France et politique française - Page 892
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Bernard wicht : France vers la guerre civile ?
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Baisse de la TVA sur le gaz : Marine Le Pen le proposait, Macron ironisait… L’Allemagne le fait !
Il paraît que le chancelier allemand Olaf Scholz connaît une rentrée difficile, selon Le Monde. Les causes ? Une affaire du temps de son mandat de maire de Hambourg qui resurgit, sa maladresse avec le leader palestinien et cette crise énergétique qui fait exploser le prix du gaz et plombe l'économie allemande et européenne, tout comme le moral des ménages qui vont la subir de plein fouet. Ce cocktail détonant fait prédire à certains observateurs un « hiver de colère » (Wutwinter) pour le nouveau chancelier. Chez nous, où les mêmes causes devraient produire les mêmes effets, nos observateurs ne voient rien venir... Il est vrai qu'ils n'avaient pas vu non plus venir les gilets jaunes, lors de cet autre hiver de colère 2018.
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Sondage : 75% des Français jugent négatif le bilan d’Emmanuel Macron en matière de sécurité
C’est un point noir du quinquennat Macron : les trois quarts des Français jugent négativement le bilan sécuritaire du chef de l’État. Un chiffre en nette hausse par rapport au début de son premier quinquennat. « En 2018, 41 % des Français jugent positif le bilan sécurité d’Emmanuel Macron. En 2022, ils sont 31 % avant la campagne présidentielle. Ce mois d’août, on descend à 25 %. C’est un score plancher ! », relève Frédéric Dabi directeur général du département Opinion de l’Ifop.
Il remarque également que « dans toutes les catégories de population, le jugement positif du bilan de Macron est devenu minoritaire ». Y compris dans son socle électoral, où plus d’un tiers de ceux qui ont voté pour Macron à la présidentielle de 2022 estiment que le compte n’y est pas.
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McKinsey, Uber : Macron dans un nouveau scandale !
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Comment Macron tente de contrôler les médias
Depuis cinq ans, Emmanuel Macron use de multiples ressorts pour accentuer sa mainmise sur les médias : lois anti-fake news, organe de déontologie, commission de régulation, subventions sous conditions :
Juin 2020. Une chute de 60 % des ventes en à peine deux mois. Des pertes estimées à 1,9 milliard d’euros. Des recettes publicitaires qui s’évaporent. Une offre numérique qui peine à séduire. La presse française paye un lourd tribut à la pandémie de Covid-19. Alors l’État décide de donner un coup de pouce aux titres qui souffrent. Le Figaro, le Monde, Libération … La majorité des grands médias touchent d’importants subsides : 483 millions d’euros, exactement. Seuls quelques titres font exception à la règle. Votre journal, Valeurs actuelles, est l’un de ces parias. « À ce niveau-là, c’est pire que de l’exclusion », estime Marc Baudriller, rédacteur en chef de Boulevard Voltaire. Le journaliste parle de ce qu’il connaît : le site n’a jamais perçu de subventions.
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Guerre en Ukraine : Macron appelle les Français à «accepter de payer le prix de la liberté de nos valeurs»
Le chef de l’Etat Emmanuel Macron a dénoncé «l’attaque brutale lancée par Vladimir Poutine» en Ukraine, après s’être entretenu dans la journée par téléphone avec le maître du Kremlin.
«Je pense à notre peuple auquel il faudra de la force d’âme pour regarder en face le temps qui vient, résister aux incertitudes, parfois à la facilité et à l’adversité et, unis, accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs», a lancé vendredi le chef de l’État lors d’une cérémonie pour le 78e anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas (Var).
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Petit rappel aux royalistes de pacotille: être royaliste, c’est avant tout, être catholique.
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Que ce soit par souci d’originalité, snobisme, désir de vivre dans une société bien ordonnée (maurrassiens) ou tout simplement par ignorance, il y a toute une flopée d’individus qui tout en étant athées et n’ayant que faire du fait religieux, se prétendent royalistes. Sans le savoir, ces personnes nuisent énormément à la crédibilité du régime monarchique. Il convient donc de rappeler qu’en toute dernière analyse, la seule légitimité de la monarchie repose sur «l’élection» du roi par Dieu. Cette élection étant confirmée avec le sacre du monarque par le Pape ou par un évêque de la sainte église catholique. Une monarchie où le roi n’est pas «l’oint» du Seigneur n’a, au fond, guère plus de légitimité qu’une simple mafia. Cela est essentiel, il ne faut jamais l’oublier.
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Justice : Refus d’obtempérer, course poursuite… La remise en liberté du chauffard multirécidiviste surprend même son avocat
Présenté ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris, cet homme, qui a blessé un policier dans sa fuite sur 12 kilomètres entre la capitale et le Val-d’Oise, a été remis en liberté dans l’attente de son procès, malgré son casier judiciaire fourni. À la stupéfaction du parquet et même de son avocat.
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Judith Waintraub journaliste Le Figaro, concernant le droit de vote accordé aux étrangers : « Personne ne doit avoir le droit de vote à aucune élection s’il n’est pas français »
Dans l’émission l’Heure des Pros, Judith Waintraub développe une réponse claire à la proposition de donner le droit de vote aux étrangers en France.
Interrogée dans le cadre d’un débat sur le fait d’accorder le droit de vote aux étrangers, la journaliste rétorque : « Personne ne doit avoir le droit de vote à aucune élection s’il n’est pas français ». Ajoutant juste avant « je suis contre le droit de vote aux ressortissants de la communauté européenne ».
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Jean Castex, passionné de transport ferroviaire, officiellement nommé à la tête de l’Agence de financement des infrastructures de transport
Nouveau job pour une nouvelle vie. Trois mois après avoir quitté ses fonctions de premier ministre, Jean Castex vient d’être officiellement nommé président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFIT), après un décret signé d’Emmanuel Macron en date du 17 août. Et publié ce jeudi au Journal officiel. Lors de son départ de Matignon à la mi-mai, l’ancien chef de gouvernement avait décidé de faire «un pas de côté, en sortant de la vie politique nationale». L’ancien premier ministre serait passionné de ferroviaire.