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magouille et compagnie - Page 886

  • Le gouvernement choisit une élève qui lit le Coran pour illustrer ses aides aux étudiants

    Le site etudiant.gouv a publié la photo d’une jeune femme lisant le Coran pour illustrer un article sur l’“aide exceptionnelle” aux étudiants dans la crise du coronavirus. Elle a, depuis, été remplacée par une photo plus consensuelle.

    (…) Sur le site du gouvernement, la photo est coupée. On ne voit donc que le livre sacré des musulmans. Mais l’enseignante laïciste Fatiha Boudjahlat fait remarquer que la photo entière met en scène une femme voilée. « Un imbécile du service infographie du ministère de l’Enseignement supérieur a donc pris une image sur Internet, pour illustrer les aides aux étudiants. On y voit deux étudiantes. Une sans voile et l’autre voilée. Une qui étudie une matière universitaire, l’autre qui étudie… le Coran. Des amis ont vérifié, il s’agit même du verset 111 de la sourate 11 », s’insurge-t-elle sur Facebook.

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  • La fraude fait perdre toute valeur aux diplômes universitaires français

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    La crise sanitaire provoquée par le Covid-19 a des répercussions dramatiques sur l’université française, au point de détruire totalement sa crédibilité. Selon Le Figaro, la triche aux examens est désormais générale, ceux qui sont honnêtes étant obligés de s’aligner sur leurs camarades peu scrupuleux pour ne pas être défavorisés.

    Le supérieur utilise souvent des questionnaires à choix multiples (QCM) pour tester les connaissances de ses ouailles. Les étudiants le chargent quand ils le souhaitent et ont ensuite un temps limité pour y répondre. Tricher est un jeu d’enfant : on peut avoir ses cours ouverts à côté de soi, utiliser son téléphone pour faire des recherches sur Google ou, pour plus d’efficacité, demander à un ami de vous assister et de chercher les réponses à votre place, voire faire passer le test à un camarade qui a abandonné ses études, qui vous le transmet ensuite. Rien n’est donc plus facile que de frauder et on comprend que les étudiants le fassent, d’autant plus que ne pas tricher risque de se retourner contre vous et de vous nuire.

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  • Confiner, surveiller, punir, mater

    Sur une période très courte, les Français ont accepté une restriction importante de leurs libertés.
    Le 11 mai 2020 restera dans l’histoire comme une date nébuleuse ; celle d’un déconfinement qui déconfinera sans déconfiner, tout en déconfinant : comprenne qui pourra !

    Seulement certains Français en bénéficieront, mais ni en tous lieux, ni en tout temps : point trop n’en faut. À cette occasion, le conseil scientifique viendra de nouveau en renfort du gouvernement. Avec force tableaux statistiques et cartes de France colorées de rouge et vert. Il légitimera ainsi une décision que les Français ont bien du mal à comprendre et a fortiori à accepter. Ce faisant, le savant continuera une fois de plus d’offrir au politique sa caution dans un exercice qui apparaît cependant de plus en plus périlleux car il engage également la responsabilité des experts(1).

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  • Gestion de la crise : un effet du « deep state » à la française

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    Par Hervé Novelli*

    L’expression « politique profonde » (deep politics) remonte aux années 1990. Le professeur Peter Dale Scott de l’université de Berkeley publie alors un ouvrage dans lequel il parle de système politique profond. Il y explique que le gouvernement des Etats-Unis est influencé par un milieu confidentiel et restreint qu’il appelle « l’Etat profond ». Il précise : « Ce que j’appelle “Etat profond” aux Etats-Unis n’est pas une institution formelle, ni une équipe secrète, mais plutôt un cercle de contacts de haut niveau [...] par lequel le pouvoir politique est susceptible d’être dirigé. »

    Selon ce concept, il existerait, à côté, ou mieux encore, à l’intérieur des pouvoirs publics, une politique s’imposant aux acteurs traditionnels, décidée en dehors d’eux ou avec leur consentement, éclairé ou non. En somme, « l’Etat profond » est une autre façon de désigner les bureaucraties permanentes.

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  • Contre la loi Avia (2/2) : Non à la loi Avia, par Stanislas François.

    Source : https://www.causeur.fr/

    On le dit et on le répète: "Causeur" a une dent contre la loi Avia.

    C’est une loi qui représente un enjeu fondamental pour la liberté d’expression qui s’apprête à être votée ce mercredi 13 mai, presque en catimini, à l’Assemblée nationale.

    À qui les députés s’apprêtent-ils donc à laisser apprécier ce qui relèvera sur internet de simples propos « offensants » ou bien de « haine »? À des opérateurs privés, notamment les plateformes américaines !

    La loi contre les contenus haineux sur Internet est un projet que le gouvernement n’a pas eu le courage de porter lui-même.

    Il a préféré en laisser l’initiative à la députée Lætitia Avia qui, après avoir par le passé tenté de légiférer contre la glottophobie, bataille depuis plus d’un an pour faire adopter cette proposition liberticide. De plus, c’est donc une loi que le gouvernement n’a pas eu le courage de faire voter dans des conditions sereines, car c’est en plein état d’urgence sanitaire qu’il a choisi de l’inscrire à l’ordre du jour, comme si la situation était propice à adopter des séries de textes heurtant de plein fouet les libertés fondamentales.

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  • Contre la loi Avia (1/2) : «Sous couvert de lutte contre les «contenus haineux», c’est la liberté d’expression qu’on assassine».

    La députée Laetitia Avia (LREM). STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

    Source : https://www.lefigaro.fr/

    La proposition de loi de la députée Laetitia Avia, visant à mieux lutter contre les «propos haineux» sur Internet, sera certainement adoptée ce mercredi 13 mai à l’Assemblée nationale. Jean-Thomas Lesueur et Cyrille Dalmont, de l’Institut Thomas More, dénoncent le caractère subjectif de la définition de ces «contenus haineux».

    Emmanuel Macron, son gouvernement et sa majorité ont décidément un problème avec la liberté, notamment la liberté d’expression. Ils n’en finissent plus de chercher, sans fard ni vergogne, à contrôler l’information sous toutes ses formes dans notre pays.

    Le 15 janvier dernier, c’était le président de la République lui-même qui, lors de ses vœux à la presse, déclarait de manière stupéfiante: «Nous sommes confrontés à la lutte contre les fausses informations, les détournements sur les réseaux sociaux. L’éducation reste le fondement de cette lutte. Il nous faut donc pouvoir répondre à ce défi contemporain, définir collectivement le statut de tel ou tel document»… Puis il y a eu, en pleine crise du Covid-19, l’initiative gouvernementale visant à imposer une plateforme de «ré-information» ou de «validation» des informations jugées fiables publiées dans les médias ou sur les réseaux sociaux au sujet de la crise sanitaire. Baptisée «Désinfox coronavirus», la plateforme a été heureusement retirée le 5 mai suite au recours déposé en urgence par le Syndicat national des journalistes (SNJ) devant le Conseil d’État.

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  • André Bercoff : « L’Obamagate, c’est le Watergate puissance 10 ! »

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    Depuis plusieurs jours,  accuse son prédécesseur de trahison. Il parle même d’un « Obamagate » : un plan aurait été envisagé pour barrer la route à Trump, bien avant son élection.

    Explications d’André Bercoff au micro de Boulevard Voltaire.

     
  • Une absurde société de contrôle

    Une absurde société de contrôle

    Tout se passe comme si l’assignation à résidence de tous les Français (du moins ceux qui respectent les lois, puisque les voyous étaient libérés de prison et que les fameuses “zones de non-droit”, qui sont plutôt des zones où la charia et la loi des caïds a remplacé la loi française, étaient “dispensées” de confinement) avait été un test grandeur nature.

    Je découvre sur Reporterre (site écologiste qui relaie plutôt les préoccupations de la gauche alternative) un article très intéressant à ce sujet: Priver les Français de nature, la société de contrôle jusqu’à l’absurde. L’auteur y détaille les absurdes interdictions arbitraires de se rendre dans la nature – comme si se promener seul dans la forêt pouvait accélérer la transmission du virus! (Ah oui, c’est vrai, j’oubliais : aller voter et croiser des dizaines de personnes dans les bureaux de vote, ce n’est pas dangereux, se promener seul dans la forêt, c’est dangereux. Puisque le gouvernement l’a dit, c’est forcément vrai…).

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  • Eric Zemmour sur Cédric Herrou : « Ce n’est pas un agriculteur mais un militant immigrationniste, l’idiot utile d’Erdogan qui veut islamiser l’Europe »

    15/05/2020 – FRANCE (NOVOpress)
    Eric Zemmour dénonce la relaxe de Cédric Herrou tout en ajoutant : « Ce n’est pas un agriculteur mais un militant immigrationniste, l’idiot utile d’Erdogan qui veut islamiser l’Europe »

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