magouille et compagnie - Page 836
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Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.
Le Conseil constitutionnel, au nom des sacro-saintes "libertés publiques" vient d'invalider la loi imposant un suivi des djihadistes à leur sortie de prison.Cette loi, par la faiblesse de son contenu et la timidité des mesures qu'elle instaurait - bracelet électronique, obligation de pointer chaque semaine dans un commissariat ou une gendarmerie, devoir de signalement d'un changement d'emploi ou de résidence, sans oublier l'incontournable, dérisoire et toujours hilarant "suivi psychologique en vue de déradicalisation" - relevait, certes, de la cautère sur une jambe de bois (le traitement clinique le plus efficace étant, selon nous, l'expulsion pour les étrangers et pour les binationaux après déchéance de la nationalité, et peine de mort dans les cas les plus graves). -
CULTURE DE MORT : AVORTEMENT L’objectif de l’amendement sur l’IMG pour détresse psychosociale est d’ouvrir une brèche pour obtenir un élargissement du délai légal de l’IVG
Analyse d’Antoine Pasquier (journaliste à Famille chrétienne) sur l’amendement au projet de loi bioéthique, élargissant le recours à l’IMG :
L’amendement sur l’IMG pour détresse psychosociale, adopté dans le cadre de la loi de bioéthique, ne vient pas de nulle part. Son idée court depuis plusieurs semaines, et son objectif est bel et bien d’ouvrir une brèche pour obtenir un élargissement du délai légal de l’IVG. Explications.
1. Mars dernier. En raison du confinement, le Planning familial s’inquiète du grand nombre d’avortements ne pouvant être pratiqués en France. Il a demandé au gouvernement la possibilité d’allonger le délai légal de deux semaines. Ce dernier s’y oppose, ne voulant pas ouvrir un débat brûlant en pleine crise sanitaire.
2. Toutefois, le 23 avril, en réponse à un courrier adressé par plusieurs parlementaires, le ministre de la santé Olivier Véran annonce dans une lettre qu’en cas de recours tardif à l’avortement, il serait désormais possible d’utiliser la notion de “détresse psychosociale” de l’interruption médicale de grossesse (IMG) pour avoir recours à une IVG par aspiration.
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Bordeaux : des militants pro-vie dénoncent l’amendement sur l’IMG ajouté à la loi de boéthique
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Traitement du Covid-19 : le virus des incohérences n’a pas de répit
Beaucoup d’incohérences et de décisions incompréhensibles ont eu lieu, ces six derniers mois, concernant la gestion de la crise sanitaire, et nombre de citoyens se sont demandé, comme moi, ce qui pouvait conduire à autant de choix aux antipodes de ce que la logique semblait exiger.Des incohérences répétées ont fleuri sur le sujet, allant parfois jusqu’à refuser la généralisation des tests de dépistage en plein cœur de l’épidémie ou la sollicitation des laboratoires vétérinaires à cette fin, ni même des cliniques privées pour prendre en charge les malades, ou encore jusqu’à déclencher un confinement généralisé en l’absence totale d’études et analyses sérieuses sur le sujet…
Les journaux aiment à répéter que s’attarder sur toutes ces incohérences et tous les questionnements qu’elles suscitent n’est rien d’autre que du complotisme, terme désormais plus que galvaudé pour désigner toute remise en question de la doxa qu’ils nous prodiguent. -
Il fait trop chaud et ils étaient confinés… il faut les excuser !
« Pourquoi les îles de loisirs franciliennes connaissent-elles une flambée de violences cet été ? », c’est la question que se pose, naïvement, Le Parisien après l’épisode survenu, samedi, sur la base de loisirs d’Étampes, et que le journal ne qualifie même pas d’incivilité mais seulement d’une « bousculade » d’environ deux cents personnes.
À vrai dire, les images largement visionnées sur Internet de cette baston généralisée entre « jeunes » évoquent, toutefois, plus les sombres heures du Rwanda que le métro aux heures de pointe, et les policiers ont dû avoir recours aux gaz lacrymogènes pour disperser les combattants. Avant d’en venir aux arts martiaux en plein air, « les jeunes, chauffés par le soleil, ennuyaient les familles présentes, les obligeant à quitter les lieux, et draguaient outrageusement les jeunes femmes », raconte un policier. Mais que fait donc #MeToo ?
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Le maire de Montpellier subventionne fièrement SOS Méditerranée qui a fait entrer 30.000 immigrés en Europe
Voilà un acte qui donne clairement l’orientation générale de la nouvelle équipe municipale de Montpellier. Michaël Delafosse a fait le choix d’attribuer « symboliquement » sa première subvention en tant que maire à l’accueil des migrants.
Bien que cela ne soit pas vraiment une surprise pour un maire socialiste, Michaël Delafosse a voulu marquer le coup. Alors que ces dernières semaines, la ville de Montpellier a connu une explosion des agressions, dans lesquelles des immigrés clandestins ont très régulièrement été impliqués, le nouveau maire a décidé que la première subvention de son mandat irait aux migrants.
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Me Fabrice di Vizio : L’heure des comptes a sonné
La crise sanitaire du Covid-19 en France a donné lieu à une gestion calamiteuse. Les acteurs politiques ont montré leur faille à tous les niveaux. Empêtrés dans une idéologie mondialiste, ils ont refusé la fermeture des frontières; adeptes des coupes budgétaires, ils ont mis à sac les hôpitaux; obsédés par le libre échange, ils ont abandonné les stocks stratégiques et notre souveraineté sanitaire. Plus de 30 000 morts plus tard, les responsables doivent s’expliquer. Et ce n’est pas la commission d’enquête parlementaire qui permettra de faire le jour sur cet enchainement d’échecs.
Maître Fabrice di Vizio, avocat spécialiste des questions de Santé, représente le collectif C19, composé de médecins et soignants, qui ont souffert de l’incompétence et l’imprévoyance de nos dirigeants. Tous ensemble, ils ont décidé de mettre l’exécutif face à sa responsabilité. Ils poursuivent Agnès Buzyn, Edouard Philippe, Olivier Véran, parties prenantes gouvernementales pendant la crise, devant la cour de Justice de la République.
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Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
Source : ICI
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Municipales à Paris : des migrants clandestins, payés au noir, auraient distribué des tracts pour EELV
Deux hommes originaires du Nigeria auraient travaillé pendant la campagne pour l’un des prestataires du parti écologiste, sans que ce dernier en soit informé.
Le parti Europe Écologie Les Verts a-t-il tout maîtrisé lors de sa campagne pour les municipales à Paris ? Mediapart révèle que deux Nigérians, en situation irrégulière, ont été employés « au noir » pour distribuer des tracts. Le travail des deux hommes, rencontrés par le site d’informations, a été intense avant le début de premier tour.
L’un d’eux a effectué une demande d’asile en septembre 2019. Du côté d’EELV, on botte en touche.
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Piratage en ligne : en dix ans, Hadopi a rapporté 87.000 euros à l’État… pour un budget de 82 millions d’euros
Critiquée dès sa création, l’Hadopi se révèle être un gouffre financier. A l’occasion du rapport annuel de l’année 2019 publié fin juillet, la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet dresse un bilan de ce qu’elle a rapporté au contribuable français.
(…) “Depuis 2011, le montant total cumulé des amendes prononcées et portées à la connaissance de la Commission est de 87.000 euros, dont près du tiers pour la seule année 2019” vante ainsi l’institution, comme l’ont repéré nos confrères de Next INpact. Une somme largement engloutie par ses frais de fonctionnement.
(…) Comme le souligne Next INpact, l’Hadopi a coûté depuis ses débuts 82 millions d’euros à l’Etat français, ou plus précisément au ministère de la Culture. (…)
Pour rappel, la mission de l’Hadopi consiste à identifier les internautes ayant téléchargé illégalement des contenus sur des plateformes de pair à pair, où les internautes effectuent leurs téléchargements auprès de machines appartenant à d’autres particuliers. Une démarche populaire au début des années 2000, mais qui ne représente aujourd’hui qu’une fraction du piratage en ligne. A ce jour, l’Hadopi reste totalement inopérante pour contrer le piratage en téléchargement direct, ou en streaming, notamment par le biais de l’IPTV.