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France et politique française - Page 3222

  • Nîmes : enquête sur ces jeunes « Français » qui partent faire le djihad en Syrie

    En France près de 2000 personnes seraient impliquées dans les filières djihadistes. Parmi elles, beaucoup sont parties en Syrie, attirées par la propagande sur internet ou par le discours des recruteurs islamistes.

    Dans les cités de Nîmes, de nombreux jeunes ont rejoint les rangs de l’État islamique. Une équipe de France 2 a rencontré deux mères qui n’ont rien pu faire contre le départ de leur fils vers la Syrie.

  • Béglé - Houellebecq avait raison !

    L'écrivain était attaqué pour sa description dans "Soumission" d'une France défaitiste, l'actualité récente lui donne malheureusement raison...
    PAR JÉRÔME BÉGLÉ
    Des enseignes internationales comme Marks&Spencer, H&M ou Uniqlo mettent en vente des hidjabs ou des maillots de bain couvrant l'intégralité du corps, excepté le visage et les mains. La griffe italienne Dolce & Gabbana a créé une ligne de voiles et de tuniques longues destinée spécialement aux femmes musulmanes. Pierre Bergé, cofondateur d'Yves Saint Laurent, s'est indigné contre ces marchands du temple, mais cette bassesse mercantile n'a pas été accueillie avec les cris d'orfraie qu'elle mérite. Lorsqu'il a publié Soumission, Michel Houellebecq fut l'objet de toutes les critiques. Dans son livre, il prédisait la réélection de François Hollande et surtout la lente progression et acceptation des idées des fondamentalistes musulmans dans une France qui oublie ses racines judéo-chrétiennes et s'adonne à une laïcité à géométrie variable... Résultats de cette paresse intellectuelle et de nos lâchetés : en 2022, le leader du parti musulman accède à l'Élysée... Beaucoup de critiques ont trouvé le raccourci excessif voire d'un goût douteux. Quinze mois plus tard - le livre est sorti le 7 janvier 2015 -, le constat est accablant : Houellebecq avait raison !
    Menteur ou oiseau de mauvais augure
    Deuxième renoncement que nous offre l'actualité : les réactions que suscitent les déclarations de Patrick Kanner, ministre de la Jeunesse et des Sports – "il y a une centaine de Molenbeek en France" –, Samia Ghali sénatrice de Marseille – "il y a des camps d'entrainement dans les quartiers" – et Malek Boutih qui dénonce la lâcheté des élus et les petits arrangements avec des associations douteuses ne suscitent plus guère de réactions. Ou plutôt si, celles de leurs amis politiques qui raillent leurs excès de langage, fustigent ces "pompiers pyromanes" et jurent leurs grands dieux qu'ils sont des oiseaux de malheur...
    Troisième symptôme, les travaux de Farhad Khosrokhavar, et de quelques autres chercheurs ou sociologues qui démontrent chiffres et études à l'appui que les prisons françaises sont le principal foyer de la radicalisation religieuse. Leurs travaux sont mis sous le boisseau quant ils ne sont pas purement et simplement censurés ou déconsidérés pour le seul motif qu'ils sont repris par Éric Zemmour et Ivan Rioufol dans leurs livres et leurs articles.
    Dernière alerte (dernière en date !), cette demande d'Air France qui souhaite que les hôtesses de la liaison Paris-Téhéran descendent voilées de l'avion. La classe politique fut, une fois encore, lente à monter au créneau. Après 36 heures de polémique, la compagnie a annoncé qu'elle allait instaurer "un dispositif d'exception" pour remplacer les femmes pilotes et hôtesses qui ne voudront pas être contraintes à ce régime d'exception. Il faut donc comprendre que seules les volontaires couvriront leurs cheveux... Encore heureux !
    Demain on parlera d'autre chose
    Tout cela se passe dans une résignation quasi généralisée. Comme si le plus sage était de ne rien dire, de faire comme si on ne voyait pas, de se concentrer sur autre chose... Les médias, comme dans Soumission, n'accordent qu'une importance relative à ces événements. Ils les rangent entre les malheurs de l'OM, le voyage aux Antilles d'Alain Juppé, les révélations du scandale Panama Papers ou le troisième opus des Visiteurs... Nous sommes dans l'épicentre du livre de l'écrivain. Notre confort matériel et intellectuel nous incite à n'accorder aucune importance à ces renoncements qui deviennent nos lâchetés collectives. Mais la facture arrivera tôt ou tard.

  • 74 % des Français sont persuadés que Marine Le Pen sera qualifiée en finale.

    Bien sûr, les sondages, ça va et ça vient. On ne saurait, d’ailleurs, gouverner demain en se fondant sur les sondages d’aujourd’hui, l’opinion publique étant une matière éminemment fluide, incertaine, injuste et parfois incompréhensible ; un peu comme un cerveau de fille, dirions-nous en ces temps de féminisme castrateur.

    Pourtant, c’est une autre fille – Marine Le Pen, pour ne pas la nommer – qui caracole depuis des mois en tête de ces mêmes sondages. Pour Le Parisien de ce samedi dernier, elle est censée dominer le premier tour de l’échéance présidentielle de 2017, sauf si Alain Juppé vient à se présenter. Au second tour, elle serait battue, sauf contre François Hollande, en admettant que le premier des Français parvienne second au tour du même nom.

    D’ailleurs, à en croire un sondage plus récent, celui du Journal du dimanche, 74 % des Français sont persuadés que la même Marine Le Pen sera qualifiée en finale. Après, ça se gâte un peu, 61 % des sondés estimant que le Front national est un « danger pour la démocratie », Français qui sont, dans le même temps, assez d’accord sur les propositions de la présidente du premier parti de France ; allez comprendre…

    Bref, c’est un peu « Je t’aime, moi non plus », les soupirs en moins, ou « Johnny, fais-moi mal », les coups en plus, pour finir de filer la métaphore chansonnière. Ainsi, une assez large majorité de nos compatriotes serait pour la préférence nationale – 66 % à vouloir réserver les prestations sociales aux seuls Français -, mais majorité déjà moins majoritaire sur les orientations économiques à venir, que ce soit sur les 35 heures, l’âge du départ à la retraite et la dégressivité des allocations de chômage. Toujours sur le plan économique, à peine 30 % des électeurs appelleraient une sortie de la zone euro.

    Tout cela est fort intéressant et tout aussi contradictoire : entre aspirations libérales (droit d’entreprendre, ras-le-bol de l’inquisition fiscale et paperassière) et manifeste besoin d’un État à la fois stratège et protecteur. De fait, les commentateurs politiques assurent que cohabiteraient au sein d’un même mouvement un Front de gauche au nord et un Front de droite au sud du même pays. Ce n’est pas faux, mais un peu court.

    Mais cela oblige malgré tout une Marine Le Pen à gérer les grands équilibres au sein du parti dont elle est présidente, entre son père faisant actuellement l’école buissonnière, sa nièce tirant l’affaire sur des thématiques identitaires et son proche entourage persistant à vouloir l’ancrer dans une problématique ouvertement plus sociale. Dans le fond, ces deux orientations sont plus complémentaires qu’antinomiques ; après, tout est question de dosage.

    Dernière information des plus intéressantes, le revenu universel, sur lequel Marine Le Pen serait en train de sérieusement réfléchir, à en croire Le Figaro de ce mercredi. De quoi s’agit-il ? Non d’une mesure bolchevique ou ultralibérale, mais simplement d’une idée qui nous vient de tous les horizons politiques, même les plus inattendus, d’Alain de Benoist et Christine Boutin, en passant par Maurice Druon et Gaspard Koenig, c’est dire. Laquelle mesure, un revenu de mille euros par Français, versé de la naissance jusqu’à la mort, qui supprimerait au passage le maquis des aides sociales, déversées on ne sait trop comment et chez on ne sait trop qui. Soit de quoi envisager peut-être une vie meilleure, fort de ce petit viatique que la France doit bien aux Français. Quitte, à ceux qui veulent entreprendre, d’entreprendre et aux autres de revendiquer cet autre droit légitime qu’est celui de la paresse, si bien mis à l’honneur par le grand Paul Lafargue.

    On a déjà entendu plus idiot. Et voilà qui pourrait apaiser bien des choses. Au fait… « La France apaisée » n’est-il pas le probable futur slogan présidentiel de Marine Le Pen ? Tout se recoupe.

    Source: 

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/74-des-francais-sont-persuades-que-marine-le-pen-sera-qualifiee-en-finale_158575.html#more-158575

  • Primaire à droite : qui aura ses parrainages ?

    « Là, on va rentrer dans le dur. Ça va être oeil pour oeil, dent pour dent ! » prévient un supporteur de François Fillon en bombant le torse. A sept mois de la primaire de la droite, qui aura lieu les 20 et 27 novembre, la campagne interne va prendre une nouvelle tournure en fin de semaine avec l'ouverture officielle de la chasse aux parrainages.
    La règle est aussi simple qu'impitoyable pour les postulants : obtenir, d'ici au 9 septembre, les soutiens d'au moins 25 parlementaires, 250 élus issus de trente départements différents et 2 500 adhérents à jour de cotisation. Une formalité pour les favoris comme Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, François Fillon et Bruno Le Maire. Un casse-tête pour les sept autres impétrants, comme Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet ou Hervé Mariton. « Ils sont onze au départ. Mais combien seront-ils à l'arrivée ? » s'interroge, dubitatif, Thierry Solère, président de la commission nationale d'organisation de la primaire.
    Jean-Frédéric Poisson, lui, sera de la course
    A partir de vendredi matin, chaque parrain pourra télécharger un formulaire sur le site de la haute autorité de la primaire, l'instance indépendante chargée du bon fonctionnement de ce scrutin et présidée par la juriste Anne Levade. « Une fois rempli et envoyé, le parrainage sera validé. Plus de possibilité de faire machine arrière ! » avertit un responsable des opérations, qui s'attend à recevoir un afflux de formulaires dans les jours qui suivront la mise en ligne. « Et pour cause, un parlementaire qui s'engage pour untel, c'est un soutien de moins pour un autre. Et comme aucun plafond n'a été fixé, les grosses écuries ne vont pas se priver d'en recueillir très vite un maximum pour décourager les autres. »
    Comme Fillon, qui, même s'il est loin d'être le favori des sondages, est paradoxalement celui qui a le plus entretenu ses réseaux parlementaires. Selon nos informations, 120 députés et sénateurs de droite seraient déjà prêts à signer pour lui... alors qu'il en suffit de 25. « Il va ratisser à mort et assécher le vivier des autres », redoute un proche de Le Maire, qui n'a pourtant pas de souci à se faire avec l'assurance, à ce stade, de 70 parrainages de parlementaires, comme Alain Juppé. Quant à Nicolas Sarkozy, en vacances cette semaine à Los Angeles avec son épouse Carla, même s'il n'est pas encore officiellement déclaré, il pourrait déjà compter sur une cinquantaine de soutiens.
    D'autres sont loin, bien loin du compte. Si elle affirme avoir déjà les 2 500 signatures d'adhérents, Nadine Morano connaît les pires difficultés chez les élus. Même galère pour Hervé Mariton qui, cependant, revendique une quinzaine de signatures de députés. Quant à Jean-François Copé, il jure qu'il aura ses précieux sésames. « Mais dans son propre département, la Seine-et-Marne, il n'y a aucun député qui lui apportera un parrainage. Même pas son vieil ami Christian Jacob... » persifle un ténor des Républicains.
    Dans ce maelström, un homme n'a aucune frayeur à se faire : parce que sa formation est affiliée à LR, l'obscur candidat Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, est directement qualifié pour le scrutin... sans passer par la case parrainages.

    Olivier Beaumont Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuyEEkZFlAJLHSBgzz.shtml

  • Éditorial de L’Action Française 2920 - JEUNESSE : LA FAILLITE MORALE DE LA GAUCHE

    Jusqu’où la gauche descendra-t-elle ? Je ne parle ni des sondages ni des élections partielles, mais de sa faillite morale. Il ne s’agit pas des nombreuses affaires dans lesquelles elle est engluée. Le candidat Hollande, en 2012, avait fait de la jeunesse sa priorité.

    Quatre ans plus tard, le gouvernement socialiste, incapable d’offrir un emploi aux jeunes Français, cherche à les appâter en libéralisant l’usage de la drogue. Fumez, vous ne penserez plus que votre avenir est bouché ! Qui dira après cela que Hollande, à douze mois de la prochaine présidentielle, ne fait pas à nouveau de la jeunesse sa priorité ? D’autant qu’un drogué est rarement inscrit au chômage et cherche plus rarement encore du travail. Il n’apparaît dans aucune statistique de Pôle Emploi : c’est gagnant-gagnant ! Alors que le Premier ministre annonçait en parallèle, le 11 avril dernier, une série de mesures en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes pour un coût de 400 à 500 millions d’euros par an, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souhaité sur BFM TV que « le Parti socialiste ouvre un débat sur la fin de la prohibition » du cannabis. Certes, ce médecin de profession reconnaît que le cannabis « est une très mauvaise chose pour la santé publique, en particulier chez les jeunes », mais, compte tenu de sa large consommation, « il faut peut-être aller vers des mécanismes de légalisation contrôlée ».

    Qu’en termes délicats ces choses-là sont dites ! Comme si la solution était de baisser les bras en encadrant le mal ! Comme si l’augmentation de la consommation de drogue n’était pas l’effet d’une situation anxiogène dû avant tout à la crise et au délitement social ? Est-ce d’ailleurs un effet du hasard si, dans le même temps et alors que l’ouverture, voulue elle aussi par le pouvoir socialiste, d’une salle de shoot dans le Xe arrondissement de Paris, adossée à l’hôpital Lariboisière, fait toujours débat, la Fédération française d’addictologie recommande dans un rapport rendu public lundi 18 avril 2016 que la consommation de drogue soit également permise dans les centres d’accueil pour toxicomanes ? Ce qui aboutirait à une dépénalisation de fait non plus seulement de la consommation des drogues prétendument douces, telles que le cannabis, mais aussi des stupéfiants les plus dévastateurs.

    Que la gauche en soit arrivée là en dit long sur sa déliquescence morale. Quelle déchéance que de ne proposer comme horizon à la jeunesse de son pays que la libéralisation du cannabis, l’ouverture de salles de shoot et l’assistance avec la création, dès 18 ans, d’un revenu minimum d’existence, en remplacement, au nom d’un égalitarisme simpliste, du maquis actuel des minima sociaux. Oui, la gauche paniquée par la perspective en 2017 d’un nouveau 21-Avril, ne gouverne plus : elle fait campagne, tous azimuts, cherchant à raccrocher, par tous les moyens, même nauséabonds, des électorats qu’elle croyait captifs et qu’elle voit lui échapper. La dégradation préméditée de l’instruction, à laquelle préside Najat Vallaud-Belkacem, certes entamée par ses prédécesseurs de droite et de gauche, mais accélérée de manière méthodique par l’actuel gouvernement, est une composante de cette politique en direction à la fois de la jeunesse et de certaines « communautés ». Un peuple mal instruit est plus malléable, notamment à ces discours de haine qui, sous couvert de vivre-ensemble, sont ceux du communautarisme militant.

    Même si cela n’a pas profité au candidat socialiste aux régionales en Île-de-France, il est toutefois patent que la gauche cherche à communautariser, voire à racialiser de plus en plus sa propagande, opposant la France « périphérique », constituée des Français de souche et des immigrés assimilés, à la « diversité », soutenue par ces dhimmis masochistes qui ont les moyens de s’enfermer dans leurs beaux quartiers et espèrent que leur argent leur assurera durablement la tranquillité au sein du grand remplacement civilisationnel qu’ils ont d’ores-et-déjà acté. Il en est des spots « Tous unis contre la haine » prétendant dénoncer le racisme comme des 2 000 affiches visant à condamner les discriminations à l’embauche : en insultant, tout en l’inventant comme catégorie économique et sociale, le « Français blanc » comme profiteur et raciste, ces deux campagnes gouvernementales en cours cherchent, par un racialisme grossier, à créer cet apartheid mental que Valls a infusé dans le discours politique en janvier 2015, dans le seul but d’opposer de manière irrémédiable deux électorats : d’un côté les Français périphériques jugés irrécupérables car désormais tournés vers le FN, de l’autre, la « diversité », électorat de remplacement en cours de constitution.

    Cette politique racialiste et communautariste de la gauche est d’autant plus violente qu’il lui faut réparer deux bévues qui lui ont aliéné un électorat qui lui avait été acquis en 2012 : sa politique étrangère de lutte contre le terrorisme islamiste entamée dès janvier 2013 au Mali, comme la politique sociétale — mariage pour tous, théorie du genre enseignée à l’école. Comme quoi, contrairement à ce que pensent des esprits courts au FN, qui risque de s’en mordre les doigts en 2017, la gauche sait, elle, qu’il n’y a pas de sujets « bonsaïs » en politique. Comment ne pas voir également que les propos de mars 2015 de Vallaud-Belkacem sur le porc comme « aliment confessionnel » étaient un message communautariste envoyé à certains jeunes ?

    Rien ne dit évidemment que cette tactique abjecte réussira. Les « quartiers » sont d’autant moins revenus dans le giron de la gauche qu’elle en a perdu de nombreux et que la droite molle et le centre tiennent désormais le même discours et pratiquent la même politique. Hollande, qui dévisse dans les sondages, a peur : plus généralement la jeunesse, quelles que soient ses origines, lui échappe. Celle qui vote destine ses voix en majorité à la droite parlementaire ou au Front national. La gestion des manifestations, notamment de lycéens, contre la loi El-Khomri, comme celle de Nuit Debout sur la place de la République à Paris, pâle reflet des Indignados espagnols du début des années 2010, est délicate. Il s’agit d’éviter avant tout la constitution d’un Podemos français.

    Les violences policières, encouragées par le pouvoir et occultées par les médias aux ordres lorsqu’elles étaient dirigées contre les pacifiques Manif pour tous ou autres Veilleurs, pourraient, cette fois largement médiatisées, faire à gauche le jeu des dissidents. C’est pourquoi le pays légal ferme les yeux, partout en France, sur les nombreux actes de vandalisme des antifâ et autres gauchistes qui, largement infiltrés, lui ont toujours servi de police supplétive. Laisser libre cours au vandalisme — les commerçants de Nantes, Rennes ou Paris en font régulièrement les frais —, dans l’espoir d’en rendre responsable et de réprimer l’adversaire qu’on jugera utile de désigner, les patriotes, évidemment, qu’on prétend en toute bonne conscience « citoyenne » interdire d’expression : cette politique d’une gauche aux abois est vieille comme la République. A Marseille, les locaux de l’Action française ont été ces jours derniers plusieurs fois vandalisés et nos militants menacés de mort par les idiots utiles du système, sans que cela inquiète autrement la police, voire avec une certaine complaisance des médias de l’oligarchie. L’évocation récurrente par le gouvernement d’un risque de guerre civile n’a rien d’innocent. Pour la gauche, sera « républicain » tout ce qui permettra son maintien au pouvoir.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2920

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,10462

  • Journal du Jeudi 21 Avril 2016 : Immigration / L’humanisme tueur

  • A Marseille, des militants du Parti de la France manifestent contre l'ouverture d'un centre d'accueil pour clandestins...

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    Suite à l'annonce, le 15 avril 2016, que 20 migrants de la « jungle » de Calais seraient accueillis samedi 16 avril dans un centre d'hébergement, rénové pour l'occasion, dans le quartier de la Croix-Rouge à Allauch dans le 13e arrondissement de Marseille, et que 100 autres pseudo-réfugiés allaient bientôt les rejoindre, les militants du Parti de la France des Bouches-du-Rhône se sont immédiatement mobilisés pour organiser un blocage de ce centre pour clandestins.

    Félicités par les riverains, les militants se sont repliés en bon ordre après cette action symbolique de résistance nationale face à la colonisation migratoire.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Alain Escada : "N’est-il pas étrange qu’aucun lieu de pouvoir ne soit visé par les terroristes ?"

    Tous les médias en parlent. L’analyse de l’ordinateur d’un terroriste de l’État islamique aurait permis d’apprendre que Civitas figurait sur la liste des cibles envisagées pour commettre un attentat. Nous avons posé quelques questions à Alain Escada, président de Civitas.
    Médias-Presse-Info : Comment avez-vous appris la nouvelle que Civitas avait figuré parmi une liste de cibles potentielles des terroristes de Bruxelles ?
    Alain Escada : J’ai pris connaissance de cette rumeur par l’entremise des médias. Dans un premier temps, il était question d’une « association catholique conservatrice basée à Argenteuil ». Ensuite, le nom de Civitas est apparu explicitement.
    Que vous en a dit la police ?
    Rien. À cette heure, seuls des journalistes m’ont appelé. Je n’ai pas eu le moindre contact avec un quelconque service de police.
    Cela vous inquiète-t-il ? Auriez-vous souhaité une protection policière ? Changez-vous votre emploi du temps ?
    Non, je ne suis pas inquiet. Si la police ne nous a pas contactés, c’est probablement qu’elle estime qu’il n’y a pas de danger. Comme prévu, j’irai le 17 avril prendre la parole au Congrès Nationaliste, puis je ferai une conférence à Nantes le 25 avril à l’invitation d’E&R. Mes saints anges gardiens valent bien quelques gardes du corps. Rassurez-vous, je dors bien. À Dieu seul de décider de mon heure dernière. Mais, pour être clair, je ne pense pas un seul instant être la cible prioritaire d’un mouvement terroriste.
    Du reste, je m’interroge. N’est-il pas étrange que rien qui symbolise le gouvernement ou les véritables lieux du pouvoir ne figure parmi la liste des cibles potentielles de terroristes djihadistes ?
    Quant au fait que Civitas retienne l’attention de terroristes djihadistes, j’ai plaisanté toute la journée avec les journalistes sur le fait que, jusqu’au Proche-Orient, Civitas serait donc considéré comme le dernier emblème de la Chrétienté.
    En vérité, pour l’instant je me méfie plus de Bercy qui, sur injonction de la franc-maçonnerie, a infligé à Civitas un redressement fiscal carabiné, que de quelconques terroristes.

  • Revue militant Avril 2016 - La France est un sol, un sang et un destin