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France et politique française - Page 3447

  • [Vidéo] Mémoricide : comment la République veut effacer la trace de ses génocides

    Comment faire disparaître l’histoire et le passé local d’un village ou d’une région en incitant des maires à changer le nom de leur commune ? Le 11 février dernier, une proposition de loi pour « l’amélioration du régime de la commune nouvelle » était adoptée à une large majorité par les députés français. La loi a reçu le plein accord du Sénat quelques semaines plus tard.

     

    La vidéo ici

    Cette loi qui comporte des dispositions financières incitatives – regroupement de communes contre argent – ne serait-elle pas un écran de fumée visant à masquer le véritable objectif de l’Etat ? Faire disparaître les communes … et leurs passés.

    La Chapelle-Basse-Mer et les communes « nouvelles »

    On le sait, les dotations financières accordées aux communes de France s’effondrent. Résultat, les maires en mal d’argent sont parfois prêts à toutes les concessions pour obtenir des moyens financiers supplémentaires. N’y aurait-il pas là un chantage magistralement organisé ?

    Le dernier exemple en date nous l’avons trouvé aux limites de la Vendée et de la Loire Atlantique. D’ici quelques semaines, les communes de La Chapelle-Basse-Mer et de Barbechat doivent se regrouper. On a proposé aux habitants de changer le nom de leurs communes en « Divatte sur Loire ». Or, la commune de La Chapelle-Basse-Mer porte ce nom depuis des décennies et fut, durant la Révolution française, le théâtre de massacres perpétrés par les soldats de la République.

    Du génocide au « mémoricide » programmé

    En 1794, 800 personnes, hommes, femmes, enfants, vieillards furent assassinés par les républicains. Les habitants, par le biais d’une pétition réunissant plus d’un millier de signatures, refusent le changement de nom de leur commune estimant que l’Etat veut effacer son passé, comme Reynald Secher l’a bien montré dans ses ouvrages et en particulier dans « Vendée : du génocide au mémoricide ». La France organise un révisionnisme légal.

    Reportage en Loire Atlantique d’Armel Joubert des Ouches

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Video-Memoricide-comment-la

  • La dérive gauchère de la liste de Bruno Retailleau

    Charles-Henri Jamin, élu d’opposition au Conseil municipal de Saumur et candidat du Parti Chrétien démocrate pour le Maine-et-Loire, dénonce :

    Unknown-22« Je préfère ne pas avoir à cautionner la dérive gauchère de cette liste présentée de droite. Écarté de la liste Retailleau-Jeanneteau, je suis stupéfait que les engagements initiaux n’aient pas été tenus. Ils étaient à ce point fermes et définitifs que j’ai largement contribué depuis plusieurs mois à faciliter la prise de contact entre les têtes de liste et le Saumurois. Et leur permettre d’obtenir ici une notoriété et une connaissance affinée de notre territoire qu’ils n’avaient pas ».

    « Mais dans les conditions de ce qui est devenu sous la pression, un rassemblement cacophonique, je préfère ne pas avoir à cautionner, comme élu saumurois d’opposition à une majorité de gauche et comme représentant du Parti Chrétien Démocrate, la dérive gauchère de cette liste de confusion plus que d’union. Ce qu’atteste la présence disproportionnée et choquante d’un Modem, qui s’est vu offrir au plan régional six places, dont trois éligibles. Ce même Modem, dont les français n’ont pas oublié qu’il a volontairement favorisé l’arrivée de la gauche au pouvoir en 2012 ».

    « Quand les élites partisanes entendront-elles les Français du terrain qui ne cessent de dire qu’ils rejettent ces combines destructrices ? Quand écouteront-ils les électeurs attachés aux valeurs d’une droite encore ancrée sur ses convictions, mais refusant tout autant le miroir aux alouettes sans avenir du Front national ? Si gagner les Régions est un passage obligatoire pour regagner la Présidentielle, exclure de cette conquête ceux qui sont le plus en adéquation avec une droite de conviction risque de coûter cher à la France. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les socialistes tueraient père et mère pour éliminer le FN : la preuve

    Quand on me l’a racontée, j’ai cru à une blague et pourtant cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai. Elle illustre parfaitement la rage anti-FN des parlementaires PS et ex-UMP, une rage qui les a conduits à prendre une décision ahurissante que les Français doivent absolument connaître. La scène se déroule au Parlement de Strasbourg au début du mois.

    Quelques semaines auparavant, le 10 septembre, une cour de justice américaine saisie par plusieurs associations écologistes avait interdit l’utilisation du Sulfoxaflor, un pesticide produit par Dow AgroSciences (groupe Dow Chemical), au motif qu’il était aussi un redoutable tueur d’abeilles. Dans son arrêt, la cour avait d’ailleurs cru bon de rappeler que les plantes pollinisées par les abeilles représentaient environ le quart de toute la nourriture consommée aux États-Unis. Alertée, madame Sylvie Goddyn, député européen du Front national, engageait aussitôt une procédure d’urgence pour faire obstacle à ce produit qui venait juste d’être autorisé par la Commission européenne, suite à une intense pression des lobbies de l’agrochimie.

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  • Manifestation des policiers sous les fenêtres de Christiane Taubira

    Reportage à Paris Armel Joubert des Ouches pour Réinformation.tv

    Manifestation des policiers sous les fenêtres de Taubira from Reinformation.tvon Vimeo.

    Michel Janva

  • Onfray dans Éléments, panique à «gauche» !

    Pagination augmentée de 50%, nouvelle maquette tout en couleurs, tout le monde ne parle que d’Éléments, l’excellente revue d’idées et de débats, qui a fêté récemment ses 40 ans. Ah, on me dit dans l’oreillette que les commentateurs ne l’ont pas lue et critiquent simplement la présence de Michel Onfray dans le magazine d’Alain de Benoist.

    Nouvelle chasse aux sorcières en cours : Michel Onfray persiste et signe à préférer s’entretenir avec des gens intelligents qui ne sont pas de gauche plutôt qu’avec des crétins politiquement corrects. Le philosophe fait en effet la couverture du dernier numéro d’Éléments, la revue des idées dirigée par Alain de Benoist. Aussitôt la foule des petits censeurs de s’émouvoir, de s’indigner, de vitupérer… oui décidément, Onfray, qui clame partout être de gauche n’est en fait qu’un vil fasciste, un suppôt de l’extrême-droite, un social-traitre, une vipère lubrique, un tigre de papier, un agent double au service de Marine Le Pen, des zeureleplusombres et des idées rances et nauséabondes…

    C’est évidemment bien plus simple que d’ouvrir cette revue écrit petit et serré, avec assez peu d’images (nous n’avons pas encore reçu notre exemplaire pour juger de la nouvelle maquette…) et qui prétend traiter les sujets au fond plutôt que de s’attacher à l’écume des choses, aux étiquettes et aux convenances « intellectuelles » des rédactions parisiennes et états-majors de partis politiciens.
    Alain de Benoist ayant été l’un des fondateurs du mouvement intellectuel de la « nouvelle droite », il est catalogué ad vitam aeternam dans le camp du mal, essentiellement par des gens qui n’ont jamais lu une ligne de lui. Qu’il s’attache à la poursuite de la vérité où qu’elle se trouve, ne s’intéressant en rien aux petites étiquettes qui servent de bréviaire aux « intellectuels » de plateau télé ne fait rien à l’affaire. Nos belles âmes seraient par exemple édifiées du nombre de référence à Marx et à des auteurs marxistes que l’on trouve dans cette revue « d’extrême-droite ».

    Tout cela pour dire que, personnellement, j’attends avec impatience le facteur pour ouvrir mon exemplaire d’Éléments et y découvrir le dossier sur la droite et le poison libéral et – entre autres — les propos de Michel Onfray, avec qui je ne suis pas forcément d’accord, mais dont j’apprécie l’honnêteté intellectuelle, le genre d’attitude subversive qui a tôt fait de vous classer parmi les infréquentables, n’est-ce pas Michel ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/

  • Bulletin économique du Front National avec B. Monot et J-Y. Narquin - 12/10/15 au 16/10/15

  • Elections régionales. Le FN veut créer la surprise en Normandie

    En Normandie, Nicolas Bay est le premier candidat aux élections régionales à présenter ses listes complètes. C’était samedi au Havre, en présence de plus de 80 des candidats.

    L'ambition : arriver en tête

    « Les jeux sont très ouverts, analyse Nicolas Bay, le candidat du Front national aux régionales en Normandie. Le FN est arrivé en tête aux européennes en 2014, en tête au premier tour des départementales en mars. Nous pensons arriver en tête au premier tour des régionales, le 6 décembre. Si c’est le cas, nous pouvons transformer l’essai le 13 décembre. »

    La Normandie ne devrait pas basculer en faveur du FN. Mais le parti jouera à n’en pas douter les trouble-fête.

    Le parti se structure

    D’abord parce qu’en région, le Front national se structure. Nicolas Bay, 37 ans, secrétaire général du parti, président du groupe au conseil régional de Haute-Normandie, est le premier candidat à avoir bouclé ses listes départementales. Il a présenté ses listes complètes hier, au Havre : 112 hommes et femmes dans les cinq départements (pour 102 sièges à pourvoir) avec une moyenne d’âge de 50,1 ans. Plus de 80 étaient présents, au Havre.

    Déjà des mandats locaux

    La plupart de ces candidats a déjà défendu les couleurs du parti, notamment aux élections départementales de mars, avec un FN présent dans tous les cantons. Près de la moitié de ces candidats exerce un mandat local. Deux sont conseillers régionaux sortants (le FN comptait six élus en Haute-Normandie, aucun en Basse-Normandie). « Cela n’a pas toujours été le cas, admet Nicolas Bay. Mais nous présentons aujourd’hui des candidats bien implantés partout en Normandie, des candidats qui ont acquis leur légitimité. »

    Le contexte national

    Au-delà de la Normandie, il y a la tendance nationale, très favorable à l’extrême droite : la semaine passée, un sondage publié par le Journal du dimanche révélait qu’un Français sur trois serait prêt à voter Marine le Pen en 2017. Nicolas Bay sait qu’il a moins besoin de terrain que les candidats de la gauche et de la droite. « Il suffit de regarder froidement les choses, la situation de politique générale, en France comme en Normandie, nous donne une vraie crédibilité. » Retrouvez le détail des listes départementales dans les éditions Ouest-France de lundi.

    Stéphanie Séjourné

    source : ouest-france :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuuVEVyEFZGMkXEMiw.shtml

  • Qui a dit...?

    Qui a dit les mots ci-dessous ?

    "Moi, ce qui me panique c'est de passer 30 ans, 40 ans, 50 ans de ma vie dans des fonctions électives. Je vois, je ne veux critiquer personne mais, un certain nombre d'élus qui à 75 ans, 80 ans ont du mal à décrocher. Alors ça, c'est ma terreur absolue, je ne vous le cache pas."

    Celui qui les a dits, ces mots, c'et lui, en 1989 :

    Sans-titreLa preuve :

    Et ce qui nous panique, nous, les Français lambda, c'est que cela fait 39 ans qu'il collectionne les fonctions électives comme d'autres les timbres poste, et qu'il envisage sérieusement d'aller user le fauteuil présidentiel à partir de 2017. C'est notre terreur absolue, ça, nous ne le lui cacherons pas.

    Marie Bethanie

  • RSA : quand "la politique sociale de la France n'est plus financée"

    Les départements n'arrivent plus à équilibrer leur budget à cause de l'explosion de l'ex-RMI. Ils réclament une recentralisation de l'aide sociale.

    « Aujourd'hui, la politique sociale de la France n'est plus financée. » L'affirmation de l'Association des départements de France (ADF), vendredi dans un communiqué, fait froid dans le dos. Mais elle n'est pas totalement infondée.

    Lorsqu'il a transféré le RSA aux départements en 2004, pour gérer les programmes d'insertion des bénéficiaires au plus près des réalités de terrain, l'État leur a alloué parallèlement une fraction de la taxe intérieure sur les produits pétroliers. Une recette a priori dynamique. De 2004 à 2008, le taux de couverture des dépenses du RSA par cette recette (et par le modeste Fonds de mobilisation départementale pour l'insertion) a augmenté de 92,2 % à 95,2 %, selon les chiffres de l'Observatoire national de l'action sociale. Mais il s'est ensuite effondré à 71,3 % en 2013, avec la crise et l'explosion de bénéficiaires du RSA que cette dernière a entraînée. Depuis, la situation continue de se dégrader. Selon le dernier rapport de la Cour des comptes sur les finances publiques locales publié mardi, les dépenses de RSA ont encore explosé de 9,2 % l'année dernière !

    Des augmentations de RSA pas totalement financées

    La crise n'est pas la seule responsable de cette situation devenue intenable. L'État a encore aggravé le problème lorsqu'il a décidé, avec les meilleures intentions du monde, de revaloriser le RSA de 10 % au-dessus de l'inflation en cinq ans, de 2013 à 2017, dans le cadre de son plan de lutte contre la pauvreté.

    Conscient qu'une telle largesse avec l'argent des autres allait faire passer les départements dans le rouge, l'État a en partie financé cet effort par anticipation du coût total de la mesure dès 2014. Il l'a fait grâce au transfert aux départements des frais de gestion qu'il facturait sur la gestion de la taxe foncière sur les propriétés bâties, soit 800 millions d'euros. Il a aussi autorisé les départements à augmenter leurs droits de mutation à titre onéreux (une partie des fameux « frais de notaire ») de 3,8 à 4,5 %. Il a enfin créé un fonds de solidarité entre les départements. Autant de mesures qui doivent permettre de récolter, au total, près d'un milliard d'euros, d'ici fin 2016, selon le chiffrage d'un responsable administratif. Mais cela ne suffit pas. Car la revalorisation de 2 % par an devrait coûter, de l'aveu même de l'administration, environ 250 millions d'euros par an aux départements, soit 1,25 milliard à terme.

    En septembre, le président du Conseil national d'évaluations des normes (Cnen), Alain Lambert, s'était d'ailleurs ému du fait que la dernière revalorisation de 2 % au-dessus de l'inflation du RSA, intervenue en septembre, n'ait pas été prise en charge par l'État. Le président du conseil général de l'Orne (UDI) avait ironisé sur la « générosité » de l'État qui « autorise les départements à lever de l'argent sur les contribuables » en guise de financement.

    Une baisse douloureuse des dotations

    D'autant qu'au même moment, il impose aux départements une baisse de la dotation globale de fonctionnement (DGF) qu'il leur alloue chaque année (3,49 milliards en 3 ans). Si cette cure de rigueur est sans doute supportable pour les plus riches d'entre eux, elle s'avère difficilement absorbable pour ceux dont les réserves financières sont déjà affaiblies, souvent parce qu'ils font face à un nombre important d'allocataires (du RSA, mais aussi des autres aides sociales, comme l'allocation personnalisée d'autonomie, et la prestation de compensation du handicap…).

    « D'ici 2017, à législation constante, de nombreux départements pourraient être dans l'incapacité d'équilibrer leur budget. En effet, la baisse de la DGF devrait représenter environ 6 % de leurs recettes réelles de fonctionnement entre 2015 et 2017 », s'alarme la Cour des comptes. La Guyane, la Creuse, le Gard, la Martinique, le Nord ou encore le Pas-de-Calais, La Réunion, la Seine-Saint-Denis et l'Yonne n'auraient ainsi pas assez d'excédents pour couvrir la baisse à venir de la DGF, alors qu'ils sont « déjà très fragilisés par le fort dynamisme de leurs dépenses sociales », et « exposés à la volatilité de leurs produits fiscaux (cotisation sur la valeur ajoutée, droits de mutation à titre onéreux) », explique la Cour. L'Association des départements de France (ADF) et le gouvernement chiffrent même le nombre de départements en difficulté pour boucler leur budget 2016 à une quarantaine !

    Une aide d'urgence encore non chiffrée

    Jeudi, la ministre de la Fonction publique et de la Décentralisation a donc promis une aide financière pour les collectivités les plus fragilisées, mais sans en chiffrer le montant. Marylise Lebranchu a d'ailleurs conditionné cette aide aux efforts de gestion entrepris jusqu'à présent par les départements pour contenir leurs dépenses.

    Une solution d'urgence qui ne réglera pas le problème. L'ADF réclame d'ores et déjà la recentralisation de la gestion du RSA au niveau national. Une hypothèse à laquelle l'État ne ferme pas la porte, même s'il prévient que cela doit s'accompagner d'une recentralisation d'une recette correspondante. Sauf que les départements, eux, veulent conserver des recettes propres « dynamiques »...

    Marc Vignaud

    source : Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuVEuAFEVaJhcxCbZ.shtml