Voilà un communiqué qui devrait faire du bruit.
Amnesty International a enquêté sur les frappes russes effectuées depuis avril sur les fronts du sud (Mykolaïv) et de l’est, dans l’ensemble du Donbass.
Et le constat, publié le 4 août, n’est pas tendre : « Le fait de se trouver dans une position de défense ne dispense pas l’armée ukrainienne de respecter le droit international humanitaire », a ainsi déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty.