En rappelant « fermement à l’ensemble des médecins qu’en cette période de vulnérabilité particulière […], leur parole prend un sens encore plus important » et qu’il « serait inadmissible dans ce contexte de susciter de faux espoirs de guérison », le Conseil national de l’Ordre des médecins vole au secours du gouvernement et agite son bâton devant ceux qui seraient tentés de prévenir ou de traiter le Covid-19 un peu au doigt mouillé. Il faut dire que, depuis plusieurs années, le vénérable organisme rappelle le père de Charles Aznavour dans Un taxi pour Tobrouk : il a « la légalité dans le sang . Si les Chinois débarquaient, il se ferait mandarin. Si les nègres prenaient le pouvoir, il se mettrait un os dans le nez. Si les Grecs… oui, enfin, passons ! »
France et politique française - Page 1513
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Traitement du coronavirus : le rappel à l’ordre de l’Ordre des médecins
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Coronavirus – Très hostile au Professeur Raoult, BFM TV a beaucoup d’actionnaires communs avec le laboratoire Gilead…
BFM TV est l’un des médias les plus hostiles au Professeur Didier Raoult et au traitement qu’il propose comme remède au coronavirus (hydroxychloroquine et Azithromycine), traitement pourtant efficace et peu coûteux.
Or, Idriss Aberkane, auteur de livres sur les neurosciences et de chroniques pour le magazine Le Point, souligne que BFM TV (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD – qui espère se faire un pactole en commercialisant un coûteux vaccin contre le coronavirus – ont en commun de nombreux actionnaires.
Quel hasard…
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Économie: quel plan de relance pour sauver les meubles ?
Bercy en plein brainstorming ! Alors que les Français se préparent à reprendre le chemin du travail, l’exécutif tente d’élaborer un plan de relance de l’économie. L’objectif est de soutenir les entreprises en complétant les aides apportées pendant le confinement avec la meilleure équation fiscale possible. Et là, le gouvernement l’assure, il n’y aura pas d’augmentation des impôts comme au début du quinquennat Hollande, ce qui avait ralenti la croissance. L’heure serait plutôt à leur baisse.
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Le gouvernement, responsable de la pénurie de masques ?
Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, la question de l’usage des masques est au coeur de toutes les discussions. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les versions ont évolué. Avant l’entrée en vigueur du confinement, les responsables sanitaires nationaux, du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, au ministre de la Santé, Olivier Véran, martelaient, à qui souhaitait l’entendre, que le port du masque n’était pas essentiel. Et ce malgré des témoignages toujours plus alarmants de professionnels de santé travaillant sans protection au contact des malades.
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Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »
A Colombes (92), un équipage de la police nationale à motos, déployé pour effectuer des contrôles routiers, a pris en chasse un homme à scooter qui refusait d’obtempérer. Celui-ci a abandonné son deux-roues pour prendre la fuite à bord d’une voiture. Quand un second véhicule BMW surgit et est venu les percuter de plein fouet.
Deux policiers sont blessés dont l’un grièvement – il s’est retrouvé coincé entre une voiture de la police municipale et celle du forcené. Le premier est conduit à l’hôpital en urgence relative tandis que le second se trouve en urgence absolue, souffrant de graves blessures, dont une fracture de la jambe.
Le conducteur de la BMW est interpellé et se présente comme Youssef T., un homme de 29 ans domicilié à Colombes et né à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Il est connu des services de police pour outrages à agent en 2014 mais inconnu de la DGSI. Il a déclaré qu’il vient de voir une vidéo sur la Palestine et qu’il voulait s’en prendre aux policiers. Il indique aussi : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. » Une lettre expliquant son geste avec des allusions possiblement terroristes est retrouvée dans le pare-sol de sa voiture ainsi qu’un couteau. Le suspect a été placé en garde à vue au service départemental de la police judiciaire des Hauts-de-Seine.
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La police, dernier rempart mais souffre-douleur du gouvernement
À Saint-Denis, deux policiers ont été filmés tenant des propos racistes contre un délinquant qu’ils venaient d’interpeller. Ils ont été immédiatement suspendus. Les médias repassent en boucle la vidéo impliquant les deux impétrants. Sans vouloir excuser les paroles imbéciles des agents, il faut quand même constater qu’il y a deux poids deux mesures. Dans cette période dure, tendue, les forces de l’ordre sont soumises quotidiennement à la violence, aux diatribes, aux quolibets.
Hier soir, à Colombes, des policiers municipaux ont été visés par une voiture folle, conduite par un « déséquilibré » qui a foncé sur eux, expliquant qu’il voulait venger les malheurs de la Palestine et la débâcle de Daech. Bilan : deux agents dans un état grave. Les policiers ont de quoi être tendus, au vu des risques qu’ils prennent. On leur demande de faire preuve de maîtrise, c’est-à-dire de se laisser insulter, cracher dessus, parfois brutaliser, pour éviter d’enflammer les banlieues. Et quand deux d’entre eux sont pris en faute, les voila brûlés en place publique sur le bûcher médiatique. N’y aurait-il donc que la racaille et les « déséquilibrés » pour mériter des circonstances atténuantes ? Seuls les délinquants des quartiers ont droit à pléthore d’avocats sur tous les plateaux, qui plaident sans rire la victimisation sociale dans le pays qui dépense le plus pour l’assistanat et les aides en tous genres ?
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MASQUE, GEL, PAIN : COMMENT LES FAIRE SOI-MÊME
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Comment naissent les dictatures
En verve en ce 27 avril, le vieux journal gauchisant Libé, si sournoisement complaisant depuis 2017, comme la plupart des médias subventionnaires, n'en peut visiblement plus avec l'adolescent imberbe de l'Élysée et son gouvernement chaotique.
Citons quelques articles de tête dans son édition du jour :
• Déconfinement : trouver la sortie du labyrinthe : incertitudes sur l’efficacité des mesures prévues pour l’après-11 mai, divergences et revirements chez les politiques et scientifiques, défiance des Français… Le gouvernement, qui dévoile son plan mardi, s’attend à recevoir des coups.
• Tâche périlleuse pour Jean Castex, homme de terrain apprécié : le maire de Prades, ancien de la Cour des comptes et des cabinets de Xavier Bertrand, a été chargé de gérer le déconfinement…
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Attaque islamiste contre deux policiers à Colombes : le coronavirus n’est pas le seul danger en France, l’aurait-on oublié ?
Il paraît que le symptôme pathognomonique du covid19 est la perte du goût et de l’odorat. On constate, de toute évidence, que cet étrange virus fait perdre aussi l’ouïe et la vue. Comme si tous les Français avaient la tête plongée dans un bain de liquide hydroalcoolique. Aucune autre actualité ne les atteint. La tuerie de Romans-sur-Isère est passée pour ainsi dire inaperçue. Les émeutes en banlieues n’ont fait l’objet que de quelques entrefilets dans les journaux. Il est donc peu probable que les deux motards de la police nationale intentionnellement renversés, à l’arrêt, à Colombes lundi après-midi — l’un d’eux est gravement blessé et en coma artificiel – émeuvent les foules.
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Immortalité, égalité, liberté : fin des illusions !
Le délire transhumaniste de l’homme immortel, augmenté, prolongé, remplacé pièce par pièce, se fait plus discret face au retour de la mort dans une société qui s’évertuait à l’oublier. La mort arrive en moyenne plus tard, la médecine peut en reculer la date, mais elle demeure tellement inéluctable qu’on permet même au médecin d’en adoucir la venue, sinon de la précipiter. Le lien statistique évident entre l’âge des malades et le risque mortel introduit une inégalité naturelle qu’on avait tendance à oublier dans les idéologies obsédées par la non-discrimination.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades que l’on va soigner et ceux pour lesquels on choisit d’arrêter les thérapeutiques actives. Cette inégalité n’est, d’ailleurs, pas la seule qui apparaît crûment dans la parenthèse désenchantée que nous vivons. Le choix du médecin, de l’hôpital, du traitement, le lieu où l’on est confiné, les obligations professionnelles ou encore les conséquences sociales de la cessation d’une activité créent de nombreuses variations sur le thème du confinement égal pour tous. Faut-il ajouter que l’État n’est manifestement pas capable de le faire appliquer à tous et partout !