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France et politique française - Page 3448

  • Hollande vice-chancelier ? un bon toutou prêt à défendre sa patronne, plutôt !

    Marine Le Pen qualifiait François Hollande au parlement européen de « vice-chancelier de la province France », c’était lui faire encore beaucoup d’honneur. Écoutez cette interview donnée en marge du dernier sommet européen, elle vaut le détour. Notre « président » n’a de mots que pour l’Allemagne, que pour ses intérêts, en bon serviteur docile.

    Certes, la construction européenne suppose des solidarités entre pays, mains le niveau de soumission de Hollande à Merkel que révèle cette interview est sidérant. Le « président » de la France se présente comme le VRP des intérêts allemands et n’a pas un mot pour ceux de son pays. Il déclare :

    Oui, il s’agit maintenant de faire sen sorte que l’Allemagne, puisse, avec d’autres pays, être sûre que nous pourrons contrôler les frontières extérieures […] pour éviter qu’il y ait de nouveaux accueils de populations, car l’Allemagne ne pourra le supporter et nous devons le comprendre.

  • Refaire la démocratie

    Article paru dans L’Action Française n°2918 du 15 octobre 2015

    Claude Bartolone vient de faire paraître un rapport sur la réforme des institutions. Il est très content de lui. On se demande pourquoi.

     

    C’est un rapport de neuf cent soixante pages, intitulé Refaire la démocratie (comme on “fait France”), et ce n’est que le tome I. Bientôt le tome II, comme l’affirme le site de l’Assemblée nationale, s’essayant avec délices au suspense. Bartolone est, selon le rapport, un héros de la démocratie contemporaine : « Il s’agit de la première mission de réflexion sur les institutions d’importance qui n’a pas été réunie par un président de la République mais par le Parlement lui-même. Cette genèse a permis au groupe de travail d’organiser ses travaux avec une grande liberté et de produire une réflexion originale dans l’histoire de la Ve République. » Le travail a été acharné : « Au cours de ces dix mois de travaux, le groupe de travail a organisé dix-sept réunions et entendu trente et une personnes. » Total respect.

    À qui la faute ?

    On est presque dans la précipitation, mais c’était par volonté de bien faire. Car pourquoi vouloir réformer les institutions ? « Nos compatriotes, à l’aube de ce nouveau siècle, pour l’écrasante majorité d’entre eux, ne partagent nullement » le sentiment que leur « volonté politique est pleinement représentée et que cette volonté soit en mesure d’agir sur l’avenir collectif de la nation » À qui la faute ? Aux élus irresponsables (Cahuzac, par exemple), à la disparition de la responsabilité politique (que Sarkozy appelait de ses vœux, mais qui a disparu de sa réforme constitutionnelle), aux médias hystériques (« l’hystérisation du débat public par certains médias au détriment de l’information ») ; mais aussi, tout simplement, parce que le monde a changé : Europe politique, immédiateté numérique, la société de 2015 n’est plus celle de De Gaulle. Et dans ce nouveau monde, il faut une nouvelle république.

    La République est malade

    On peut douter que la France ait réellement besoin d’une VIe République après les cinq premières, mais les constats et certaines solutions sont intéressants si on en fait la mesure de la faillite actuelle de Hollande, de ses gouvernements, de son administration et des partis : le malade s’est diagnostiqué lui-même. Inflation législative, règles obscures, émergence d’une classe politique déconnectée des réalités, tout y passe – et les propositions abondent. Par exemple, contre la professionnalisation de la vie politique, exiger le non-cumul des mandats (mais le rapport préconise de les limiter à trois…) et introduire de la proportionnelle aux élections législatives (pas avant 2017) ; réinventer, une fois de plus, le référendum, auquel aucun grand parti n’a cependant jamais eu recours [....]

    Pour lire la suite, achetez le numéro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Refaire-la-democratie-article-paru

  • LMPT, un mouvement agressif selon NKM

    NKM est interrogée dans Grazia :

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    Michel Janva

  • Islamisation de la France : Corans et tapis de prière dans le sport amateur

    La note confidentielle du service central du renseignement territorial (SRCT) intitulée « Le sport amateur vecteur de communautarisme et de radicalité » a donc pointé les dérives prosélytes de responsables musulmans dans des clubs sportifs en France.

    Ce rapport évoque notamment une scène survenue sur un terrain de foot au mois de mai. À la mi-temps d’un match, les joueurs d’une équipe de foot de Perpignan sortent des tapis pour prier, sur le pré, sous les regards stupéfaits d’un arbitre et des quelques spectateurs. Dans ce club franco-algérien de Clermont-Ferrand, l’on ne parle qu’arabe et les arbitres sont volontiers taxés de racisme. Par ailleurs, il n’est pas rare de voir certains installer des tapis de prière dans les vestiaires. Les clubs de foot et les salles de sports de combat seraient les premiers concernés.

    Pour rappel, en 2013 déjà, Le Progrès revenait sur un tournoi amical de football organisé à Roanne et qui, lors d’une pause entre les rencontres, avait vu un individu lancer un appel à la prière. Entre 20 et 50 fidèles auraient alors gagné le terrain de football pour prier pendant dix minutes…

    Le rapport parle d’une vingtaine de cas recensés, mais la réalité est certainement plus préoccupante.

    Enfin, il faut noter le choix des mots employés. On entend parler de « radicalisation » alors qu’il s’agirait surtout de s’inquiéter du processus d’islamisation en cours. Dès 2011, le rapport « Banlieues de la République » publié par l’Institut Montaigne et dirigé par Gilles Kepel soulignait l’influence croissante de l’islam dans les cités.

    Le rapport semble dénoncer des cas isolés alors que nous devons faire face à un processus global qui menace l’intégrité de la France.

    http://fr.novopress.info/193702/islamisation-france-corans-tapis-priere-sport-amateur/

  • Quelles places pour le PCD et Sens Commun sur les listes LR ?

    RJean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien démocrate, est "extrêmement agacé par la composition des listes" du parti Les Républicains aux élections régionales. Au point qu'il est "prêt à remettre en cause la participation" de son parti à ces listes.

    "Je suis mécontent et très agacé par la composition des listeset de la place accordée "au MoDem et à certains centristes de l'UDI", à qui l'on fait "des ponts d'or". Il fait notamment allusion aux listes des pays-de-la-Loire et à celle du Rhône-Alpes-Auvergne.

    Et à côté de cela, les militants de Sens Commun sont-ils en position éligible ?...

    Michel Janva

  • C’est dans « Éléments » : le coming out de Michel Onfray et les quatre vérités de Patrick Buisson

    Le moins qu’on puisse prétendre, c’est que pour sa nouvelle formule, le magazine Éléments, fondé il y a plus de quarante ans par Alain de Benoist, a fait fort tout en caguant un brin dans le ventilo.

    Ainsi, Michel Onfray, Normand encore plus têtu qu’un Breton, à force qu’on lui reproche de préférer « une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de BHL », pose crânement en couverture de la chose en question. Et livre un long entretien qui ne fait pas précisément dans la dentelle, titré « Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ». Un exemple au hasard ? « Populiste ? Je préfère à libéral, capitaliste, bourgeois, mitterrandien, social-démocrate, social-libéral. Sollers a cru un jour me blesser en disant que j’étais un “tribun de la plèbe”. Il ne pouvait me faire plus grand honneur ! »

    Voilà qui donne l’ambiance, virile et velue : « Ma gauche populaire est girondine, communaliste, libertaire, proudhonienne, autogestionnaire. Que la gauche institutionnelle, de Hollande à Mélenchon, de Libération à Mediapart, ne m’aime pas et me calomnie est plutôt une bonne nouvelle. Le contraire m’inquiéterait. » Voilà un viatique qu’on se plairait à signer…

    Lire la suite

  • C’est dans « Éléments » : le coming out de Michel Onfray et les quatre vérités de Patrick Buisson

    Le moins qu’on puisse prétendre, c’est que pour sa nouvelle formule, le magazine Éléments, fondé il y a plus de quarante ans par Alain de Benoist, a fait fort tout en caguant un brin dans le ventilo.

    Ainsi, Michel Onfray, Normand encore plus têtu qu’un Breton, à force qu’on lui reproche de préférer « une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de BHL », pose crânement en couverture de la chose en question. Et livre un long entretien qui ne fait pas précisément dans la dentelle, titré « Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ». Un exemple au hasard ? « Populiste ? Je préfère à libéral, capitaliste, bourgeois, mitterrandien, social-démocrate, social-libéral. Sollers a cru un jour me blesser en disant que j’étais un “tribun de la plèbe”. Il ne pouvait me faire plus grand honneur ! »

    Voilà qui donne l’ambiance, virile et velue : « Ma gauche populaire est girondine, communaliste, libertaire, proudhonienne, autogestionnaire. Que la gauche institutionnelle, de Hollande à Mélenchon, de Libération à Mediapart, ne m’aime pas et me calomnie est plutôt une bonne nouvelle. Le contraire m’inquiéterait. » Voilà un viatique qu’on se plairait à signer…

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