, a été en partie rasé à la suite de travaux de nivellement. A sa place, juste à côté des ruines de l’église, se dresseront en effet six éoliennes de six mètres de haut (le permis de construire a été accordé), juste en face de celles de Roquetaillade. "Sous prétexte de débroussaillage, on a rasé au trois-quarts le village. Le résultat est catastrophique, les maisons et les enclos ont été rasés, les puits comblés et le cimetière éventré", s’indigne Christian Raynaud, professeur d’histoire et archéologue amateur. "Ca fait mal au cœur, l’intérêt scientifique du site est réel, mais aujourd’hui, il est fortement amoindri du fait des destructions", ajoute Dominique Baudreu, du Centre d’archéologie médiéval du Languedoc.

    Qui plus est, outre l’intérêt archéologique, le site de Saint-Pierre-le-Clair est également un belvédère unique que fréquentèrent d’illustres astronomes tels que Cassini, Maraldi et de Chazelles. "Le site a joué un rôle clé dans l’élaboration des cartes détaillées. De là-haut, on peut faire des visées à la fois vers le pic de Nore, le pic de Bugarach et le Canigou", souligne Christian Raynaud pour qui l’endroit aurait mérité une attention particulière. "Saint-Pierre-le-Clair n’est pas une colline du Razès tout à fait comme les autres", conclut l’historien.

    Le projet éolien dans sa « phase de réalisation »

    Mené par le groupe Alstom, le projet d’implantation de six éoliennes, à cheval sur les communes de Bouriège et de Tourreilles, est entré dans sa phase finale. « D’ici à fin 2013, il va se mettre en route, avec, pour commencer, la réalisation des accès », explique Patrice Cathala, le maire de Bouriège. Ouvert il y a sept à huit ans, le dossier éolien a fait l’objet d’une enquête publique au cours de laquelle les opposants ont déposé plusieurs recours, soulevant d’éventuels préjudices environnementaux, paysagers, mais jamais archéologiques. Tour à tour, les tribunaux administratifs de Montpellier puis de Marseille ont validé le permis de construire. « C’est un projet collectif pour la commune, l’intercommunalité et tout le département », souligne le maire de Bouriège.

    L’Indépendant

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vandalisme-ecologique-et-financier

  • UE : la Charte des droits fondamentaux au service du lobby LGBT

    Lu dans cette étude à propos de l'influence des institutions européennes dans la dénaturation du mariage, cet aspect de la charte des droits fondamentaux, rejetée par le référendum sur le TCE en 2005 et réintroduite par le traité de Lisbonne :

    "La libéralisation ouverte par la Charte des droits fondamentaux - Pour le reste, les revendications encore insatisfaites à l'échelle de l'Europe en terme d'accès au mariage et à la parentalité pour les homosexuels pourraient être peu à peu résolues soit par la juridiction du Conseil de l'Europe appliquant la Conv. EDH, soit désormais par la Cour de justice de l'Union au moyen des nouveaux instruments que lui procure la Charte des droits fondamentaux à laquelle le traité de Lisbonne a conféré une valeur juridique contraignante. Depuis l'entrée en vigueur de la Charte, en effet, les juges européens semblent bien dotés juridiquement pour faire émerger un droit européen au mariage et à la parentalité homosexuels. Il faut souligner l'évolution notable entre la formulation du droit au mariage par la Convention et celle de la Charte. L'art. 12 de la Conv. EDH, à l'image de tous les textes internationaux, affirme qu'« à partir de l'âge nubile, l'homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l'exercice de ce droit ». Les rédacteurs de la Charte, à l'art. 9, ont préféré ne pas préciser le sexe des titulaires du droit au mariage : « Le droit de se marier et le droit de fonder une famille sont garantis selon les lois nationales qui en régissent l'exercice. » Il s'agit d'une innovation remarquable de la Charte par rapport à la Convention. Non seulement elle dissocie le droit de se marier de celui de fonder une famille - ce qui permet notamment de prendre en compte les familles assises sur d'autres formes d'unions que le mariage -, mais elle ne précise pas le sexe des partenaires de ladite union ; ce qui ouvre la voie aux unions maritales homosexuelles, notamment. De l'union à la parentalité, il n'y a qu'un pas. Et le Parlement européen planche déjà sur le droit de la gestation pour autrui (GPA) au sujet duquel il vient de commander un rapport à quinze experts, offrant l'occasion au lobby homoparental de réclamer une convention internationale leur donnant accès à la maternité pour autrui."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La vraie nature des écolos

     

    130917Le plus récent projet Duflot en aggravera encore les ravages. Ils sont occasionnés en France, quotidiennement, par la présence et par l'influence de nos Khmers verts, dans les municipalités comme au gouvernement.

    De nombreuses voix s'élèvent, et à très juste titre, en effet. En vain tous les professionnels et toutes les personnes informées ont tenté d'enrayer le projet Duflot d'instauration de la "garantie universelle des loyers". La fofolle ministre vient en effet de remporter sur ce terrain une première victoire à l'Assemblée nationale en première lecture le 12 septembre, en vue d'une entrée en vigueur pour 2016.

    Quelle que soit la prospérité catastrophique de cette procédure, et on peut imaginer qu'une majorité socialiste au Sénat, appuyée sur ce point par le parti communiste la fasse aboutir dans ses termes initiaux, l'échec financier est inéluctable.

    Il consiste en effet, sur le modèle ruineux de l'assurance-maladie et de la couverture universelle de déresponsabiliser entièrement le locataire indélicat aux frais des gens qui payent leurs loyers et surtout des propriétaires.

    Et surtout elle aura pour effet de démobiliser les bailleurs publics, c'est-à-dire les offices publics de HLM

    Les innombrables objections techniques ne risquent sans doute pas de convaincre entièrement, même en présence des sécheresses budgétaires connues de convaincre "la gauche". Enfin pensera-t-elle un progrès social que l'on pourra attribuer à cette présidence.

    Certes tout cela reflète des folies qu'on se doit d'analyser dans le détail puisqu'elles sont en train de se réaliser en termes de lois.

    Il y a plus de 30 ans dans ses "Discours pour la France à l'heure du choix",  (1)⇓ Jacques Chirac accusait assez clairement les Verts d'être financés au plan international par les gros intérêts pétroliers.

    On remarquera certes qu'ils entrent rarement en contradiction avec ceux-ci  (2)⇓

    Mais on ne saurait se contenter d'une vision aussi simpliste et conspirationniste du phénomène. On découvrira donc avec passion le vrai visage des écolos dans le livre qui vient de paraître : "L'Imposture écologiste"  (3)⇓

    Laurut8L'auteur : Christian Laurut, 67 ans, ESSEC, a été chef d’entreprise dans des domaines aussi variés que l’agriculture biologique, l’économie sociale innovante, et la formation des travailleurs indépendants. Il est le fondateur du Mouvement de l’Individu Responsable, groupe de réflexion politique transcourant, et auteur de plusieurs ouvrages de critique sociale, dont Le déclin de la civilisation industrielle, "Vers la société de liberté", "A quoi sert l'État ?" et "Vivement la décroissance ! (subie)".

    Voilà comment il présente son livre : L’imposture des "écologistes" réside aujourd’hui dans la confiscation de l’écologie, science non exacte étudiant les conditions d'existence des êtres vivants et les rapports qui s'établissent entre eux et leur environnement, au profit d’une action politicienne opportuniste et mercantile, qui plus est, totalement complaisante avec le capitalisme et sa dérive étatique.

    Les praticiens de cette science, précise-t-il, les "écologues", se retrouvent ainsi dépossédés de leur expertise par des charlatans médiatiques dont l’influence auprès des masses est malheureusement proportionnelle à leur niveau d'incompétence. Le lecteur aura ainsi compris que le propos de "L'Imposture écologiste" vise à bien distinguer l'écologie en tant que science objective neutre de l’écologisme en tant que doctrine politique souvent fâcheuse, comme on sépare le bon grain de l'ivraie.

    On sera édifié aussi bien par les 10 impostures de l'écologisme, dénoncées par Christian Lauraut, au plan des idées, que par son chapitre qu'il appelle, s'agissant des hommes "la galerie des guignols".

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    Imposture-ecologiste
    1. Stock, 1978, 287 pages.
    2. Même la re-fiscalisation du diesel, amorcée de longue date, ne fait que revenir sur une préoccupation ancienne de l'État français.)
    3. cf. "L'Imposture écologiste" par Christian Laurut. À commander sur le site internet des Éditions du Trident.

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  • Vincent Peillon salit l'esprit de nos enfants !

    Après la funeste loi Taubira : « Le gouvernement veut imposer la théorie du genre dès l'école élémentaire ». Pour Catherine Goyard, présidente de « Avenir de la Culture », pour M. Peillon, l'École doit être le lieu de transmission d'une nouvelle religion qui arrache l'enfant à un soi-disant déterminisme familial.
    « La révolution du genre est décidément déclarée, et les parents sont les ennemis à abattre.
    Nous demandons le retrait immédiat des dispositions sur la théorie du genre dès l'école primaire imposée dans la convention interministérielle pour l'égalité du 7 février 2013 pour l'année scolaire 2013-2014, rédigée et souscrite par M. Peillon. » 
    RIEN N'EST TROP PERVERS
    Et rien n'est trop sale, cette théorie du genre nie la réalité physique du sexe masculin ou féminin et prétend que l'identité sexuelle n'est qu'une construction personnelle et changeante.
    En conséquence, l'homosexualité, la bisesexualité et la transsexualité sont enseignées comme des " orientations sexuelles " de libre choix. La maternité serait le premier des " stéréotypes " sociaux. Par ailleurs, la sexualité ne devrait répondre qu'à la recherche du plaisir, déconnecté de la procréation, de sorte que même la masturbation y est encouragée.
    " Vous voyez, c'est la  négation de toute morale, pire : c'est la négation de la nature sexuée de l'espèce humaine et la promotion de l'androgynie ", précise Catherine Goyard. Les militants de la théorie du genre veulent détruire toute règle morale et imposer leurs dogmes à nos enfants. Dans le journal La Croix en date du 21 mars 2013 Vincent Peillon déclarait : " Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel...".
    La Franc-maçonnerie travaille à salir le regard et l'esprit de nos enfants, elle saborde l'avenir de notre pays la France. Elle débarque dans les écoles élémentaires, sans débat et contre le droit des parents à élever leurs enfants en conformité avec la doctrine chrétienne et la loi naturelle.
    LE LOBBY HOMOSEXUEL
    " Sous la tutelle du lobby homosexuel, la machine de guerre du gouvernement est bien huilée avec la complicité d'éditeurs de livres pour enfants qui promeuvent l'homosexualité ", insiste la présidente de Avenir et Culture.
    Effectivement, il suffit de faire une recherche sur le site de la fnac pour trouver des livres comme " La princesse qui n'aimait pas les princes " paru chez Actes Sud, ou " J'ai deux papas qui s'aiment " chez Hatier.
    L'opinion familiale est placée devant le fait accompli d'un projet militant de féministes en mal d'identité et du lobby homosexuel qui a pour effet d'imposer aux enfants une théorie destructrice des valeurs essentielles de la société et contraire aux convictions de leurs parents.
    Vincent Peillon ne cache pas ses intentions de transformer l'école en temple de la religion nouvelle qui arrache l'enfant au déterminisme familial. " Oui, vous avez bien compris la révolution du genre est déclarée.

  • La dette française va exploser tous les records en 2014

    Le taux d’endettement du pays grimpera jusqu’à 95,1% du PIB fin 2014. Soit environ 1950 milliards qui équivaudront, en théorie, à une ardoise de plus de 30.000 euros par Français.

    En présentant la semaine dernière les grandes lignes du projet de loi de finances pour 2014, les ministres de Bercy, Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve, se sont montrés particulièrement discrets sur un sujet: l’endettement. Et pour cause, la dette va crever tous les plafonds l’année prochaine.

    Le texte qui sera présenté dans huit jours montrera qu’après avoir atteint 90,2% du PIB en 2012, la dette de la France en représentera 93,4% en 2013 et grimpera jusqu’à 95,1% fin 2014! Un record, bien supérieur au taux de 94,3% envoyé au printemps par Paris à Bruxelles dans le programme de stabilité.

    Il faudra en fait attendre 2015 pour que l’endettement hexagonal entame sa décrue. «Avec le retour à un équilibre structurel des finances publiques et une croissance de l’activité de 2% en volume, le ratio de dette diminuerait de 2 points par an en moyenne», anticipe déjà l’exécutif pour la période 2015-2017.

    Hausse de 120 milliards en deux ans

    Mais d’ici là, la dette de la France dépassera 1950 milliards d’euros à la fin 2014, si la croissance atteint 0,9% comme le prévoit le gouvernement. Soit une hausse de plus de 120 milliards en deux ans et un total qui équivaudra, en théorie, à plus de 30.000 euros par Français.

    Le pic de 2014 est «le reflet de la situation du déficit public», souligne-t-on dans les rangs du gouvernement où on reconnaît qu’«on est à un sommet et qu’il faut que ça change». Certes, Bercy prévoit que ce déficit recule de 4,1% cette année à 3,6% fin 2014. Mais, d’une part, c’est moins que ce qui était initialement prévu – Paris ayant décidé de profiter de la flexibilité de deux ans, jusqu’en 2015, offerte par la Commission européenne pour ramener ses finances publiques dans les clous du pacte de stabilité; et d’autre part, ce n’est pas suffisant pour inverser la courbe.

    Le chiffre «intègre en outre les plans de soutien financiers à la zone euro», insiste-t-on. Ces derniers ont déjà eu un impact sur la dette 2012 de la France de 48 milliards. Une note qui grimpera en cumulé à 62,5 milliards fin 2013 avant de culminer à 68,7 milliards fin 2014. Hors soutien à la zone euro, la dette atteindrait 91,8% du PIB à la fin 2014, un chiffre plus avenant sur lequel l’exécutif a prévu de communiquer beaucoup plus.

    «Le risque d’emballement de la dette n’est pas que théorique»

    À la veille de l’été, le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud, lors de la présentation de son rapport annuel sur les finances publiques, avait prévenu qu’«aussi longtemps que notre pays aura une dette élevée, il se situera dans une zone dangereuse qui l’expose à un risque en cas de hausse des taux d’intérêt». Avant de prévenir que «le risque d’emballement de la dette n’est pas que théorique», rappelant au passage que la charge d’intérêt des administrations publiques (environ 46 milliards en 2012, comme en 2013) représente en France plus du double de l’effort budgétaire consacré à la recherche et à l’enseignement supérieur.

    La semaine dernière, le ministre de l’Économie ne pouvait s’empêcher de lâcher: «L’opposition prophétisait une attaque spéculative; nous n’avons jamais emprunté si peu cher.» Avec un tel record d’endettement à venir, l’Agence France Trésor, la cellule de Bercy chargée de placer au mieux la dette de la France, doit croiser les doigts pour que cela dure…

    Le Figaro  http://fortune.fdesouche.com

  • Parlement européen : 205 millions d’euros pour des bureaux supplémentaires

    STRASBOURG (NOVOpress via Lionel Baland) – Le Parlement européen va consacrer 205 millions d’euros à de nouveaux bureaux à Bruxelles. Le Député européen du parti flamand Vlaams Belang, Philip Claeys, estime qu’il s’agit d’un gaspillage scandaleux en temps de crise.

     

    Précisons que Philip Claeys a posé une question à ce propos en tant que député européen et a reçu une réponse après près de… 5 mois, alors que d’un point de vue réglementaire la réponse doit être fournie dans les 30 jours.

    http://fr.novopress.info/