France et politique française - Page 3220
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 433
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La République ne goûte pas le référendum (article paru dans L’Action Française n°2930 du 21 avril 2016)
Pour ou contre le Brexit ? En France, les responsables politiques n’ont pas manqué de prendre parti.
Dès l’annonce du référendum britannique, les parlementaires français se révèlent divisés. Et l’étiquette politique n’y change rien. Nicolas Sarkozy ou Laurent Wauquiez plaident pour le Brexit, tout comme… Michel Rocard ! Soupçonnant le Royaume-Uni d’être « largement à l’origine […] de la paralysie du système de décision européen » (Le Monde, 25 mai 2015), l’ancien Premier ministre de François Mitterrand ne verrait pas d’inconvénient au départ d’une nation considérée comme un frein à l’épanouissement de l’Union.
Un drame selon Manuel Valls
Le gouvernement actuel, en revanche, n’est pas de cet avis. La sortie de l’UE serait-il « un drame » et « une dislocation irréversible » (L’Obs, 22 février 2016) ? C’est en tout cas ce qu’estime Manuel Valls, s’inscrivant dans la ligne d’une majorité plutôt amère à l’idée d’un Brexit susceptible d’essaimer en France… Car dénoncer l’Union européenne comme responsable des échecs d’un pays serait une « pratique politique féconde », et l’exemple anglais ne ferait que proposer un modèle susceptible d’être suivi par des voisins mécontents, souligne Xavier Timbeau (Revue parlementaire, n°40, mars 2016). En somme, le constat est éloquent : selon le directeur général de l’Observatoire français des conjonctures économiques, c’est le carrefour ouvert au Front national, qui ne cesse de dénoncer l’emprise de l’Union sur la souveraineté des pays européens. À la sortie d’un sommet européen, Bernard Monot, eurodéputé FN, a d’ailleurs émis clairement le souhait d’opérer un « Franxit […] collé au modèle du Brexit » selon « les mêmes critères que le Royaume-Uni » (Le Figaro, 23 février 2016).
Aude de Fromon
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Nuit Debout : viols et agressions sexuelles en pleine place publique
Nuit Debout est ce mouvement de gauchistes bien élevés qui génère violences et saccages. Une inimitié de la bien-pensance le menace depuis qu’Alain Finkielkraut s’en est fait exclure, une telle exclusion ne pouvant être considérée par les ligues de vertu que comme de l’antisémitisme…
On apprend maintenant, en plus de tout cela, que des viols et agressions sexuelles ont eu lieu en pleine place publique dans le cadre de ces rassemblements. Rien de nouveau dans les mouvements gauchistes…
Madame Taubira a-t-elle changé d’avis, elle qui affirmait il y a quelques semaines :
«Je regarde avec une très grande tendresse ce mouvement. Je ne sais pas vers quoi il va déboucher mais, quel que soit son aboutissement, c’est une expérience collective, c’est une expérience citoyenne»
En terme d’expérience collective, le succès semble être au rendez-vous ! Avec tendresse, naturellement !
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Au nom de l’intérêt public !
Dr Bernard Plouvier
C’est en se référant à cette noble formulation, qu’un juge de notre vertueuse République exige l’ouverture d’un centre pour réfugiés-immigrés dans l’un des quartiers de France où la vie est la plus chère : le XVIe arrondissement de Paris !
Après tout, ces réfugiés-immigrés vivant de la charité publique (via le détournement d’une partie de nos impôts, redistribuée en allocations & subventions qu’ils obtiennent sans travail de leur part) ne sont que modérément sensibles à la cherté de la vie, puisqu’ils se comportent en parfaits parasites.
De même, la pollution du Bois de Boulogne n’est guère plus préjudiciable à la France que celle des alentours de Calais et de Grande-Synthe, ou de villages bretons ou poitevins… d’autant que ledit bois est bien connu pour ses trafics de stupéfiants et ses passes de prostitué(e)s en tous genres, y compris les plus improbables. Donc, allons-y pour la jolie formulation : « Au nom de l’intérêt public » !
Mais, quel intérêt est-il en cause ? De quelle communauté parle-t-on dans cette affaire « d’intérêt public » ? Exclusivement de la clientèle des partis « de gauche », actuellement en pleine déconfiture, et qui ont impérativement besoin de se refaire une santé par la naturalisation en masse de ces immigrés-réfugiés, associée – bien entendu - à une reprise en force de la démagogie tiers-mondiste la plus flamboyante.
Parce que si l’on parle de l’intérêt de la Nation française, qui représente le seul public légitime - étant le seul souverain de l’État -, dans ce cas, personne et surtout pas un magistrat de la République ne peut se prévaloir de dire ce qu’est son intérêt. Pour l’excellente raison que nul n’a demandé l’avis de ce « souverain » depuis qu’en 1976 (par le décret funeste de regroupement familial), des politiciens ont imposé une immigration de masse, aggravée de façon exponentielle depuis le milieu des années 1980.
L’intérêt de la Nation française commande-t-il une immigration extra-européenne massive ? Bien évidemment ! Avec plus de 5 millions de chômeurs, l’intérêt national commande d’importer encore et toujours plus d’Africains, de Moyen et de Proches-orientaux, dont une majorité n’a aucune qualification et dont les rares techniciens ont souvent besoin de la célèbre « discrimination positive » pour se faire embaucher.
Il est également évident que, dans un pays où existent déjà environ 8 à 10 millions de musulmans, l’intérêt national commande, et d’urgence, d’en importer encore quelques millions de plus, de façon à voir pulluler davantage encore les mosquées et les boucheries hallal, de façon à voir circuler davantage d’individus en djellaba et nantis de ce voile islamique prôné ouvertement à l’école des sciences politiques de Paris ces derniers jours.
À l’évidence encore, il est de l’intérêt public bien compris d’importer toujours plus de jeunes musulmans célibataires pour voir se multiplier les viols de « petits culs blancs », de préférence en « tournantes » (c’est plus pittoresque), et, bien sûr, pour favoriser ces attentats qui mettent du piment dans la vie par trop monotone de la Nation… ces attentats qui devraient ne reprendre avec force qu’une fois passées les prochaines présidentielles : les maîtres du vrai Pouvoir vont probablement en freiner le rythme jusqu’à cette échéance électorale, ne souhaitant pas favoriser un sursaut patriotique.
Maintenant si l’on veut réellement analyser, monsieur le magistrat de la République, le véritable INTÉRÊT PUBLIC, soit celui de la NATION, seul SOUVERAIN LÉGITIME de l’ÉTAT FRANÇAIS (on utilise les majuscules, de façon à ce que même le plus malvoyant des juges puisse lire), les mesures qui s’imposent et d’urgence ne sont, certes pas, de multiplier les « centres d’hébergement de réfugiés-immigrés ».
Non ! Il s’agit de respecter les fondements de la démocratie. Or, la Démocratie repose sur deux piliers : l’égalité de tous devant la Loi et la prise des grandes décisions par la Nation.
Les mesures qui s’imposent – et d’urgence – sont donc de demander à la Nation sa décision souveraine en matières : d’immigration d’origine extra-européenne ; d’opportunité ou de dangerosité extrême d’engager des musulmans dans les forces armées, les forces de police et de gardiennage de prisons, sachant que la totalité des terroristes sont des musulmans ; de la nécessité de se séparer des DOM-TOM, boulets économiques, riches de seules charges budgétaires ; de rétablir la peine de mort dans des cas bien précis ; de maintenir ou de supprimer la légalité de l’avortement de complaisance, qui réalise chaque année un génocide d’environ 220 000 à 250 000 Français de souche européenne ; de statuer en matière de fourniture d’énergie ; de chasser du territoire national tous les chômeurs inutilement importés et de renvoyer dans leurs continents d’origine les millions d’extra-européens pour qu’ils mettent en valeur leurs pays, de façon à multiplier les centres de production et à stimuler le commerce international. Tels sont les choix stratégiques actuels.
Car on se moque absolument de l’avis sur ces questions de notre plantureux Président, d’ailleurs en voyage exotique perpétuel, de l’avis de notre distingué premier ministre, toujours entre deux cures (nécessaires) de relaxation, ou de celui du frétillant ministre de l’économie « En Marche » vers Matignon et l’Élysée.
Tant que l’on n’aura pas demandé son avis au seul souverain légitime de l’État, soit la Nation, nul – pas même un digne magistrat de la République – ne pourra argumenter : « Au nom de l’intérêt public ».
La Démocratie a ses exigences. On aurait presque honte de le rappeler, tant la chose est évidente… hélas, elle ne semble pas évidente pout tout le monde.
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Dans la vie politique, François Hollande a toujours été un choix “par défaut”
Dans un entretien accordé au Figaro, Thomas Guénolé dresse un bilan accablant de l’action de François Hollande qui – selon lui – “ne sera pas candidat en 2017″.
Pour le politologue, François Hollande a toujours été un choix “par défaut” :
En 2002, cinquième roue du carrosse de Lionel Jospin au poste ingrat de dirigeant du parti au pouvoir, François Hollande doit à l’accident électoral du 21 avril d’être propulsé «chef par défaut» des socialistes. Jusqu’en 2008, les congrès du Parti socialiste le reconduisent «Premier secrétaire par défaut», faute d’aptitude d’une des coteries à s’imposer dans le rapport de forces interne. En 2011, crédité initialement de 5% des intentions de vote à la primaire socialiste, il ne doit qu’à l’affaire du Sofitel, qui supprime Dominique Strauss-Kahn du jeu politique, de devenir le «candidat par défaut» auquel se résignent les électeurs de ladite primaire: et ce, au seul motif que les sondages de l’immédiat après-Sofitel l’ont donné meilleur candidat que Martine Aubry. En 2012, il est élu «président par défaut» parce que le peuple de gauche s’est uni au second tour, épaulé de renforts centristes et de centre-droit, non pas pour lui mais contre le président sortant Nicolas Sarkozy. Il aura donc passé quinze années de sa carrière politique à être systématiquement un choix par défaut.
http://fr.novopress.info/200519/francois-hollande-toujours-ete-choix-defaut/
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Condamné à deux ans de prison pour avoir appelé à résister à l'islamisation
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Marion Maréchal–Le Pen et Louis Aliot seront à Béziers au rendez-vous de Robert Ménard
Bruno Larebière analyse pour Atlantico la réunion de la droite hors les murs organisée par Robert ménard à Béziers fin mai. Extrait :
"La spécificité de cette "droite hors les murs", ainsi appelée parce qu’elle ne reconnaît dans aucun parti, ne se limite pas à quelques singularités sur les questions de société, ni même à des positions économiques différentes du "national étatisme" du Front national. Si cette droite est "hors les murs", c’est justement parce qu’aucun parti ne porte ce qu’elle estime être le cœur du combat, à savoir la défense de notre civilisation, qui est, selon elle, menacée de l’extérieur par les vagues migratoires et, de l’intérieur, par l’adoption de textes comme celui du "mariage pour tous" qui va bien au-delà de la réforme sociétale, ainsi que l’avait expliqué Christiane Taubira elle-même en revendiquant une "réforme de civilisation".
Le Rendez-Vous de Béziers, comme l’a baptisé Robert Ménard, est surtitré : "Pour ne pas attendre 2022 !" Cette phrase exclamative se veut une invite à l’électorat de droite, qui ne se reconnaît dans aucun des candidats annoncés pour la présidentielle de 2017, à agir sur les présidentiables pour ne pas être contraints de faire l’impasse sur 2017, en se projetant déjà sur une éventuellement recomposition post-présidentielle qui dégagerait un candidat pour 2022.
Robert Ménard a très bien compris que la tentation du vote blanc est grande dans cet électorat de droite, qui partage les constats formulés par Eric Zemmour dans son dernier livre, Le Suicide français, et le dégoût comme l’espérance de Philippe de Villiers dans Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, mais se désole de ne pas voir d’incarnation politique pour le représenter.
Robert Ménard croit, ou se force à croire, qu’il est encore possible d’influencer lesdits candidats et c’est tout le sens de ces journées, qui doivent déboucher sur la présentation de "50 mesures patriotes pour ne pas se tromper de droite", également appelées "programme minimum de salut public". Ces mesures seront issues de travaux organisés sous forme de tables rondes et elles seront présentées aux candidats déclarés, pour approbation, totale ou partielle, ou rejet…
Le plateau prévu est de qualité et couvre un large éventail de la droite puisqu’on y trouve aussi bien l’entrepreneur libéral Arnaud Dassier, qui avait contribué à la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, que l’avocat Gilles-William Goldnadel, le criminologue Xavier Raufer, l’ancien ministre de Jacques Chirac et ancien président de la FNSEA, François Guillaume, l’essayiste Jean-Paul Brighelli, figure de proue du courant pour une "refondation de l’école" , le philosophe Alain de Benoist, le journaliste du Figaro Ivan Rioufol ou François Billot de Lochner, président de la Fondation de service politique. Les tables rondes couvrent l’ensemble des sujets majeurs et les intitulés sont interrogatifs, parfois de façon très ouverte comme celle sur l’économie : "Plutôt Thatcher ou plutôt Colbert ?"
On peut déjà être certain que les débats et les productions seront de qualité et on peut aussi attendre de ces journées un succès populaire tant l’attente est grande, dans tous les réseaux de cette droite "hors les murs", à l’égard de cette initiative et, au-delà, à l’égard d’une tentative de structuration, même informelle, de tous les courants qui seront représentés.
Cela ne veut pas dire pour autant que les travaux de Béziers vont trouver leur traduction électorale.
La politique étant affaire de rapport de forces, l’attention qui sera portée par les candidats aux "50 mesures patriotes" qui leur seront soumises dépendra, elle, de la présence ou non de "poids lourds" de la politique, c’est-à-dire de personnalités de la droite française pouvant influer sur une part non négligeable de l’électorat. Or là, c’est l’inconnue.
Pour l’heure, seuls Marion Maréchal–Le Pen et Louis Aliot, deux figures du Front national donc, ont confirmé leur présence. Il est évident que la présence de Philippe de Villiers ou de Nicolas Dupont-Aignan, voire celle d’Eric Zemmour qui est un prescripteur important, donnerait à ce Rendez-Vous un poids politique tel qu’il ne pourrait être ignoré par les prétendants à la présidence de la République.
Alors qu'Alain Juppé fait toujours la course en tête pour la primaire Les Républicains, son éventuelle investiture n'ouvrirait-elle pas un boulevard à droite pour un mouvement comme celui-là ? A quelles conditions ?
Cette question répond en partie aux objections formulées à l’égard du Rendez-Vous de Béziers par certaines figures du Front national, en particulier par Florian Philippot, qui, dans un tweet à double lecture faussement consacré au lancement de sa formation par Emmanuel Macron, a raillé "le fantasme de l’union des droites", avant de minimiser l’importance du combat de La Manif pour tous en le comparant à la culture du bonsaï. Si cette "droite hors les murs" ne se reconnaît pas dans le FN, c’est en partie à cause de la ligne impulsée par Florian Philippot et acceptée par Marine Le Pen, une ligne "ni de droite ni de gauche" qui se refuse à embrasser le combat pour la civilisation.
Le numéro deux du Front national craint qu’une montée en puissance de la "droite hors les murs" ne vienne contrecarrer sa stratégie exclusivement souverainiste. Il s’efforce donc de contenir sa montée en puissance, tout en sachant très bien qu’elle est déjà très majoritairement partagée dans les rangs du FN comme l’a montré la standing ovation que Marion Maréchal a reçue le 10 mars dernier devant les 358 conseillers régionaux du FN réunis à Paris : elle a été acclamée juste après avoir dit qu’elle se battait pour ces idées-là…
Toutefois, cette droite "hors les murs", plus proche sociologiquement d’un vote pour les candidats de la droite dite classique, se reconnaîtrait encore moins dans une candidature d’Alain Juppé, dont le programme politique est dans la continuité de la pratique chiraquienne de l’atermoiement sur fond de concessions idéologiques à la gauche. Pour parler clairement : Alain Juppé n’est rien d’autre, pour cette droite qui sera à Béziers, que le meilleur candidat de la gauche pour 2017.
C’est pourquoi vous avez tout à fait raison : la désignation d’Alain Juppé, favori des sondages, serait de nature à renforcer la constitution de ce pôle droitier en un mouvement qui lui serait hostile, avec une adjonction de cadres et de militants supplémentaires en provenance des Républicains, renforçant l’hypothèse d’une autre candidature. Car s’il est un candidat, à la primaire pour le moment, dont on peut anticiper la réaction aux "50 mesures patriotes pour ne pas se tromper de droite" qui sortiront de Béziers, c’est bien Alain Juppé, qui ne leur opposera, dans le meilleur des cas, qu’un silence dédaigneux. [...]"
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Journal du Vendredi 22 Avril 2016 - Media / Canal+ dans le viseur de Bolloré
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Face à la propagande, la capacité de résistance des Français
Reynald Sécher est interrogé dans L'Action française 2000. Extrait :
"Les Français s’intéressent-ils à cette période tragique que sont les guerres de Vendée ? S’interrogent-ils sur les pratiques des “héros” républicains, aux méthodes desquels ressemblent étrangement celles de l’État islamique ?
Le grand public est de moins en moins dupe de ce qui se passe et notamment de la manipulation, notamment historique, dont il est l’objet. En règle générale, on a trop tendance à considérer que l’homme actuel est moins bien formé qu’hier. Je ne suis pas si sûr que ce soit aussi vrai. Chaque année, je fais une fois ou deux le tour de la France grâce aux conférences et aux signatures : en trente ans, j’ai vu évoluer le public qui est devenu plus critique, plus analytique, plus synthétique et surtout plus curieux au sens noble du terme. Regardez sur Internet les échanges au sujet de la Vendée et du génocide : c’est extraordinaire. Nos politiques, pour des raisons idéologiques, ont voulu réduire l’ école à une structure de propagande. Regardez ce qui se passe et la capacité de résistance et de réaction de nos concitoyens qui se traduit, entre autres, par la multiplication des écoles hors contrat, le développement incroyable de l’enseignement parallèle. Votre question est bouleversante mais elle correspond à une réalité perçue par nos contemporains qui n’hésitent plus à le dire."
Le succès des ouvrages de Reynald Sécher est également un signe de cette résistance culturelle.
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2016 : POURQUOI RÉSISTER ? (par Luc Sommeyre)
Bien Chers Lecteurs et Amis,
Victime de plusieurs cyberattaques paralysantes continues depuis plus d’un mois, j’ai pris un retard considérable dans le tour de France “Rémora” que je me propose d’effectuer pour rencontrer celles et ceux d’entre vous qui ont très aimablement accepté de me recevoir et/ou de me rencontrer. Sans être encore complètement restauré aujourd’hui, mais presque opérationnel, mon système informatique était jusqu’alors inutilisable à plus de 90%.
La plupart des messages que vous m’avez adressés ne me sont pas parvenus, à telle enseigne que certains ont pu croire à une désaffection vulgaire de ma part. Il n’en n’est rien. Je prie celles et ceux, nombreux, à qui je n’ai pas répondu – et pour cause ! – de bien vouloir m’en excuser.
Aussi seriez-vous aimable de m’écrire pour le moment à mon adresse Internet “personnelle” luc.sommeyre@outlook.fr en copie de tout message envoyé à luc.sommeyre@minurne.org. Merci.
Les attaques informatiques, c’est comme les migrants : on finit toujours par s’en débarrasser !
LS
OPÉRATION RÉMORA sera développée sur Radio Courtoisie [1] levendredi 27 mai de 12:00 à 13:30 – rediffusions à 16:00 et à minuit le même jour. Podcast téléchargeable sur le site de Radio Courtoisie la semaine suivante.