Ce 16 mars, jour du vote final de la loi sur la retraite, promettait d'être animé. Les députés et les Français n'auront pas été déçus... Comme dans une pièce de théâtre, le gouvernement s'est fait attendre à l'Assemblée. Arrivé en retard, il a été accueilli par une bronca précédant une « Marseillaise ». Les députés de la NUPES avaient brandi des pancartes : « Démocratie, 64 ans, c’est non ! » Le Premier ministre Élisabeth Borne a été contrainte d’attendre les derniers couplets de LFI sous l’œil réprobateur du reste de l’Assemblée, communistes compris. Le chant a entrainé une suspension de séance qui n’aura pas suffi à apaiser les esprits. Élisabeth Borne est inaudible. « Démission », scande le RN, tandis que la « Marseillaise » de LFI continue.
France et politique française - Page 599
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49.3 : dans les coulisses de l’Assemblée nationale, entre violence et chaos
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Qui a peur du 49-3
La réformette qui fait paraît-il scandale, qui ne change pratiquement rien en réalité aux profondes iniquités et absurdités françaises, en matière de retraites, donc être soumise à la procédure dite de l'article 49-3. Pour la centième fois sous la Cinquième république. La Macronie prétendait vouloir y échapper. Mme Borne dans un rare morceau d'éloquence creuse et péremptoire avait martelé, le 14 mars, l'existence d'une majorité. En vain. Les bureaucraties syndicales, fortes de l'amoncellement des poubelles à Paris et dans pas mal de grandes villes se braquaient depuis des semaines. Elles prétendent que, si cette loi est ainsi adoptée elle demeurera illégitime, etc.
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Samedi 25 mars, à Paris, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, est invité à intervenir lors du Ve Congrès national du Parti de la France
Site du PdF cliquez ici
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Florian Philippot sur CNews : débat hallucinant !
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Retraites : Nicolas Dupont-Aignan dénonce la «compromission d'Eric Ciotti, Bruno Retailleau et Gerard Larcher avec Emmanuel Macron. C'est un suicide politique»
Le président de Debout la France tacle les cadres LR après leur "compromission" avec le camp d'Emmanuel Macron.
Au micro de CNews ce vendredi 17 mars, Nicolas Dupint-Aignan appelle à une "coalition patriote allant de Marine Le Pen, Debout la France, des Républicains" et refuse la "compromission à Emmanuel Macron".
«Éric Ciotti, Bruno Retailleau, Bernard Larcher se sont compromis avec Emmanuel Macron. C'est un suicide politique», Nicolas Dupont-Aignan, dans #LaMatinale pic.twitter.com/CYpyD1DNxe
— CNEWS (@CNEWS) March 17, 2023 -
Après la Bretagne et le Berry, bientôt des migrants en Auvergne-Rhône-Alpes
[Mise à jour le 16 mars à 10h15] Ce jeudi 16 mars, Christiane Touzeau, maire de Doyet, informe BV que « le projet d’installation de migrants dans l’ancien hôtel ne se fera pas ». Il ne se fera car « j’y suis opposée, j’ai vu cela avec la préfecture ».
Le tour de France continue : le nombre des villages contraints d'accueillir très prochainement des migrants ne cesse d’augmenter. Cette fois-ci, c’est en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le petit village de Doyet (Allier), que les habitants commencent à s’organiser contre la probable installation de migrants dans un ancien hôtel.
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Mulhouse : un migrant clandestin marocain, qui se faisait passer pour un mineur, condamné à 12 ans de prison pour viols et agressions sexuelles sur plusieurs jeunes femmes, dont une ado de 13 ans
Ce sans-papiers avait soutenu être adolescent, jusqu’à ce que les autorités marocaines confirment au juge d’instruction qu’il n’était pas né en 2003 mais en 1993, et n’était donc pas un mineur isolé étranger.
Arrivé en France fin 2018 semble-t-il, cet homme a été jugé pour avoir violé une passante alors âgée de 22 ans rentrant d’une soirée le 23 novembre 2019, après lui avoir adressé la parole puis l’avoir tirée par le bras derrière l’église Sainte-Marie, à Mulhouse. Il s’agit de l’unique infraction reconnue par l’accusé, qui pour les autres faits a argué qu’il s’agissait d’un complot.
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49.3 sur la Réforme des retraites : Marine Le Pen et le RN vont "déposer une motion de censure et voterons l'intégralité des motions de censure"
Front contre le gouvernement Macron-Borne sur les retraites
A la sortie de la séance sur le vote de la Réforme des retraites, Marine Le Pen s'est exprimée au micro des journalistes comme l'ensemble des présidents de groupe.
La présidente du groupe Rassemblement National à l'Assemblée nationale annonce "déposer une motion de censure" et invite Elisabeth Borne à "partir".
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La France, l'amie du monde arabe ? Avec Jean-François Figeac
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Florence Bergeaud-Blackler, salie par les réseaux islamistes qu’elle dénonce