Pieter Kerstens
De Giscard à Macron, ou de Mitterrand à Hollande, plus de quarante ans de lâchetés et d’aveuglement ont conduit au chaos de violences, d’agressions, de lynchages et de meurtres de policiers, dont nous sommes témoins aujourd’hui.
Le boomerang leur revient en pleine figure.
Charles Pasqua et Nicolas Sarközy, quand ils étaient ministres de l’Intérieur et gardiens de l’Ordre Public, promettaient des interventions radicales dans les banlieues.
Jean-Pierre Chevènement, lui, qualifiait les délinquants comme des « sauvageons ».