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France et politique française - Page 3419

  • Les entreprises françaises doivent être prioritaires pour les attributions de marchés publics régionaux !

    L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ».
    Vous pouvez le trouver écrit noir sur blanc sur le site du Parlement européen : « Avant la mise en œuvre de la législation européenne y afférente, seuls 2 % des marchés publics étaient adjugés à des entreprises non nationales. » Depuis, nos entreprises sont soumises à une concurrence déloyale, et sortent souvent perdantes lors des attributions de marchés publics, notamment dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, de l’énergie, ou bien encore des télécommunications.
    L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ». Pour attribuer les marchés publics, les pouvoirs adjudicateurs se fondent désormais uniquement sur l’offre économiquement la plus avantageuse, c’est-à-dire la moins chère. La qualité ? Ils s’en moquent. Le patriotisme économique ? Ils s’en moquent encore plus. Les normes sociales et environnementales ? Elles sont purement et simplement oubliées.

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  • «Occitanisme et réalité» Interview de Martial Roudier

    Martial Roudier, vous étiez présent dans le cortège de la manifestation occitaniste du 24 octobre à Montpellier, que faut-il en retenir une fois les clameurs retombées?

    Cette manifestation « pour la langue occitane » s’inscrivait dans un cadre plus global de revendications linguistiques des différents peuples minorisés de France. Ces manifestations ont lieu de façon régulière sur notre territoire puisque la question linguistique en France est dans une impasse depuis de (trop) nombreuses années. Ainsi la dernière manifestation de Toulouse en 2012 avait réuni aux alentours de 30 000 participants.

    Ceux qui ont arpenté les rues de Montpellier samedi dernier n’ont pu que constater la maigreur des effectifs rassemblés. Les organisateurs attendaient les 30 000 participants de la session précédente mais hélas ce fut moins de la moitié, voire beaucoup moins, qui a défilé. Sans entrer dans la guéguerre des chiffres -4000 selon la police/15000 selon les organisateurs-, le Midi Libre, plutôt favorable à la manifestation, annonce 6 000 participants… Même si on atteint les 10 000 participants, la mobilisation peut être qualifiée de médiocre. Pas uniquement numériquement parlant, mais symboliquement. Il faut remettre en contexte ces manifestations linguistico-revendicatives dans un cadre international et plus précisément dans le cadre européen qui réunit des composantes socio-économiques similaires. Prenons exemple, et c’est l’objectif que devraient se fixer les fameux « occitanistes » les soi-disant défenseurs de l’identité occitane, prenons exemple donc sur ces deux petits peuples (numériquement parlant) que sont le peuple écossais et notre voisin, notre cousin le peuple catalan. 5 millions et 7 millions et demi de personnes qui poussent le processus d’auto-détermination depuis de longues années. Avec le succès heureux que nous connaissons… Contrairement à nous il faut oser le dire.

    N’avez-vous pas l’impression qu’au-delà de la défense de la langue, les organisateurs et le « premier cercle » mettent plus en avant des revendications corporatistes que franchement identitaires.

    Le terme de « corporatisme » est parfaitement choisi. Les revendications confèrent souvent à une schizophrénie politique et entretiennent en tous cas la confusion chez les identitaires de cœur. Prenons comme exemple la défiance, voire le rejet de tout ce qui touche à l’idée de Nation et aux frontières qui lui sont consubstantielles. La problématique de base réside dans la définition même de ce qu’être occitan signifie. Dès lors que vous rejetez d’emblée les notions d’identité, de peuple, de nation, d’histoire même -thèmes dont se défient les « occitanistes »-, sur quel socle va s’appuyer votre combat ?

    Ainsi les revendications portées par les manifestations occitanistes tournent toutes autour de négociations avec l’éducation nationale. Comme si grapillerquelques places de prof à l’IUFM allaient générer des locuteurs injustement privés de leur langue? Il est de coutume également d’entendre lors de certaines festivités à coloration occitane, festivités qui ressemblent à s’y méprendre à la fête de l’Huma, que l’occitanité est un choix. Comme argument plus inorganique, il n’y a pas mieux. Il est vrai qu’en tant que défenseur chez soi d’une culture minorisée, une certaine attirance vers des modes de vie alternatifs est absolument naturelle : le bio (le vrai, pas le commercial), les modes de vie en sociétés parallèles, les médecines alternatives, les quêtes spirituelles, la remise en question permanente des modes de consommation et j’en passe; mais il n’empêche qu’être d’un peuple c’est avant tout un héritage multi séculaire qui s’est forgé dans la terre et dans le sang. Le reste, à de très rares exceptions près, n’est que délire de consommateur de chanvre.

    Sur une banderole d’un groupe d’étudiants de l’Université Paul Valéry, on pouvait lire : «  Pas de frontièras, pas de nacions, pas de discriminacions » au-delà de la provocation de potache, sur quoi repose alors la revendication occitaniste ?

    Tout simplement sur le fait de parler ou non la langue d’oc ou à la rigueur, l’une de ses variantes (gasconne, provençale…) Ce dernier point ne faisant pas l’unanimité à cause du jacobinisme languedocien de l’IEO et des structures affiliées. La question de l’usage de la langue est une bonne chose en soi mais le problème réside dans le fait que ce concept est malheureusement périmé. Lorsque tout le peuple résidant dans les pays d’Oc est « occitanophone », la langue est d’évidence le premier paramètre qui définit ce peuple mais lorsque ce même peuple est privé d’expression par le biais de réformes successives et d’une éducation nationale qui n’est pas de la même langue, cette dernière devient une exception. Mais le peuple lui, est toujours présent sur son sol! Il faut apporter un bémol à ce postulat et parler également du problème de l’immigration. Encore un énorme tabou chez les dirigeants du mouvement occitan. L’immigration, quand elle revêt des proportions démesurées, déstructure les fondements d’un peuple dans son essence même. D’un point de vue culturel, psychique, physique, la nature même des peuples peuvent changer. Rarement dans le bon sens malheureusement… Quand on parle des conséquences néfastes de l’immigration, on pense évidemment à l’immigration maghrébine mais il faut également prendre en compte l’immigration interne au territoire national français et à l’Europe. Car nous sommes devenus le coin de terre où l’on vient finir ses vieux jours au soleil, voire y toucher son RSA… tranquille pépère. Une maison de retraite doublée d’un pôle emploi!

    Vous semblez n’avoir pas une grande estime pour la méthode qui inspire les organisateurs de cette manifestation… avez-vous d’autres reproches à leur faire ?

    D’autres travers plombent la revendication occitane. Ils sont nombreux mais certains sont des freins structurels colossaux intrinsèques à l’organisation du milieu « occitaniste ». Le cursus scolaire de la maternelle à la faculté ressemble à l’usine de cadres formatés idéologiquement dont les dictatures communistes ont le secret. Tous les responsables politiques culturels et associatifs sont de gôche, d’ailleurs ils le revendiquent. Qui chez les Verts, qui chez les socialos, qui plutôt anar, telle professeure de fac carrément marxiste… N’oublions pas la collusion entre les partis de gauche nationaux et leurs homologues sudistes… Clientélisme et occitanisme font bon ménage. Et puis les cultureux doivent bien gameller eux aussi, il ne faut donc pas mordre la main qui nourrit tout ce petit monde.

    On voit le résultat sur la scène culturelle occitane: 2 pauvres groupes de musique qui se battent en duel, une quasi inexistence de production littéraire. L’absence de visibilité dans la sphère publique en est directement la conséquence. Nous assistons à une professionnalisation de la chose culturelle. Une réserve folklorique à ciel ouvert. Une mise sous perfusion bien orchestrée par Paris mais avec l’assentiment pervers d’une classe dirigeante locale. Le peuple lui, pendant ce temps là, s’acculture complètement et ne sait plus d’où il vient. Parfait petit pion mondialisé sans racines ni rêves. Car, pour citer Mistral, sans la langue, pas de clef.

    Pour remonter la pente quelle est la première mesure que doit prendre le « mouvement occitaniste » ?

    Les dirigeants du mouvement occitaniste sont issus d’une caste très fermée dont le terreau culturel politique se situe dans la pire des extrêmes gauches françaises qui se renouvelle filialement.

    Les penseurs et donc ceux qui impriment la direction du mouvement sont, pour la plupart, issus du corps professoral et par conséquent touchent leur salaire directement de l’Etat français, auxquels ils devraient en principe s’opposer. On assiste donc à un jeu de dupes où ce sont les amoureux de la culture occitane qui se retrouvent cocus. Comme un ouvrier qui délègue sa défense à un syndicat chargé de lutter à sa place contre le méchant patron. On sait très bien que les collusions syndicat/patronat sont bien rodées…

    Pour tout ceci et pour tant d’autres choses encore, il apparaît nécessaire de « décapiter » la direction du mouvement occitaniste et de la remplacer par de vrais acteurs de la vie locale, eux, sincères patriotes. Il est peut être encore temps…

    Lengadoc-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Le Renouveau Français porte plainte contre le CRIF et SOS Racisme

    Communiqué de l’organisation nationaliste :

    « L’action symbolique menée samedi 31 octobre devant le Café de Flore pour dénoncer les agissements de Bernard-Henri Lévy nous a valu de très nombreux messages de félicitations et d’encouragement. Il n’y eut que très peu de réactions hostiles, venant pour partie de l’étranger.
    Le « philosophe milliardaire » semble faire l’unanimité contre lui parmi la population.

    Comparativement à l’influence politico-médiatique de ce « faiseur de guerres », se manifeste d’autant mieux la fracture entre le « pays réel » et le « pays légal », entre l’oligarchie aux commandes et la France réelle.

    Mais voilà que plusieurs officines extrémistes de sinistre réputation (SOS Racisme, UEJF, CRIF…), ne représentant là aussi qu’elles-mêmes bien qu’elles jouissent d’une influence disproportionnée, se sont laissées aller à un déchaînement verbal grossier envers le Renouveau français.
    Jouant sur la peur, l’amalgame et la caricature, elles partent du principe que critiquer « BHL » serait en soi une monstrueuse démonstration d’antisémitisme… Une méthode malhonnête et usée qui n’impressionne plus personne.

    Le CRIF a même eu l’outrecuidance d’intimer au Ministère de l’Intérieur l’ordre « de diligenter une enquête » à notre encontre. Ce sera l’occasion de mesurer le degré de soumission des autorités politiques à des groupements d’intérêts particuliers.

    Quoiqu’il en soit, le RF entend porter plainte contre ces personnes (BHL, Dominique Sopo, etc.) et officines liberticides suite à leurs dérapages inadmissibles.

    Nous vous tiendrons informés des suites et proposons à ceux qui le désirent de nous aider dans ce combat judiciaire, en nous adressant un don (avec mention « affaire BHL »).
    Le temps de la crainte est révolu et les Français se réveillent.
    C’en est fini de la soumission ! »

    Source : Renouveau Francais

    http://www.contre-info.com/

  • Gerer l’incertitude

    Depuis quelques temps de nombreuses sources en provenance du Moyen Orient et en particulier du Liban, nous y avons des amis, nous mettent en garde… La lecture de Wiki-Leaks, par ailleurs, conforte une prise de conscience sur la stratégie de Daesh qui n’aurait qu’une seule obsession, un seul but : détruire radicalement notre chrétienté, protestants, orthodoxes et catholiques confondus et la France, « Fille Aînée de l’Eglise », en premier. Dans le même temps, la mondialisation de la finance et celle de l’économie jette de plus en plus d’individus dans les brouillards épais de l’ignorance. Serait-ce pour mieux les manipuler par une désinformation quasi permanente et si besoin est, afin de diminuer leurs facultés de réflexion, en leur vendant une nourriture préfabriquée, en sachets, d’où on éliminera les oligoéléments revendus très chers en pharmacie ?…

    La « déséducation » nationale participe à cette déstructuration cérébrale, puisqu’elle n’enseigne plus les fondamentaux : savoir lire et écrire le Français, connaître l’Histoire et la Géographie de son pays, nos racines. La seule liberté que l’on ne puisse nous arracher, jusqu’à présent, est celle de penser, de réfléchir et de dire ! A moins que l’on ne veuille transformer les jeunes générations à venir et les rendre semblables à des escargots hermaphrodites !!!

    L’étude de l’Histoire, celle de la géographie et même celles des climats, de la géologie et en général de la Nature, sont sources de merveilleux renseignements sur la diversité des peuples, car l’égalité, à ce niveau, est une utopie « rousseauiste » que la tant et si belle révolution française a tenté d’exporter par le force, bien trop souvent et ce à travers le Monde. C’est ainsi que l’on est arrivé à l’aberration du droit d’ingérence afin de protéger les peuples de leurs « mauvais » dictateurs, car pour ces révolutionnaires, idéologues de pacotille, il y a aussi de bons dictateurs avec les quels il est admis de tirer des profits économiques et financiers. C’est ainsi que l’Occident et son leader aux multiples étoiles ont déstabilisé le Moyen-Orient et la France en fit de même en lançant la « catastrophique » idée du printemps en Libye.

    Nous avons réveillé l’islam… L’islam sombre, noir comme une nuit sans étoiles, l’islam du moyen âge, l’islam de la secte des « Haschichin » ( des Assassins) et leurs héritiers les salafistes actuels… Nous sommes dans une guerre totale, guerre de religion, guerre économique, guerre de civilisation et pour l’instant nous, l’Europe, sommes les agressés, et aucune stratégie ne pointe à l’horizon, si ce n’est d’ouvrir nos frontières aux marées humaines qui s’infiltrent partout. Sur ce fantastique jeu d’échec mondial il est impératif d’analyser les forces en présence et de comprendre tous les paramètres historiques, géographiques, économiques et bien sûr humains. Sans préjugés. Si l’on ne désire pas perdre la partie, c’est à dire mourir et disparaître, il est urgent d’oublier l’utopie des Grands Principes de la révolution française, car on ne peut plus, à notre époque, bâtir une stratégie sur des idéologies dépassées. [....]

    La suite sur le blog du Comte de Paris

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Gerer-l-incertitude

  • Démographie française et inconséquence républicaine.

    La démographie est une science éminemment politique, et cela est encore démontré par le cas français, aujourd’hui évoqué par Le Parisien-Aujourd’hui, sous le titre peu rassurant « La France en panne de naissances » : « Jamais depuis 1999 on n’avait fait aussi peu de bébés les neuf premiers mois d’une année. Près de 16 000 manquent à l’appel », soit une baisse de presque 3 % par rapport à l’an dernier (environ 2,75 %), ce qui est considérable, même s’il faut être prudent sur la suite, l’année n’étant pas terminée. Mais il y a peu de chances (sauf miracle) que la tendance actuelle s’inverse, malheureusement.
    L’explication classique est d’évoquer la difficulté des temps présents, la crise et ses conséquences sur l’emploi : alors qu’il y a près de 6 millions de chômeurs, que « près d’un jeune sur quatre se retrouve au chômage, quand même le diplôme commence à ne plus être un sésame pour décrocher un emploi », comme le souligne l’économiste interrogé par le quotidien, « les familles s’interrogent ». Pourtant, la crise ne date pas d’hier, et, jusque là, cela n’avait pas empêché la démographie française de rester l’une des plus dynamiques d’Europe, atteignant, il y a quelques années, un taux de fécondité de plus de 2 enfants par femme en âge de procréer…
    En fait, au-delà des explications économiques ou sociologiques (qui ne sont pas inintéressantes mais qui ne sont pas les plus déterminantes), c’est bien l’explication politique qui est, en ce domaine, la plus crédible et la plus importante. Le Parisien-Aujourd’hui évoque « les errances des politiques familiales conduites depuis 2011 » : or, « ce qui semble compter (…), c’est davantage la stabilité de la politique familiale que sa générosité. En France, depuis la guerre, cette politique a été sanctuarisée par tous les gouvernements de droite et de gauche. Jusqu’à récemment. » En fait, depuis quelques années, la République, soucieuse de faire des économies « faciles », n’a pas hésité à remettre en cause cette stabilité jusque là « heureuse », même s’il était encore possible d’améliorer la politique de protection familiale, en particulier en renforçant les capacités d’accueil des nourrissons et des enfants en bas âge, mais aussi en instituant (ce que les gouvernements successifs n’ont pas osé, pour des raisons parfois plus idéologiques que logiques…) le « salaire maternel », que je préfère appeler, au regard des nouvelles réalités sociologiques françaises, le « salaire familial ».
    Dans cette remise en cause de la politique familiale traditionnelle, droite et gauche sont également coupables, et M. Fillon tout autant que MM. Ayrault et Valls : quand le premier ministre de Nicolas Sarkozy, en faisant sa réforme des retraites en 2010, supprimait cette possibilité pour les fonctionnaires mères de trois enfants de partir à tout âge après quinze ans de bons et loyaux services, il cédait aux injonctions de l’Union européenne qui y voyait une discrimination envers les pères, la Commission de Bruxelles oubliant dans sa folie égalitaire que, jusqu’à preuve du contraire, ce sont bien les femmes, et elles seules, qui peuvent enfanter et y sacrifient, au-delà même de l’accouchement et pour les jeunes années de leur progéniture, de nombreuses années et de précieuses (et heureuses tout autant que bienveillantes…) énergies. J’avais, à l’époque, signalé à mes collègues et à mes élèves, que cette mesure apparemment anodine, ouvrait la porte à une déconstruction de la politique familiale et à des conséquences négatives sur la démographie de notre pays car elle envoyait un mauvais signal aux femmes (mais aussi à toute la société) qui n’avaient plus cette reconnaissance de leur statut particulier quand elles étaient mères de famille dite nombreuse. 
    La gauche, en remettant en cause l’universalité de la solidarité publique par la baisse des allocations familiales versées aux familles dites aisées (mesure entrée en vigueur cette année), mais aussi et surtout par la réforme du congé parental qui, en définitive, a fait des économies sur le dos des familles (environ 860 millions d’euros, dit-on, pour l’ensemble des mesures) et particulièrement des mères elles-mêmes, obligées de « donner » une part de leur temps de congé à leur conjoint pour des motifs qui se veulent, là encore, d’égalité…
    En tout cas, les (mauvais) résultats sont là et certains s’inquiètent de la fin d’un « miracle démographique français » qui risque d’avoir des conséquences sur le système même des retraites par répartition : moins d’enfants à naître c’est des retraites plus difficiles à financer, en définitive… Là encore, la France risque de payer d’un prix lourd l’inconséquence d’une République qui navigue à vue et ne sait ni prévoir ni préparer « l’avenir que tout esprit bien né souhaite à sa patrie », selon la fameuse formule du maître de Martigues…

    http://nouvelle-chouannerie.com/

     

  • Adieu, Wallerand !

    Wallerand de Saint-Just traite, dans Libération, les manifestants LMPT de mondains. S’il voulait gagner leur voix, l’affaire est mal partie !

    Voir en ce mouvement, en ces Français, cathos pour l’essentiel, fondateurs de maints groupes militants sous de nouvelles formes, voir en cette prise de conscience, chez les manifestants, de leur existence comme corps social aux idées partagées par des millions de compatriotes… Voir en tout cela une « manifestation mondaine », quelle sottise ! Nous sommes abasourdis. L’on peut, certes, regretter que les manifs n’aient pas été suivies du retrait du projet de loi, comme il en fut en 1984. De nos jours, seul un groupe anti-chrétien-primaire tient le pouvoir ; et se gausse comme de sa première chemise du destin d’un peuple et d’une nation, sauf à les anéantir. Le « non-retrait » témoigne de ce que, peut-être, seul un moyen céleste ou extraordinaire sauvera le destin de la France. Comme le disait Jeanne : « Les hommes d’armes combattent, Dieu seul donne la victoire. » Notre devoir était d’être dans la rue puisque aucun parti ne luttait véritablement contre le mariage homo. Qui plus est, Saint-Just omet de mesurer combien ces « retrouvailles » contribuèrent à décliver les frontières partisanes des gens braves, frontières électorales que d’aucuns s’ingénient à entretenir.

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  • Marine ou pas Marine ? Le débat et ouvert

    Aujourd’hui, selon les sondages, la présence de Marine Le Pen ou du Front National aux seconds tours des régionales et de la présidentielle semble acquise.  Les uns s’en réjouissent, les autres le déplorent. 

    Les médias, conformément à leur mission, informent de ces sondages et organisent des débats avec les politiques et des sociologues. 

    Cependant, très rarement, la parole est donnée aux électeurs, votants pour ce parti ou opposés à ce parti, ou ne sachant pas se positionner. Aussi, pour combler cette lacune, dans un esprit citoyen, il semble nécessaire de laisser la possibilité aux électeurs de dire publiquement s’ils votent, s’ils ne votent pas ou s’ils ne se prononcent pas pour Marine Le Pen ou le Front National. Et de leur laisser la possibilité d’expliquer, d’argumenter leur choix. Et donc aussi de tenter de convaincre d’autres électeurs.

    C’est pourquoi le site www.marineoupasmarine.com est lancé à plus d’un mois des régionales de décembre 2015.

    Il est particulièrement simple d’utilisation : il y a trois colonnes. Première colonne « Marine » ; seconde colonne « NSP » ; troisième colonne « pas Marine ». Un compteur indique dans chaque colonne le pourcentage des parus dans cette colonne.

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    Michel Janva

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