La Révolution du Réel a imposé son slogan, simple et potentiellement dévastateur : « On marche sur la tête ». Les agriculteurs du Tarn ont été les premiers, en novembre 2023, à retourner les panneaux identifiant les communes, en signe de protestation contre une technocratie tombée en Absurdie. Depuis, ce procédé subtil et non-violent a été repris un peu partout dans la France périphérique et rurale. Or ce réveil contestataire pourrait faire tache d’huile, tant son message touche au cœur d’un système généralisé qui, jusqu’au sein de l’Union européenne convertie à l’écologisme, a perdu le contact avec la vie des gens ordinaires.
France et politique française - Page 281
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« On marche sur la tête » : le Système mis en accusation
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Qui a planifié et payé le meurtre de Coluche ?
Coluche : le spectre d'un crime d'État.
1/ Une dizaine de minutes avant les faits, la Gendarmerie de Grasse empêche toute circulation par un barrage routier sur la route qu’a emprunté Coluche.
Un barrage, à la sortie de Valbonne, justifié par un "accident" dont personne n'a été témoin - hormis celui qui allait se produire peu après.
2/ La dépêche annonçant la mort de Coluche, via l’AFP et Pressedd, est horodatée du 19 juin à 15 h 46. Or sa mort est constatée à 16h30 et relayée à 17h46.
3/ La version officielle assure que Coluche roulait très vite, "comme un fou", et s'est encastré dans un camion en plein virage parce qu'il n'aurait pas eu le temps de le voir. Libération écrit même : "Le choc a été si violent que le casque a éclaté", alors qu'il ne porte pas son casque. Les dépêches de l'AFP, dépendante alors de l'État avec 4 membres des RG en son sein, reprennent toutes les informations rapportées par la gendarmerie de Grasse, qui invente carrément des témoins ayant soit disant été doublés par Coluche "à une vitesse impressionnante".
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Paris 6ème : les militants de l’UNI font sauter un blocus antifa et font rouvrir la faculté d’Assas
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Le danger Microsoft plane sur le ministère des Armées
Sous la signature de Laurent Lagneau, le blog Opex360.com – Zone militaire, spécialisé dans l’actualité militaire et géopolitique, et toujours bien informé, publie une information significative :
LOGICIEL. Selon un rapport parlementaire, le ministère des Armées risque de tomber dans le « piège Microsoft »
« Avec des si, on mettrait Paris en bouteille », dit-on. Mais il n’en demeure pas moins que la France a eu en main tous les atouts pour favoriser l’essor de la micro-informatique dans les années 1970, avec le micro-ordinateur Micral, alors en avance sur les Altaïr 8800 et Apple II américains, ou encore avec le projet Cyclades qui, mené par l’ingénieur Louis Pouzin, annonçait l’Internet tel que nous le connaissons aujourd’hui. Mais les décisions prises à l’époque, comme le choix du réseau Transpac [et donc du Minitel], ne permirent pas de profiter pleinement de ces avancées [*]… Alors que, outre-Atlantique, une nouvelle industrie faisait ses premières gammes.
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L’Europe contre les paysans français
A force de ne pas écouter les cris de détresse des paysans, ce sont des cris de colère que le gouvernement commence à entendre. Et il peut s’en inquiéter, car cette colère n’est pas sans rappeler celle des gilets jaunes.
Que la FNSEA, syndicat agricole inféodé aux industriels de l’agroalimentaire, soit partie prenante à cette révolte, ne doit pas nous en faire nuancer la portée. L’Action française soutient les paysans et leur mobilisation, mais elle fait aussi la part des choses : nous rejetons tout autant les méga-bassines et les projets de type « ferme des mille vaches » que la passivité française et le diktat européen à l’égard de notre agriculture.
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Flambée du prix de l’électricité : l’énorme mensonge de Bruno Le Maire
Fabien Bouglé, expert en politique énergétique. Auteur de “Éoliennes : la face noire de la transition écologique”, de “Nucléaires, les vérités cachées” et de “Guerre de l'Énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial” le tout aux éditions du Rocher.
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Marion Maréchal et Reconquête aux côtés des agriculteurs en colère
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[Point de vue] Démographie : les véritables causes de la baisse de la natalité
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Carlos Tavares – Stellantis sur les voitures électriques « Se tenir à l’écart d’un bain de sang »
Les véhicules électriques ne sont pas encore au point quoi qu’en dise la propagande climatique. Les problèmes sont innombrables et sur un marché à peine mature, voilà l’arrivée de la guerre des prix et le protectionnisme des bonus et des malus qui complique encore plus les choses.
Déjà pas franchement convaincu par l’histoire de l’électrification le patron de Stellantis ne veut pas se lancer dans la guerre des prix sur les véhicules électriques.
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Révolte paysanne : les traîtres démasqués !