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magouille et compagnie - Page 2353

  • « Contre les apprentis sorciers du mariage homo, nous allons continuer la lutte. Pacifiquement » : Philippe Vardon

    Entretien avec Philippe Vardon, président de Nissa Rebela, membre dirigeant du Bloc identitaire.

    Dans une récente intervention à la télévision, cédant visiblement à la pression médiatique, Frigide Barjot s’en est prise aux militants patriotes qui assurent une part non négligeable du succès de la Manif pour tous. Elle a notamment appelé à mettre Philippe Vardon « en taule. » Il nous donne son point de vue. En toute liberté.

    Minute: Frigide Barjot a dit que votre place était en prison ! Que vous reproche-telle, précisément ?

    Philippe Vardon: Je ne sais pas ce qu’elle me reproche et ne suis pas sûr qu’elle le sache elle-même. En revanche, j’ai bien compris ce que Canal + me reproche: être un responsable identitaire! Je crois surtout que c’est l’amalgame entretenu par Manuel Valls et ses services qui peut expliquer cette réaction un peu émotive.

    Cet amalgame est patent depuis plusieurs jours: le ministre lui-même parle systématiquement de « groupes identitaires » pour ne citer que des groupes qui, justement, ne sont pas (et ne se revendiquent pas) identitaires!

    Comment expliquez-vous cette attitude ?

    Je pense que Frigide Barjot est mal renseignée à notre propos. Elle a aussi une pression énorme sur les épaules et se retrouve placée dans une situation difficile. Cette pression, elle y est sans doute moins préparée que des militants politiques comme nous, habitués à vivre dans une certaine tension permanente (Frigide et sa famille font aujourd’hui l’objet de menaces, c’est aussi mon cas – par les islamistes, pour ma part).

    En toute amitié, je pense qu’elle a tort de reprendre à son compte les éléments de langage relayés depuis plusieurs jours par le pouvoir socialiste et certains médias volontairement complices.

    La logique est évidente: on suscite des incidents (provocations, utilisation disproportionnée de la force, mépris des élus), on désigne le mal à travers des épouvantails (certains, malheureusement, consentants), on favorise ainsi des tensions et des divisions au sein des opposants, et enfin, on tente de criminaliser toute forme d’opposition au projet de loi Taubira.

    Les médias se retrouvent tout de même à mettre sur le même plan les « veilleurs » chantant l’Espérance assis aux Invalides et des types qui s’en prennent aux vitres d’un bar « gay »! Et puis, « tout ça c’est la faute à Mariton et à Barjot… et pourquoi pas à Vardon, tiens ! »

    La manip’ est bien concertée et bien coordonnée, certain(e)s ne la voyant pas venir sont un peu tombés dans le panneau, mais franchement la ficelle est grosse…

    Je pense que Frigide Barjot devrait aussi dénoncer la récupération du moindre fait divers par les réseaux LGBT et les médias. Un exemple: dans ma ville de Nice, deux homosexuels ont été agressés samedi. Rapidement, les médias nationaux ont évoqué une attaque homophobe et ont pointé du doigt les opposants à la loi Taubira.

    Pourtant, quand on lit le témoignage des victimes, on découvre que l’agresseur principal a pris soin de demander « Français ou Tchétchène? », et c’est après confirmation de la nationalité française de la future victime que les violences ont débuté. Alors, agression homophobe ou francophobe ?

    Bien qu’ouverte à tout le monde, on a du mal à trouver des mouvements de gauche au sein de la Manif pour tous… Croyez-vous que ce genre d’attitude peut décourager des militants patriotes de soutenir le mouvement ?

    Je ne l’espère pas, ne le souhaite pas, ne l’encourage pas. La question, ce n’est pas Frigide Barjot, ni moi-même, ni de savoir si tous les slogans nous conviennent et si on aime mettre des sweats roses ou pas… Une immense bataille est engagée, et elle dépasse de loin les contours de la loi en question.

    Christiane Taubira a elle-même parlé d’une « réforme de civilisation », et le sénateur socialiste Michelle Meunier a pour sa part évoqué la lutte contre la famille « hétéro-patriarcaleblanche » !

    C’est bien de civilisation, d’identité, de conception du monde, de Tradition qu’il s’agit. Aujourd’hui, face à nous, des apprentis sorciers veulent briser cet te chaîne. Ces fous en viennent à nier le réel, à défier la nature… Que l’on se situe sur un plan chrétien ou simplement dans la continuité de la pensée européenne classique, on ne peut que voir qu’ils nous amènent au chaos.

    Alors, dans cette situation, on prend sa place sur la ligne de front, même si tout n’est pas parfait, même si tout ne nous convient pas.

    J’ajouterai, enfin, que je ne crois pas que c’est au moment où la lutte a besoin de « porteurs de sens » pouvant transformer la colère (légitime) en véritable engagement qu’il faut que les patriotes s’en détournent.

    Comment prenez-vous cette déclaration et que comptez vous faire ?

    Pour ma part, je garde la tête froide: le mouvement identitaire (à travers le Collectif identité et filiation, notamment) est impliqué depuis le début dans le grand élan s’opposant à la rupture anthropologique que constituent l’ouverture du mariage et de l’adoption (puis les suites évidentes que seront la PMA et les mères porteuses) aux couples de même sexe. Ce combat, nous le menons aux côtés de millions d’autres Français appartenant à différentes associations ou formations politiques telles que l’UNI, le FN, l’UMP, la Ligue du Sud ou le PCD. Dans ce combat comme dans nos autres luttes, nous avons toujours prôné une résistance pacifique (je souligne bien ce mot), ce qui, en soi, ne nous éloigne donc pas tellement de la voie définie par Frigide Barjot. Alors, pour répondre à votre question, nous allons simplement – conscients de n’être qu’une partie d’un grand tout – continuer à lutter, aider, nous rendre utiles là où nous le pouvons.

    Propos recueillis par Lionel Humbert

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 24 avril 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    « Contre les apprentis sorciers du mariage homo, nous allons continuer la lutte. Pacifiquement » : Philippe Vardon

    http://fr.novopress.info/

  • Derrière l'alibi du Monsanto 810, l'alimentation "frankenbouffe" (2008)

    « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez le monde. Contrôlez la nourriture et vous contrôlerez les peuples » (Henry Kissinger).

    SANS José Bové et les lobbies écologiques dont le tintamarre est inlassablement relayé par une claque médiatique asservie aux Pouvoirs, la fausse science aurait -elle pu envahir comme elle l'a fait l'espace public ? L'affaire du maïs Monsanto 810 en tout cas lui permettra de se faire passer, ainsi que les semenciers transnationaux, pour des victimes. Tôt ou tard l'Europe l'aurait interdit parce que, contrairement à ce que clament ceux qui ont un accès exclusif aux media, la nocivité de l'QOM est largement avérée depuis près de dix ans. Deux chercheurs, le Mexicain Ignatio Chapela et le Britannique Arpad Puzstaï, l'ayant démontré sur le maïs et la pomme de terre, furent anéantis autant par les "experts" que par Monsanto. Et pourtant l'OGM apparaît comme beaucoup plus dangereux que le pesticide. Celui-ci en effet finira par être assimilé par le sol ou par l'eau. L'autre au contraire, ne cessera de se multiplier, contaminant tout ce qui est de son espèce. Le pesticide possède une réalité matérielle et ses résultats sont ostensibles. Nul ne peut déceler à l' œil la présence de l' OGM. II agit sournoisement. Ses effets immédiats et à long terme ne laissent pas de traces visibles. L'expérience et le temps seuls en feront, sans doute trop tard, la démonstration.
    La France, en faisant jouer la clause de sauvegarde, ne fait que devancer l'irrémédiable proscription et emboîter le pas aux pays européens qui l'ont déjà interdit. En revanche, voici requinqués les alliés objectifs du gouvernement que sont les ultra-gauchistes du moustachu du Larzac (que la secrétaire d'État à l'Écologie Nathalie Kosciuko-Morizet a tenu à embrasser devant les caméras) et les écolos-mous dont le Grenelle de l'Environnement a largement exposé la connivence avec l'Etat. Ni les uns ni les autres, notons-le, ne s'opposent par principe à la manipulation génétique des plantes dès lors qu'elle est exécutée en milieu confiné.
    Sans doute la FNSEA et les producteurs de maïs OGM, trompés, vont-ils pendant un temps s'exciter, à l'image de M. Le Métayer, profondément inféodé au Système. Ceux qui voudront passer outre comprendront qu'à l'inverse des « Faucheurs Volontaires », ils n'ont à espérer aucune clémence de la loi. Les multinationales semencières enfin savent qu'elles récupèreront leur pactole. Les OGM céréalières et les pesticides spécifiques qui vont avec n'ayant d'autre fonction que de maintenir leur domination sur le marché mondial. Interdit par Bruxelles, le Mon 810 serait cultivé ailleurs et importé en Europe où l'activité la plus florissante, semble-t-il, est la création de nouvelles plateformes portuaires ou l'élargissement des anciennes.

    ET LE CLONAGE EN PLUS !

    On aura peu parlé en revanche des milliers d'aliments comprenant des OGM. Aux Etats-Unis, ils représentent 80 % de l'offre des supermarchés. En France, ils ne sont pas signalés en-dessous de 0,9 %. Et ne le sont pas du tout dans les viandes d'animaux industriels gavés de céréales importées génétiquement modifiées. 60 % du soja et 20 % du maïs mondiaux sont OGM et destinés à l'alimentation animale ou humaine, sous forme, par exemple, de lécithine de soja et d'amidon de maïs. On comprend mieux que USA, Brésil, Argentine fassent le siège de l'Organisation Mondiale du Commerce afin de faire lever les quelques restrictions votées par l'UE. Dans le même temps les laboratoires de Monsanto, Dupont, Bayer, Syngenta s'activent sur un blé transgénique, capable, disent-ils, de sauver l'humanité par sa résistance aux sécheresses qui s'étendent d'Australie à Ia Chine et de l'Argentine à l'Espagne et qui sont essentiellement la conséquence d'une désertification provoquée par la surpopulation, la sururbanisation et la surconsommation d'eau. Ce qui n'a pas empêché le directeur de la FAO, le Sénégalais Diouf, d'alerter contre les prémices de famine dont sont frappés les pays pauvres « à cause du réchauffement climatique, dit-il, qui réduit la production alimentaire et fait bondir les prix » !
    Au même moment, la FDA américaine autorisait la commercialisation de viandes et de lait issus d'animaux clonés. Aussitôt un débat de diversion s'instaurait en Europe entre ceux qui sont favorables ou indifférents au clonage et ceux qui s'y opposent. Un Michel Barnier se découvre soudain une fibre terroir - « Je ne suis pas partisan d'importer le modèle alimentaire américain. Nous avons notre propre modèle, qui est fait de produits de qualité, authentiques et diversifiés » - ; d'autres, comme la vétérinaire Jeanne Brugère-Picot, spécialiste en pathologies des animaux de ferme, ne voient aucun danger à consommer de telles viandes. Au motif que, d'une part, n'arriveraient dans les assiettes que les descendants des reproducteurs clonés, le prix de ces derniers étant prohibitif (plus de 10 000 € par vache, par exemple) et, d'autre part, que ce clonage ne serait après tout qu'une supersélection facilitant la constitution de troupeaux aux qualités exceptionnelles, poussant vers le bas le prix du lait et de la viande.
    Un discours irresponsable, qui a conduit l'agriculture progressiste dans l'impasse actuelle. Quelques taureaux Prim' Holstein, grâce à l'insémination artificielle et à une sélection contraire à la biodiversité aujourd'hui tant célébrée ont engendré en France l'actuel troupeau de vaches laitières de cette race. Ce que l'on propose donc est d'aller encore plus loin vers une souche unique - oh, certes, la plus productive. Une rationalisation, porteuse de catastrophes prévisibles.
    Les millions de volailles sélectionnées, brûlées chaque année parce que, leurs défenses immunitaires étant détruites, elles sont incapables de résister au moindre virus, donnent peu d'espoir aux 8 à 9 milliards d'humains de demain.
    On comprend que, laissant la pauvre Nathalie Kosciusko-Morizet se débrouiller avec les cacophonies nées du Grenelle de l'Environnement, Borloo se soit esquivé tandis que Nicolas Sarkozy - pour le plus grand profit d'Areva, de Laffarge, de Bouygues, de Vinci et autres géants de la pollution au béton, gourmands de troupes immigrées - démarchait le nucléaire à travers le monde arabe. Le Monsanto 810 ne servirait-il pas aussi à faire oublier que les ultimes espérances de l'industrie française reposent - avec le ferroviaire, l'aéronautique, l'espace et le tourisme de masse - exclusivement sur des activités polluantes ?

    LES NANOPARTICULES : PANACÉE OU DANGER MORTEL ?

    Enfin, quelle indifférence entoure en France les recherches poursuivies dans le pôle scientifique de Grenoble sur les nanoparticules dont on commence à craindre qu'elles ne soient les OGM de demain, en pire! Une scientifique de l'université de Griffith en Australie, le Pr Kristin Lyons, a pourtant alerté contre les dangers représentés par leur présence sans réglementation ni contrôle dans les aliments, les cultures et les pesticides. Pour justifier ce nouveau "progrès" vers la « nourriture Frankenstein », on nous assure qu'incorporées aux aliments, les nanoparticules permettraient de lutter contre la dégénérescence et les rides. Pour Unilever, elles réduiraient de 99 % les graisses des crèmes glacées. Pour Mars, un nano-nappage déposé sur ses produits Twix et M&M, éliminerait les bactéries. Kraft travaille sur des « nourritures programmables », comme des boissons sans couleur ni goût. Vers 2010, prévoit-on, le marché mondial des nanoparticules alimentaires pourrait dépasser les 20 milliards de dollars. Alors que, s'inquiète Vicki Stone, professeur de toxicologie à l'université Napier d'Edimbourg, « nous savons si peu de choses sur leur capacité à se déplacer dans le corps et sur leurs effets potentiels toxiques sur les différents organes ».
    À ce jour, en effet, aucune législation n'oblige, dans quelque produit, fût-il alimentaire, à mentionner la présence de ces poussières de carbone. Seule, la Soi! Association, premier organisme certificateur bio du Royaume-Uni, a produit un logo attestant l'absence de nanotechnologies. La Consumers Union des EtatsUnis, première centrale de consommateurs du pays, réclame en vain une labellisation obligatoire en la matière, davantage de contrôles et le lancement de programmes d'études sur leurs effets toxiques.
    Mais alleluia, le maïs Mon 810 est provisoirement gelé en France et M. Michel Barnier et l'UE font la moue sur la viande et le lait produits par des animaux issus d'un clonage ... Tout va bien.
     Petrus AGRICOLA. 25 JANVIER 2008 - RIVAROL

  • PMA : le gouvernement attend que la mobilisation retombe

    Lors du pseudo-débat sur la loi Taubira, le gouvernement, devant l'ampleur de la mobilisation, avait demandé aux députés de renoncer à inclure la PMA pour les personnes homosexuelles dans le texte, contre la promesse que la PMA sera discutée dans le cadre d'une "loi famille", en mars. Puis Dominique Bertinotti, interrogée de nouveau, évoque un texte "avant la fin de l'année". Matignon ajoute qu'il faut attendre l'avis du comité consultatif national d'éthique (CCNE). Et François Hollande, le 25 mars, annonce qu'il attend les conclusions du comité non seulement pour fixer le calendrier de la loi, mais pour décider s'il y aura ou non une loi sur la PMA.

    Face à la mobilisation qui ne faiblit pas, le gouvernement ne veut plus parler de la PMA. Dominique Bertinotti, ministre de la famille, déclare :

    "Il faudra en reparler dans trois ou quatre mois. Tant qu'il n'y a pas d'apaisement sur le mariage et l'adoption, on ne peut pas. Si c'est pour se réagiter, ça n'a pas de sens."

    Ou, plus simplement, il faut attendre que des personnes homosexuelles portent l'affaire en justice et que la CEDH condamne la France pour discrimination. Pour la PMA, pas besoin de loi, il suffit que l'injustice fasse son oeuvre.

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « Or, sous tous les cieux sans vergogne,..."

    « Or, sous tous les cieux sans vergogne, c’est un usage bien établi, Dès qu’il s’agit de rosser les cognes, tout le monde se réconcilie  » Georges Brassens

    Mon enfance fut bercée par Brassens grâce à un oncle qui le découvrit dès ses premiers succès et l’interpréta avec bonheur sur sa guitare…

    Très vite ces chansons n’eurent plus de secret pour moi au grand désespoir de mes parents qui trouvaient qu’elles étaient peu adaptées à la toute petite fille que j’étais ! Ainsi « Hécatombe au marché de Brive la Gaillarde » fit partie de mon répertoire… Et de celui de nombre de Français !

    Je suis sidérée d’entendre la classe politico médiatique jouer les vierges effarouchées devant les « violences » relevées lors des manifestations pour le droit de tous les enfants à avoir un père et une mère ! Car enfin, de quoi parle-t-on ? Hormis, peut-être quelques crétins patentés qui auraient utilisés des boulons (selon Monsieur Valls qui devrait vérifier ses sources), des jeunes gens ont bousculé quelque peu la police, certains outrés par leur agressivité, d’autres par désir de renouer avec une tradition plusieurs fois centenaire.

    Le chef d’inculpation d’un des jeunes arrêtés la semaine passée est « dégradation de bien public », le dit bien public étant, tenez-vous bien, une barrière métallique secouée vigoureusement et qui chût malencontreusement ! Un autre est accusé de « rébellion » pour s’être défendu contre quatre CRS qui lui tombaient dessus ! Aucun autre chef d’inculpation : Il ne faisait que passer.

    Et la liste pourrait être longue !

    Les anciens soixante-huitards et leurs héritiers, ringardisés par cette jeunesse qu’ils ne comprennent plus, en ont fait bien d’autres et ont la mémoire courte. Ils agitent des mots, généralement attribués aux conservateurs, fort savoureux dans leur bouche !

    Cohn-Bendit, réveille-toi, ils sont devenus fous !

    Mais le plus triste est sans doute que bien de nos amis tombent dans le panneau et joue le jeu de ces nouveaux défenseurs de la vertu… allant même jusqu’à encourager la délation et les arrestations arbitraires. Que ceux-là comprennent qu’ils sont définitivement dans « le camp du mal » pour le gouvernement en place et la presse aux ordres qui eux sont dans « le camp du bien ». Dès lors, il ne sert à rien de leur offrir quelques victimes expiatoires. Leur péché est irrémissible !

    Attention ! Je ne dis pas qu’il est forcément opportun ici de s’opposer à la maréchaussée tant la force qui émane de cette jeunesse joyeuse est suffisante en elle-même. Mais je regrette le temps béni où Brassens aurait encore pu écrire face aux nouveaux bigots :

    « Or, sous tous les cieux sans vergogne, c’est un usage bien établi, Dès qu’il s’agit de rosser les cognes, tout le monde se réconcilie  » !

    Hildegarde  http://www.actionfrancaise.net

  • Unions civiles : ça cafouille au Vatican

    Il y a quelques jours Andrea Tornielli rapportait des propos de Mgr Piero Marini en marge d'un Congrès eucharistique au Costa Rica : l'archevêque, ancien cérémoniaire de Jean-Paul II et un temps celui de Benoît XVI, a déclaré :
    « Il est nécessaire de reconnaître les unions des personnes de même sexe ; il y a beaucoup de couples qui souffrent parce que leurs droits civils ne sont pas reconnus. Ce que l'on ne peut pas reconnaître, c'est que ces couples soient mariés. »
    Il réagissait à une question sur la laïcité de l'Etat, abordant spontanément cette question des unions homosexuelles.
    Au cours de cet entretien dithyrambique à propos du pape François – « On respire un air frais, c'est une fenêtre ouverte sur le printemps et l'espérance. Jusqu'ici nous avions respiré des eaux de marécages, qui sentent mauvais » – Piero Marini dit aussi toute la simplicité de Jean-Paul II, se bornant pour Benoît XVI à critiquer son choix d'ouvrir un compte Twitter…
    Il est vrai que Benoît XVI n'eût pas apprécié cette sortie sur la reconnaissance civile des unions homosexuelles, vu la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la Foi sur son caractère inacceptable du point de vue catholique. Mgr Marini semble avoir oublié que Jean-Paul II lui-même l'avait solennellement approuvée, en la fête de saint Charles Lwanga et ses compagnons, morts martyrs pour ne pas avoir voulu participer à des actes homosexuels.
    Mgr Piero Marini n'est pas seul : le cardinal Paglia – du Conseil pontifical pour la famille ! – et le cardinal Schönborn se sont aussi exprimés en ce sens.
    Le théologien suisse Martin Rhonheimer vient de faire une mise au point en déclarant que ces unions civiles sont une « discrimination » à l'égard des couples mariés.
    « Outre qu'elle contiennent un message moral erroné, elles consistent en réalité à discriminer à l'égard des personnes mariées, qui se sont volontairement engagés dans le cadre d'une union ordonnée à la transmission de la vie humaine, en acceptant tous les fardeaux et toutes les responsabilités de cette tâche. »
    Le P. Rhonheimer a ajouté, au cours d'un entretien avec Catholic News Agency : « Conférer une égalité légale aux unions de même sexe revient à établir publiquement, dans le sytème légal, le principe de la dissociation entre la sexualité et la procréation. »
    Il n'exclut pas pour autant des solutions de droit privé qui pourraient protéger les droits civiles de ces couples, facilitant par exemple le secours mutuel en cas de maladie ou dans la vieillesse, ni des des adaptations en matière de droit successoral.
    CNA rapporte sa déclaration selon laquelle l'acceptation des unions civiles homosexuelles revient à les mettre sur le même plan que le mariage, qui « est par sa nature même l'union entre un homme et une femme. »
    « Mais en mettant sur un pied d'équivalence les unions homosexuelles et le mariage, le système légal commence à intégrer un principe qui en réalité transforme la nature du mariage en tant qu'institution sociale et légale. Outre que cela constitue une discrimination à l'égard de ceux qui consentent à des sacrifices considérables pour élever leurs enfants et qui contribuent d'une manière très essentielle et irremplaçable au bien commun de la société dans la durée, cela comporte des conséquences imprévisibles, sur le long terme, pour l'ensemble du système légal et social. »
    L'idée de reconnaître les unions civiles homosexuelles va nécessairement de pair avec l'idée qu'il n'y a pas de lien moral nécessaire entre la sexualité et la procréation qui nous vient de la « révolution sexuelle » au XXe siècle. « Toute tentative visant à prouver l'égalité, sur le plan social et politique, entre unions hétérosexuelles et homosexuelles est vains, pour la simple raison que les unions homosexuelles sont par leur propre nature non-procréatrices. »
    Si la tendance homosexuelle est un désordre, a-t-il ajouté, il ne faut pas blâmer ceux qui en font l'expérience ni les considérer comme coupables du fait qu'ils l'éprouvent. « D'un autre côté, l'Eglise enseigne que les actes homosexuels sont gravement et intrinsèquement peccamineux et que par conséquent les personnes ayant une orientation homosexuelle doivent s'abstenir des actes sexuels, en restant dans la continence (à égalité avec les personnes célibataires). »
    La question se pose dès lors quand même : faut-il reconnaître des « solutions de droit privé » aux couples homosexuels ? Le P. Rhonheimer affirme que oui, malgré sa mise au point sur l'enseignement moral de l'Eglise qui a longtemps été partagé par le plus grand nombre, connaissant l'Eglise ou non.
    Il me semble qu'il y a une seule manière d'en sortir ; en « désexualisant » l'accès à des solutions de droit privé qui ne devraient pas être accordées comme une sorte de prime à l'activité homosexuelle, mais imaginées pour venir au secours, dans notre société éclatée, aux personnes qui font le choix, quel que soit leur lien affectif ou effectif, de vivre ensemble pour des raisons humaines et pratiques, en reconnaissant le service qu'elles se rendent mutuellement et dont elles déchargent une collectivité de plus en plus sollicitée pour compenser les manques de l'entraide ou de la proximité familiale ; manière aussi d'assouplir le poids fiscal qui ne laisse aujourd'hui pas aux personnes seules le loisir de transmettre leur patrimoine à un proche sans laisser l'Etat se servir très largement au passage.

    © leblogdejeannesmit

  • L’UMP, frigide et barjot !

    Tribune libre d’Aristide Leucate*

    Alors que la loi Taubira sur le « mariage » homosexuel est en passe d’être adoptée [article écrit hier 23 avril au matin], avant une saisine plus que certaine du Conseil constitutionnel aux fins de contrôle de conformité/compatibilité de la loi à la Constitution, il est temps de dresser un bilan d’étape.

    Il est plus que contrasté, voire relativement peu satisfaisant. À moins que, l’Histoire étant riche d’imprévus par définition, la grande manifestation nationale du 26 mai prochain emporte tout sur son passage, y compris le gouvernement actuel. Précisons qu’il y aura aussi, entre-temps, le 1er mai et ses traditionnels cortèges sociaux ainsi qu’une autre manifestation le 5 mai où les partisans de Mélenchon croiseront les opposants au « mariage » des paires. Tous ces rendez-vous sont porteurs de potentialités d’un grand renversement.

    Il n’empêche que l’on peut sérieusement se mettre à en douter, sans pour autant verser dans le désespoir politique, une sottise absolue. En ligne de mire, l’UMP. Ce très lointain (moins par sa distance historique que par sa volte-face idéologique et sa soumission au politiquement correct) héritier du « gaullisme » n’est visiblement pas à la hauteur des enjeux. Certes, on notera la présence active, sans désemparer, de députés comme Mariton, Le Fur, Meunier, Jacob, Gosselin ou Poisson, et une poignée d’autres, au sein des diverses manifestations et rassemblements populaires pacifiques de ces dernières semaines. Ils ne constituent, hélas, qu’un pâle écran de fumée masquant à peine les grandes manœuvres politiciennes qui préludent aux élections municipales de l’an prochain où la « droite » espère rafler la mise (comme en 1983). Ces francs-tireurs, certains très sincères dans le combat qu’ils mènent pour un modèle familial, certes très malmené par la pratique banalisée des divorces et des recompositions nombreuses, mais reposant sur le donné socio-anthropologique universel de l’union d’un homme et d’une femme, sont habilement manipulés par les cadres de leur parti. Ils rentrent, en effet, dans la stratégie « copéiste » de récupération électoraliste du mouvement, la « Manif pour tous », justement dénoncée par Marion Maréchal-Le Pen.

    La grande majorité des cadres de l’UMP instrumentalisent un mouvement populaire qu’ils réduisent abusivement, mais à dessein, au soulèvement d’un improbable peuple de « droite ». Pourtant, on ne sache pas, par exemple, que les musulmans qui rejoignent les rangs des manifestants, soient particulièrement de/à « droite »… (ces derniers ont, d’ailleurs, dans leur immense majorité, voté pour François Hollande). Cette stratégie à courte vue est attestée par les propos échangés lors du dernier bureau politique de l’UMP (17 avril). Hormis l’ancien frontiste, Guillaume Peltier, qui s’est prononcé en faveur de l’abrogation pure et simple de la future loi Taubira, une fois l’UMP revenue aux affaires, Copé militait, lui, pour l’« union civile » des invertis, tandis que Fillon proposait non moins audacieusement, de « réécrire le texte sur la question de l’adoption, la PMA », la palme du lâche renoncement revenant à l’ancien ministre de l’Education au « genre », Luc Chatel, déclarant qu’il n’était « pas favorable à l’idée de revenir sur ce texte une fois au pouvoir ». [...]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net

  • Pour un printemps de la Justice contre les violences policières

    Communiqué du CARP (Cercle des avocats contre la répression policière) :

     

    "Alors que le gouvernement a fait adopter dans la précipitation et ce au mépris d’une opinion de plus en plus hostile, la loi dénaturant l’institution du mariage et fragilisant les plus faibles, les violences policières se multiplient. Hier Pascaline a été interpellée devant l’assemblée nationale alors qu’elle était seule, un tee shirt de la manif pour tous qui dépassait de son blouson, par deux policiers en civil. Après l’avoir contrainte à se rendre près du métro Assemblée nationale, elle a été violemment frappée par ces policiers accompagnés dans ces œuvres de basse police politique, par deux gendarmes. Cet acte de violence n’est hélas pas isolé.

    Depuis plusieurs jours, des jeunes gens, en majorité des jeunes filles, se font prendre à partie de manière isolée par des agents de la force publique. Ces faits de violence répétées par des personnes dépositaires de l’autorité publique à l’encontre des opposants à la loi Taubira, sont hélas suffisamment récurrents pour ne pas y voir une volonté politique de museler cette résistance pacifique en dissuadant les plus faibles des manifestants comme ce fut le cas avec la garde à vue des 67 campeurs de l’assemblée nationale.

    Pascaline et avant elle, Marie Astrid, Gabrielle, Thomas ou encore Dominique ont décidé de porter plainte. Le cercle des avocats contre la Répression policière (le Carp) demandent expressément au Procureur de la république d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces violences. Alors qu’un syndicat représentatif de magistrats affiche dans ses locaux un « mur du çon » sur lequel figurent les noms des pères de victimes odieusement assassinées, il est temps que les victimes soient reconnues.

    Un rassemblement sera organisé lundi 29 avril à 18 heures 30 devant le Palais de Justice de paris pour dénoncer ces violences et demander solennellement au Parquet et à Madame Taubira de rendre justice."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Pauvre FRANCE… Vieille FRANCE et le Printemps Français, par Christian Vanneste

    Entre dérisoire et grotesque, un texte a été voté hier à l’Assemblée qui sera cité par les civilisations qui nous succéderont comme un signe de l’aveuglement des sociétés qui meurent.
    Le mariage gay est à l’Occident ce que le sexe des anges était à Byzance, l’art de se concentrer sur une impasse quand les concurrents galopent dans la plaine ouverte à leur invasion. Tandis que la vieille Europe se recroqueville sur ses petits bonheurs consuméristes et individualistes, dont la réalité s’érode à mesure que diminue la vraie richesse et que se retire le reste de sa puissance, la Chine, l’Inde conquièrent avec l’ensemble de l’Asie la maîtrise du monde.
    Il est frappant de constater que la liste des 17 pays qui ont voté cette réforme absurde appartiennent à « l’Occident Chrétien », préservé des autres religions et à l’abri du communisme, et dont le matérialisme libéral ou social-démocrate n’en finit pas de régler ses comptes avec l’Église Catholique. Chez les Protestants du nord, c’est une formalité.
    Chez les Catholiques du sud, c’est une revanche politique contre l’Église de Madrid à Buenos-Aires, de Lisbonne à Sao Paolo. Quant à l’Afrique du Sud, sa minorité d’Européens du Nord a tant de choses à se faire pardonner en matière de ségrégation auprès d’une majorité noire protestante, elle aussi, que le seul pays réellement développé d’Afrique est aussi le seul à avoir enfourché ce signe ambivalent de l’avancée et du déclin.
    Les pays où l’Église Catholique est toujours au cœur de la société, et n’est pas contestée politiquement, résistent davantage. Ceux qui viennent de s’asseoir à la table du festin capitaliste ont d’autres rêves à caresser. Ils montent et nous descendons.
    Les États-Unis sont divisés entre l’illusion californienne d’un lien nécessaire entre créativité technique et anarchie sociétale, d’une part, et la résistance d’une nation jeune qui veut encore dominer l’avenir du monde, d’autre part. Cette confrontation entre le politiquement correct de San Francisco et la culture de vie qui anime toujours les Américains s’est traduite par une défaite des partisans du mariage unisexe lors du référendum californien.
    On observera que les vieux États du nord-est, accrochés à l’Atlantique, et par-delà à l’Europe l’ont au contraire voté. Ce vote se présente curieusement comme un progrès alors qu’il est le fait des pays qui ont leur avenir derrière eux, des sociétés dont la pensée commune s’emmure dans le présent et l’individu, quand le futur appartient à celles qui cultivent l’élan collectif.
    C’était le secret des « 30 glorieuses » et du mouvement qu’a connu l’Europe après la seconde guerre mondiale, la réalisation d’un rêve populaire, dans une société libre et solidaire à la fois, au sein de laquelle des personnes suffisamment autonomes dans leur action mais sécurisées par la stabilité des familles et la force des États pouvaient créer, entreprendre et transmettre.
    La construction européenne devait être l’aboutissement de cette espérance. Elle s’est enlisée dans la technocratie et n’est plus aujourd’hui que l’acteur et le notaire du déclin d’un continent.
    À la perte déjà consommée de sa puissance militaire, l’Europe ajoute en ce moment même son effondrement économique. Sa démographie est en berne. Les inventions se font autour du Pacifique, les produits viennent de l’est, et les populations du sud. Et l’Europe frétille à l’idée que des personnes qui ne peuvent pas avoir d’enfants puissent fonder des familles !
    La France n’a pas manqué de respecter son identité. Pays de l’entre-deux, elle a connu un affrontement dont elle ne se croyait plus capable.
    À gauche, il y a la caste des notables soixante-huitards, repus et bedonnants, qui justifient si plaisamment  la vision que Jacques Brel avait des Bourgeois, les héritiers décadents des « laïcards » de la fin du XIXe, trépignant de joie à l’idée de diviser les Français et d’effacer la véritable identité de notre pays.
    À droite, a ressurgi du néant avec le Printemps Français, tout un peuple manifestant pour conserver une idée de la France, de sa civilisation, et à travers elle de l’humanité. Cela vous a une autre gueule que de manifester pour des intérêts privés, ou de voter pour eux comme l’ont fait certains députés ou sénateurs UMP !
    Les manifestants interpellés avec vigueur par la police tandis qu’on va amnistier les casseurs sociaux ne se battent que pour leur idéal. La France était l’État-Nation par excellence. Michel Debré disait que c’était un peuple, des frontières et une transcendance. Aujourd’hui, l’État impuissant sur les vraies questions fait mine de résoudre de faux problèmes, les frontières ont disparu, mais il y a encore un Peuple  qui est animé par une transcendance, et qui est prêt à redresser la France par « le génie du renouveau ».
    C’est à lui qu’il faut donner la parole.

    Député Honoraire - Président du RPF - Président de Famille et Liberté

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Manque de CRS : le régime s’épuise !

    3163833_3_f59b_paris-le-21-avril-2013-manifestation_dc801814dabbf3a37420428acb63afb2.jpgLe journal Économie Matin révèle que, « de sources autorisées au ministère de l’Intérieur, il nous a été expliqué sous le sceau de la confidence que les effectifs de police (essentiellement, de CRS) et de gendarmerie mobile commençaient à manquer, et que la situation serait intenable au mois de mai, alors que les manifestations inscrites « au planning » sont de plus en plus nombreuses« .

    La place Beauvau, au ministère de l’Intérieur, semble paniquer devant l’agenda du mois de mai. imalgré les vacances. Entre la manifestation du Front de gauche le 5 mai, celles deFlorange, Aulnay, mais encore les manifestations quotidiennes que les opposants au mariage gay organisent désormais depuis quelques temps déjà. « Les autorités éspérent que le vote solennel du mariage homosexuel intervenu ce mardi 23 avril à l’Assemblée découragera les opposants, mais appréhendent en fait que cela galvanise encore plus les mouvements pacifiques, comme celui des Veilleurs, qui sont grands consommateurs de forces de maintien de l’ordre, alors même qu’ils sont statiques et non violents« . Et le journaliste explique un peu plus loin : « ces contraintes de planning et d’employabilité des CRS risquent de rendre la situation du maintien de l’ordre en France intenable à la fin du mois de mai, juste au moment de la grande manifestation du 26 mai à laquelle appelle Frigide Barjot et le comité organisateur de la Manif pour tous. A cette date-là, les jours de repos non pris accumulés, les permissions annulées, auront dépassés la côte d’alerte, avec le risque non négligeable que des unités refusent d’être mobilisées« .

    Signe d’un régime en crise qui suscite à ce point la désapprobation et la contestation qu’il semble se mettre lui-même en danger. Alors que le rôle même de l’État est de maintenir la paix intérieure sur le territoire national, ainsi que la sécurité, sa politique paraît aujourd’hui sécréter elle-même la violence et la retourner contre lui. Faire à ce point l’unanimité contre soi, la contestation étant suffisamment large pour réunir toutes les composantes de l’échiquier politique, voilà qui n’est pas commun, surtout pour un homme élu il y a tout juste un an par le peuple français…

    Quoiqu’il en soit, cela révèle que la mobilisation des manifestants hostiles au « mariage » homo a une réelle incidence sur le déroulement de la vie politique française. Cette mobilisation ne doit pas faiblir, elle ne doit pas s’essouffler… Notre résistance à ce régime d’essence totalitaire, car le législateur se croit au-dessus du droit naturel, doit désormais s’inscrire dans la durée et dans le paysage politique français !

    http://www.contre-info.com/

  • Vote de la loi Taubira : jour de colère pour la jeunesse française (vidéo)

    Le Petit Journal – 24/04/13

    Des journalistes du Petit Journal coursés aux Invalides

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