Le principe de précaution (celui de l’écologie mondialiste et morale) nous dit que la liberté est dangereuse puisque la liberté c’est l’incertitude. Il faut donc éradiquer la liberté devant la nécessité absolue de contrôler le monde pour en réduire les risques.
Le mondialisme est l’idéologie d’un monde sans risque. Un monde où toutes les incertitudes ont été soumises à l’analyse de modèles et d’algorithmes prédictifs pour être cernées, maîtrisées, détruites, anéanties, exterminées.
Des risques imaginaires sont ainsi prédits à l’infini pour maintenir le monde sous le joug du principe de précaution. Puisque le pire est toujours possible, ils prédisent donc toujours le pire.