Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Michel Barnier ? Je ne suis ni pour ni contre. Bien au contraire ! Ce n’est pas le sujet dans une analyse aussi objective que possible.
A ce stade, il y a mon sens 3 choses importantes.
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Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Michel Barnier ? Je ne suis ni pour ni contre. Bien au contraire ! Ce n’est pas le sujet dans une analyse aussi objective que possible.
A ce stade, il y a mon sens 3 choses importantes.
Préoccupée par la croissance des dépenses liée aux arrêts de travail en 2024, l’Assurance maladie va déployer un plan d’action renforcé, et appelle politiques et partenaires sociaux à rénover le système pour le rendre “plus soutenable” et “plus équitable”.
Hahahahaha.
Déjà cela commence bien, cela fleure bon le “on va contrôler sans faire de vague”… ce qui revient toujours à ne rien faire à l’arrivée !
Mais rassurez-vous, vous allez voir ce que vous allez voir, l’Assurance Maladie sort la grosse Bertha.
Depuis la naissance de l’agriculture, les céréales ont toujours été à la base de l’alimentation et des échanges commerciaux entre nations, et la France, bien servie par ses milieux naturels, est, de longue date, une puissance céréalière de premier plan. Or, cette situation privilégiée est en train de disparaître peu à peu, et sans doute plus rapidement même que ce que l’on craignait il y a quelques années encore : ainsi, la production de blé, emblématique de notre agriculture et à la base de notre modèle alimentaire fondé sur le pain, est cette année en chute libre : environ 26 millions de tonnes pour le blé tendre, soit un quart de moins que la production moyenne de la période 2019-2023.
10/09/2024
Après 15 ans de vie commune, le couple – ils sont les parents de 8 enfants – a divorcé il y a quelques années. À bout, son ex-épouse a déposé un signalement au mois de mai 2024 (…)
Par Henri Bec
Après 52 jours d’un gouvernement s’étant auto-qualifié démissionnaire, Macron vient de nommer un Premier ministre dans la personne de l’incolore, inodore et sans saveur Michel Barnier. Sauf quelques cabrioles des clowns habituels, le pays a, pendant ces deux derniers mois, continué de fonctionner :
Dimanche, lors d’un rassemblement pro-palestinien place de la Nation à Paris, le fondateur du média “Islam et Info” a incité les participants à “mener l’intifada à Paris, dans nos banlieues, dans nos quartiers” pour que “bientôt Jérusalem” soit “libérée”. Elias d’Imzalène, membre actif du collectif “urgence Palestine”, proche des Frères musulmans et de LFI, ayant ses entrées au Parlement Européen, fait l’objet d’un signalement envoyé mardi à la justice par le ministre démissionnaire de l’Intérieur Gérald Darmanin. Gérald Darmanin fait un article 40 contre lui pour
Il y a un an, Gabriel Attal était le nouveau ministre de l’éducation nationale et il plaçait sa première rentrée scolaire sous le sceau de l’interdiction de l’abaya à l’école. Une mesure forte, diffusée aux chefs d’établissement et aux enseignants par note de service et expliquée aux parents d’élèves dans un courrier. Plusieurs syndicats et associations (Action droits des musulmans, Le Poing levé et La Voix lycéenne et, enfin, SUD-Education) contestaient alors cette mesure devant le Conseil d’Etat, qui rejetait successivement un référé liberté, le 7 septembre 2023, et un référé suspension, le 25 du même mois.
Durant le débat autour de la réforme des retraites de Mme Borne, j’ai participé à de nombreuses discussions sur ce thème, en particulier sur la toile, véritable agora politique et émotionnelle. Adversaire de cette réforme qui me semblait (et me semble toujours) inappropriée et trop égalitaire (1) pour être juste et efficace, je me suis souvent heurté à des partisans (y compris monarchistes) du report de l’âge de la retraite qui avaient des argumentations « économiques d’abord », mais qui n’étaient pas forcément dénuées d’intérêt : elles méritent donc à leur tour quelques réponses, au moment où le débat se ranime (peut-être en vain, mais qui sait ?) et s’anime, le nouveau premier ministre étant, lui, un partisan du report à 65 ans sans avoir, a priori, les moyens politiques de cette ambition…