
C’est officiel ! Un nouveau groupe scolaire, baptisé Samuel-Paty, va sortir de terre à Perpignan. Le maire (RN) Louis Aliot l’a confirmé ce lundi 4 septembre 2023, jour de rentrée pour près de 12 000 petits Perpignanais. (…)
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C’est officiel ! Un nouveau groupe scolaire, baptisé Samuel-Paty, va sortir de terre à Perpignan. Le maire (RN) Louis Aliot l’a confirmé ce lundi 4 septembre 2023, jour de rentrée pour près de 12 000 petits Perpignanais. (…)
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Ce voleur n’est pas vraiment doué pour choisir ses cibles. Aboubacar, âgé de 20 ans, a été interpellé lundi soir dans le métro parisien, après avoir dérobé la chaîne en or d’un policier en service, chargé de lutter contre la délinquance dans les transports. (…)
Jacques-Olivier Martin
L’inaction et les mauvais politiques sont un poison redoutable. Et voilà que l’on découvre politiques sont un poison redoutable. Les premiers symptômes sont très longs à se manifester. Mais, lorsqu’ils deviennent visibles, la dégradation s’accélère. Difficile alors, pour ne pas dire impossible, de faire machine arrière. Il en est ainsi du recours à la dette publique. Au début (il y a cinquante ans), quelques milliards d’euros, puis 100, 1 000 et plus de 3 000 milliards aujourd’hui. Toujours plus d’intérêts, de prélèvements, de promesses non tenues de baisse de l’endettement...
Dans son livre “Omerta dans l’Education nationale”, à paraître le 7 septembre, l’ex-principal de collège Patrice Romain lève le voile sur les raisons du mal-être de bon nombre de chefs d’établissement.
On parle beaucoup du devoir de réserve des chefs d’établissement. C’est de cela qu’il est question ?
Disons que ce sont les chefs d’établissement qui ont tendance à s’imposer eux-mêmes ce devoir de réserve et à s’autocensurer. Car, si vous osez dénoncer des dysfonctionnements, votre carrière est fichue. C’est le fameux “pas de vagues” dont on parle tant. Si un professeur a un élève infernal dans sa classe, le signale à son principal et que ce dernier procède à une sanction, ce sera forcément consigné quelque part. Un très mauvais point pour la direction puisque, officiellement, un établissement qui fonctionne bien est un établissement où tout va bien. Il arrive donc que certains perdirs exercent une forme de pression sur les membres de l’équipe pédagogique : “Mais comment se fait-il que ce soit compliqué avec cet élève, alors qu’avec les autres enseignants tout va bien ?”
Les écoliers de France rentrent ce lundi et demain mardi, après le retour des professeurs dès vendredi dernier dans la plupart des cas. Un nouveau ministre, aux ambitions politiques plus ostentatoires que le précédent, préside (mais est-ce le terme exact dans une République si « présidentielle » ?) aux destinées de l’Éducation nationale, et ses annonces tonitruantes et martiales, populaires dans le pays, laissent néanmoins sceptiques les enseignants. Sans doute parce que le ministre, tout à ses occupations de communication, n’évoque guère ce qui, aujourd’hui, peut être considéré comme des plus inquiétants : le déclin des connaissances générales des élèves ; leur difficulté à se concentrer et à travailler, réfléchir, écrire sur le long terme ; la concurrence des modes alternatifs de socialisation, d’éducation et d’instruction via les réseaux sociaux… La matière grise est l’une des principales richesses de notre nation et elle semble se dessécher dangereusement depuis quelques décennies, plus rapidement que nos nappes phréatiques pourtant déjà bien mal en point : c’est cela qui devrait, d’abord, inquiéter le gouvernement, ce qui n’empêche évidemment pas d’autres motifs d’inquiétude…
Il existe plusieurs manières de mesurer le recul d'une nation. Elles se révèlent hélas largement convergentes.
Sans doute, pourra-t-on déplorer la triste déroute récente de la présence française dans plusieurs pays d'Afrique. Le monde de Tintin au Congo n'existant plus, se morfondre ne relève plus que de nostalgies elles-mêmes minoritaires.
La justice a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans l'affaire du délinquant Adama Traoré, mort en juillet 2016 à la suite de son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, selon une ordonnance des juges d'instruction.