Le 25 mai 2018, la quatre-vingtième « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », intitulée « Demain, la grande expropriation », évoquait l’excellent essai de Michel Drac, Voir Macron. Huit scénarios pour un quinquennat, et en confirmait la pertinence par un article d’Iona Marinescu paru dans Libération dix jours auparavant. Ces deux auteurs émettaient l’hypothèse d’une confiscation légale des propriétés immobilière et foncière. Cette nouvelle « nationalisation » ferait de l’État le « copropriétaire » institutionnel des résidences principales et secondaires. Des députés de la majorité présidentielle macronienne ont déjà suggéré de taxer les propriétaires parce qu’ils ne paient aucun loyer au contraire des locataires. Oui, Gribouille est vraiment bien au pouvoir ! Dans le même ordre d’idée, la réforme de l’impôt sur la fortune pénalise l’immobilier et favorise les valeurs mobilières.
France et politique française - Page 1100
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Vers la collectivisation immobilière…
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Maison squattée : au nom de la trêve hivernale, pas de pitié pour Roland,âgé de 88 ans !
L’hiver, le squatteur expulsé risque de prendre froid. Vers les mois d’avril et mai, les nuits sont encore fraîches. Raison pour laquelle un octogénaire toulousain ne peut espérer récupérer sa maison de famille occupée illégalement avant le 1er juin. Trêve hivernale oblige. Selon le législateur, l’hiver dure six mois. Un bug sur son calendrier qui lui fait chauffer son appartement jusqu’au 31 mai. Sa formation n’abordait pas le rythme des saisons.
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Zoom – Gabrielle Cluzel : Le peuple des braves gens est devenu celui des gens braves !
Rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, chroniqueuse pour la Messe catholique familiale et sur CNews, Gabrielle Cluzel se démultiplie pour mener une offensive, celle de retrouver notre France. Auréolée du prix 2021 de la presse française libre pour son ouvrage « Enracinés », la journaliste revient sur ses combats, ses valeurs mais aussi sur les attaques de Twitter contre Boulevard Voltaire ou de la presse bienpensante sur sa présence sur la chaîne d’information de Canal+. Avec calme et sourire, avec un regard acéré et plein d’humour, Gabrielle Cluzel nous propose de briser les codes du prêt-à-penser et de rebâtir une France vivante. Tout un programme !
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Passeport sanitaire. Nos libertés bientôt conditionnées par le vaccin contre le Covid-19 ?
Le Danemark et la Suède viennent d’annoncer l’insaturation d’un passeport vaccinal contre le Covid-19 pour leurs populations. Un modèle de contrôle bientôt imposé à tous les Européens ?
Le Danemark sur le chemin du passeport sanitaire
Un « coronapass » numérique, tel est le projet du gouvernement danois afin de recenser les informations concernant les personnes vaccinées contre le Covid-19.
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La Justice en France en trois décisions : laxiste et antichrétienne
Ces trois décisions de justice n’ont rien à voir entre elles mais sont symptomatiques de ce qu’est devenue notre société : laxiste avec les délinquants et criminels et persécutrice de ceux qui veulent défendre notre culture et nos racines chrétiennes :
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Laïcité : Le ball-Trappes de l’islamisme – JT du mardi 9 février 2021
A la une de cette édition, la ville de Trappes au cœur de la polémique après la mise sous les projecteurs d’un professeur dénonçant l’islamisme. Retour sur une polémique amenée à se répéter.
Thibault Bastide interrogera ensuite le maire de Perpignan, Louis Aliot, qui a décidé de rouvrir des musées dans sa ville. Une première dans le pays alors que la sphère culturelle est à bout de souffle.
Et enfin, nous évoquerons les conséquences économiques de la crise sanitaire au niveau européen. Une crise qui exacerbe les tendances déjà existantes.
https://www.tvlibertes.com/laicite-le-ball-trappes-de-lislamisme-jt-du-mardi-9-fevrier-2021
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Marion Maréchal, invitée de Laurence Ferrari sur CNEWS | Mardi 9 février 2021
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Le régime Macron ? Une démocrature
La loi Sécurité globale soulève de vives inquiétudes. Elle n’est pourtant que le dernier rejeton d’une lignée de lois liberticides que le régime de Macron produit avec régularité, quand il n’est pas occupé à réprimer violemment la contestation. L’extrême centrisme est un autoritarisme.
Liberté d’informer menacée. Extension du domaine de la surveillance de masse. Mise au pas de la presse. Impunité croissante des forces de l’ordre. Répression policière des opposants : le récent vote du projet de loi Sécurité globale nous a offert un concentré de l’exercice macronien du pouvoir dans le texte comme dans la pratique.
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Si Léonidas revenait, que dirait-il de tout cela ?
Jérémy Silvares Jéronimo
Vous aimez imaginer des situations improbables ou même carrément fantaisistes ? Pas moi, je suis très peu imaginatif, très cartésien et même si j’adore lire des livres sur les différentes mythologies ou voir des films tels la fameuse trilogie Le Seigneur des Anneaux, je n’ai jamais eu, même petit, une très grande imagination fantaisiste. Pourtant, cette fois-ci je vais essayer, et je vous demande de m’accompagner et de laisser votre imagination divaguer un tout petit peu.
Imaginons que des archéologues retrouvent les restes du très grand roi spartiate Léonidas, celui qui avec 300 de ses spartiates a réussi à tenir tête durant quelques jours à des dizaines de milliers de perses. Les historiens contemporains s’accordent sur au moins 50 000 à 100 000 perses, quant aux historiens de l’époque ils les chiffraient bien au-delà de ces chiffres…
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Macron : cette nouvelle République qui ne dit pas son nom ?, par Thierry de Cruzy.
Souvenez-vous : à peine l’affaire des Gilets jaunes sentait-elle le souffre qu’Emmanuel Macron devait trouver la parade.
Ce fut d’abord le grand débat national qui a surtout été l’occasion de parler pendant des heures devant un public composé d’élus locaux.
Mais comme quelque chose clochait, Macron s’est rabattu sur une idée développée par des associations comme Terra Nova : l’assemblée citoyenne.
La Convention citoyenne : le faux-nez de la technocratie
Le 25 avril 2019, Macron annonce une « Convention citoyenne » de 150 membres pour lutter contre les changements climatiques. Problème : il n’y a que des biais. À commencer par la question posée. Elle présuppose en effet un réchauffement climatique causé par les émissions de gaz à effet de serre et la nécessité corrélative de les réduire : « comment réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40 % d’ici 2030, dans un esprit de justice sociale ? »