Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 3218

  • Synthèse nationale organisait ce dimanche près de Lille sa 4e Journée régionale Flandre-Artois-Hainaut

    20160424_154654.jpg

    Un public nombreux et enthousiaste...

    Une fois de plus la journée annuelle de Synthèse nationale dans le Nord cliquez ici a été une vraie réussite. Plus de 120 participants, dans une ambiance détendue, sont venus à Nieppe, près de Lille, écouter les invités de Luc Pécharman, délégué régional de l'association. 

    Se succédèrent à la tribune : Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol et ancien député, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Guy Hamon, membre du Bureau de Riposte laïque, qui remplaçait Pierre Cassen retenu dans le sud de la France, Ferenc Almassy, journaliste indépendant hongrois, et Carl Lang, Président du Parti de la France.

    Une dizaine de stands, dont ceux de Terre et peuple, de divers mouvements régionalistes, du Parti de la France, de nos amis wallons de Nation, de l'ADMP (Association pour la Défense du Maréchal Pétain), de bouquinistes, étaient dressés dans le hall.

    Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cette belle réunion nationaliste. Un reportage filmé sera à votre disposition sur ce site.

    lille3.jpg

    Ferenc Almassy, Guy Hamon, Luc Pécharman, Carl Lang

    20160424_145539.jpg

    Des stands qui ne désemplirent pas...

    13103443_1594594570854211_7029430205145987084_n.jpg

    13062196_1594589347521400_5891765578475582821_n.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un lycée occupé par des migrants dans le XIXe arrondissement de Paris

    PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Au début du week‑end, environ 150 clandestins ont forcé les portes du lycée parisien Jean-Jaurès, dans le XIXe arrondissement, pour installer un camp. Suivant le plan élaboré avec l’aide de l’association La Chapelle debout – le comité de soutien des migrants de La Chapelle –, les migrants ont envahi le lycée professionnel Jean Jaurès en écartant la grille de l’entrée principale rue Clavel. Le lycée inoccupé depuis des mois est désormais surveillé et sécurisé par une garde prétorienne composée des membres de l’association qui contrôlent drastiquement les accès au lycée. De plus, une pancarte indique en arabe et en anglais que seules les personnes enregistrées peuvent entrer !

    C’est la seconde occupation de lycée dans l’arrondissement. Cette occupation n’est pas sans rappeler celle d’un autre lycée de l’arrondissement devenu centre d’hébergement, Jean‑Quarré, où plus d’un millier de migrants avaient trouvé refuge à l’été 2015. Le journal « Libération » avait d’ailleurs décrit le refuge comme régi par la loi du plus fort et miné par des problèmes d’hygiène, de violence, de pratiques mafieuses.

    Le quartier de Stalingrad ne désemplit pas de clandestins. En effet, ils sont plusieurs centaines à squatter sous les poutrelles du métro aérien. C’est de là que proviennent les nouveaux occupants du lycée Jean Jaurès. C’est au sein de cette cours des miracles qu’une impressionnante rixe avait éclaté entre deux groupes de migrants le 14 avril dernier. C’est pour cela que le collectif a décidé d’occuper le lycée : « Nous ouvrons ce bâtiment pour offrir un toit aux réfugiés qu’on laisse dormir sous les ponts ou les porches des immeubles des quartiers populaires car la mairie a dit que Paris est une ville refuge. »

    La région souhaite porter plainte. Le préfet d’Ile‑de‑France, Jean‑François Carenco, dénonce cette occupation sauvage, car elle retarde les travaux prévus pour la réouverture du lycée. Il portera plainte pour les dégradations subies. 

    http://fr.novopress.info/200622/lycee-occupe-des-migrants-xixe-arrondissement-paris/

  • Vers une Europe des patriotes ?

    Seule une union, ou à tout le moins une entente, des patriotes pourra changer le visage du continent.

    Partout en Europe, la vieille et la nouvelle, de l’Ouest et de l’Est, anglo-saxonne et carolingienne, la progression des formations politiques patriotes est linéaire. Dans un heureux paradoxe, malgré leur amour immodéré de la cause nationale et des frontières, ces rebelles de la politique contemporaine parviennent à cohabiter et tisser des liens, notamment au sein des institutions européennes qu’ils exècrent avec plus ou moins de retenue.

    Ce qui aujourd’hui les rassemble, c’est-à-dire essentiellement un discours anti-élites, un amour du pré carré, un respect des valeurs et une volonté de limiter l’immigration, pourrait demain, lorsqu’ils arriveront, simultanément ou successivement, au pouvoir – parce que c’est inscrit dans les astres -, laisser place à ce qui les divise.

    La frontière séparant les phalanges patriotiques est peut-être moins ténue qu’il n’y paraît. L’union des patriotes souffre de quelques écueils qu’il faudra surmonter.

    Lire la suite

  • Tepa / Alain Benajam - Le fascisme de gauche - Meta TV 3/3

  • Euromondialisme, Tafta, soumission…leur socle commun

     Bruno Gollnisch était vendredi  à Cahors et Gourdon  à l’invitation  de la fédération FN du Lot dirigé par le chargé de mission et conseiller régional Emmanuel Crenne. Il y a tenu  un déjeuner débat, une conférence de presse et a effectué  une visite de soutien à la manifestation pour le maintien de la gare de Gourdon.  « On aurait tort de négliger le Front National même dans ce département ancré à gauche » a prévenu le député européen  frontiste qui a relevé que seule l’opposition nationale est actuellement en ordre de bataille : » le mécanisme des primaires va aggraver les divisions aussi bien à droite qu’à gauche. Chez nous, pas de problème, nous serons tous derrière Marine Le Pen ».  Bruno n’a pas manqué aussi de rendre un  hommage dans son pays au  papetier de Saint-Céré, à Pierre Poujade : « Le Poujadisme a été un mouvement assez légitime contre le fiscalisme ». Question fiscale qui est (aussi) au cœur des programmes des candidats aux Etats-Unis, campagne des primaires outre-atlantique, qui vient  de prendre un nouveau tournant avec l’alliance annoncée hier  entre le  sénateur du Texas Ted Cruz et le gouverneur de l’Ohio John Kasich. Les deux candidats républicains, définitivement distancés par Trump,  veulent empêcher ce dernier d’atteindre le chiffre clé des 1 237 délégués indispensables  pour être intronisé en novembre  par le parti  républicain. Il affronterait alors,  selon toute probabilité, et avec des chances certaines quoi qu’en disent ses adversaires,  la toute aussi clivante  et peu appréciée de l’Amérique profonde Hillary Clinton. Cruz et Kasich veulent ainsi rendre possible la tenue d’une « convention négociée » qui écarterait Trump. Ils se sont mis   d’accord en attendant sur des désistements mutuels en faveur du mieux placé dans les Etats où se poursuivent les primaires. 

    Dans un  entretien diffusé hier sur Arte, réalisé peu après le lancement de son parti « En Marche« ,  le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a justifié lui aussi  la  nécessité d’alliance large pour maintenir sous l’éteignoir le sursaut, le réveil Français dont le vote FN est l’incarnation.  » Je suis de gauche, c’est mon histoire. Mais la gauche aujourd’hui ne me satisfait pas » a t-il dit sur Arte; « En Marche » ne sera « pas à droite, pas à gauche » affirmait -il à Amiens le 6 avril.


    En l’espèce, le ministre  reprend de manière assez maligne, en le  faussant, le constat du FN sur le  vrai clivage, celui opposant d’un côté   les déclinistes bruxellois, euromondialistes,  qui ne croient plus dans les capacités françaises, en  la nation, en sa souveraineté, qui  combattent les identités particulières; et de l’autre  les patriotes qui défendent  l’éternel modernité et nécessité du   fait national.   Dans  la bouche de M. Macron cela devient:   « A mes yeux, le vrai clivage dans notre pays (…) est entre progressistes et conservateursc’est ce clivage que je veux rebâtir maintenant et je ne veux pas attendre 2017 (…). « Je veux pouvoir construire une action commune avec toutes les bonnes volontés qui croient à ce progressisme pour le pays. »

    C’est au nom du progressisme que le PS s’est désisté pour la droite et a fait élire dimanche lors du second tour des  élections départementales partielles de Saint-Mihiel (Meuse), les candidats de l‘UDI  qui étaient opposés aux frontistes Marianne Prot et Bruno Rota.  L’abstention était certes très  élevée mais cependant  moins massive  que  dans la troisième circonscription de Loire-Atlantique, acquise à la gauche social-démocrate depuis quarante ans. Une grève du vote qui a  facilité, ce dimanche également,  la victoire dans cette élection législative partielle   de Karine Daniel,  la candidate adoubée par le PS en remplacement de Jean-Marc Ayrault.   

    Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement, invité du Grand rendez-vous d’Europe 1 hier,  a dit la même chose que d’autres voix du Système,  convaincu lui aussi  que  les progressistes du  PS et LR sont  condamnés  à s’entendre pour barrer la route du pouvoir à l’opposition nationale.  Face à celle-ci, « notre pays a besoin de concorde, de compromis » a-t-il déclaré. « Si un candidat devait se faire élire contre la candidate de l’extrême droite en 2017, en ne s’ouvrant pas aux autres candidats républicains, le chemin serait extrêmement difficile ». M, Le Guen,  souligné qu’il existait  un « socle commun »  d’une partie de la droite avec la « gauche républicaine ». » Il va y avoir une décantation à droite. Il y a des gens qui vont prendre le parti de la rupture violente en 2017. Et il y a une autre droite qui par analyse, par lucidité, pense que cette logique va à l’échec. C’est plutôt ce que peut dire Juppé, ce que dit Jean-Pierre Raffarin… »

    Cette recomposition politique qui vient est déjà actée par le gouvernement des Etats-Unis qui  entend faire pression sur les Européens pour qu’ils n’abandonnent pas une idéologie d‘ouverture dans tous les domaines, conforme au projet du Nouvel ordre mondial. En, visite en Allemagne après l‘Angleterre, Barack Obama  a été clair. Nous savons que l’UE est une création  des Etats-Unis et il l’a rappelé à sa manière  hier à Hanovre. Le Monde l’a rapporté : « Si la Grande-Bretagne sort de l’Union européenne, les Etats-Unis feront de l’Allemagne leur partenaire privilégié sur le vieux Continent. Le président américain (…) a prononcé un vibrant plaidoyer pour le traité de libre-échange transatlantique (TTIP),mais aussi multiplié les éloges à l’égard d’Angela Merkel, insistant sur le rôle que l’Allemagne avait pris ces dernières années sur la scène internationale. M Obama a ainsi félicité Angela Merkel  d’avoir ouvert  les vannes  face à l’invasion migratoire: « Merkel est du bon côté de l’Histoire » » a-t-il affirmé en  évoquant la « crise des réfugiés. »

    Dans le même registre mondialiste, le président américain a plaidé pour la poursuite de l’ultra libre échangisme… alors même que les Etats-Unis utilisent  eux un  gros  arsenal protectionniste! Quant au Marché transatlantique (TAFTA ou TTIP), auquel s’oppose  un Donald Trump,  les négociations sont actuellement au point mort.  Le Monde rappelait que « juste avant l’arrivée de M. Obama, le ministre de l’économie allemand, Sigmar Gabriel, a prévenu : ce traité de libre-échange transatlantique  va échouer si les Etats-Unis ne font pas de concessions. » Aujourd’hui, Mme Merkel et M. Obama sont  rejoints  par le premier ministre britannique David Cameron,  le président du conseil italien Matteo Renzi et François Hollande, lequel   » a insisté pour que le TTIP ne soit pas à l’ordre du jour ».

    Le site Cyceon l’indiquait vendredi, une manœuvre visant à tromper les Français n’est pas à exclure : « Vu de Bruxelles en effet, les négociations (sur le marché transatlantique, NDLR) sont difficiles mais leur finalité, à savoir la conclusion du TTIP, sera concrétisée, top ou tard, fin 2016 ou après. Dès lors peut-être faut-il s’interroger sur la part prise par la politique dans les déclarations françaises relatives au TTIP alors que  François Hollande pourrait être tenté par une posture du non  en vue des élections de 2017, pour au final un simple report de l’accord. »Accord qui serait finalisé sur le dos des peuples, comme l’a été la constitution européenne souligne Bruno Gollnisch, au nom du socle commun des progressistes de gauche comme de droite. Ne doutons pas que cela sera vendu aux Français sous ce beau déguisement…

  • La décadence de la République

    Maxime Tandonnet s'inquiète de la prolifération du nombre de candidatures à la présidentielle :

    "[...] Cette explosion du nombre des candidatures est un signe supplémentaire, un symptôme patent, de la vertigineuse désintégration de la vie politique française.

    Tout d'abord, elle est le signe de la banalisation de la fonction présidentielle, qui n'a jamais cessé de s'aggraver depuis la mort de Georges Pompidou. Le président a perdu le prestige souverain qui s'attachait à sa personne au début de la Ve République et faisait de lui le guide de la France. Désormais privé de l'autorité morale, de l'image de sagesse et de visionnaire qui faisait jadis de lui un monarque républicain, il est devenu un personnage public comme un autre, une sorte de «super député» dont le territoire national est l'unique circonscription. Loin d'être perçu comme le chef de la Nation, il se présente aujourd'hui bien davantage comme le réceptacle des frustrations et des échecs, un symbole d'impuissance publique et une sorte de bouc émissaire français. Le chef de l'Etat incarne aujourd'hui «Monsieur Tout-le-monde». Il est logique que le poste attire tant de vocations : chacun se sent la capacité à assumer une fonction publique ressentie comme banale, ou à tout le moins, «normale»...

    Ensuite, cet appétit présidentiel reflète un néant politique croissant. La fonction élyséenne, tout en étant banalisée, se retrouve hyper médiatisée. Le chef de l'Etat est présent du matin au soir dans la presse et les caméras de télévision. Toute la vie publique semble se concentrer dans ses faits et gestes, à l'image d'un régime d'opérette. Et quand on ne parle pas de lui, il n'est question que de ceux qui convoitent sa place... Ce culte de la personnalité à outrance sert à masquer le vide et l'absence de projet, d'idées, de volonté, de sens d'un destin collectif. Il exprime aussi la perte de tout esprit du bien commun. Jadis, sous la IIIe, la IVe, la Ve à ses débuts, servir efficacement et utilement la France comme Premier ministre ou ministre, voire député ou sénateur, prendre une part dans l'oeuvre collective d'un gouvernement ou d'une majorité, constituait un immense honneur et suffisait à combler la carrière d'un homme ou d'une femme politique. Désormais, il faut être président de la République à tout prix; étinceler sous les dorures de l'Elysée, ou rien. Pourquoi ? Parce que l'obsession narcissique d'être «numéro un» n'en finit pas d'écraser le sens de l'intérêt général et de contribuer au décrochage de la France, en Europe et dans le monde."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour le ministre Najat Vallaud-Belkacem, un plat avec du porc est un plat « confessionnel » !

    Voilà où nous en sommes en France, en 2016 !

    Suite à la décision du maire de Chalon-sur-Saône de supprimer des cantines scolaires municipales le « menu de substitution » (c’est-à-dire sans porc), le ministre de l’Education nationale (sic) a déclaré dans le Figaro : « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants. »

    Résumons sa pensée : un plat halal préparé spécialement pour un enfant musulman est désigné ici sous le terme « menu non confessionnel », par opposition au « jambon-purée » considéré comme un mets confessionnel…

    http://www.contre-info.com/

  • A Reims, deux représentants de Nuire Debout veulent expulser les Veilleurs

    Mardi dernier :

    "Deux représentants de la Nuit Debout sont venus pour nous indiquer qu’il fallait dorénavant dégager la place royale ; que ce n’était plus notre place ; que les veilleurs représentants de l’intolérance n’avaient plus rien à faire là …

    Ils ont cherché à interrompre ma lecture d’un passage du livre de Chantal DELSOL « la haine du monde ». Ce passage évoquait les deux dimensions d’une société totalitaire : l’hyper individualisme post humanité et le holisme de la société communiste …

    C’est bien l’extrême gauche qui a cherché à nous expulser de la place comptant ainsi perturber notre prochain rendez-vous où nous fêterons notre troisième année de veille sans discontinuer."

    Eric, Veilleur à Reims

    Marie Bethanie