religion - Page 114
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26 mai : conférence du père Boulad au centre Charlier
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Mosquée de Mantes-la Ville : Le Bloc identitaire se mobilise
Plusieurs projets de construction de mosquée se développent à Mantes-la-Ville. L’un d’eux a été bloqué par le maire (FN) nouvellement élu, Cyril NAUTH, conformément à son engagement de campagne : initialement prévu dans la commune de Mantes-la-Ville, c’est finalement à la CAMY (Communauté d’agglomération de Mantes-en-Yvelines) qu’a eu lieu ce soir le vote pour la cession de l’ancienne trésorerie de Mantes-La-Ville pour en faire une mosquée, sous l’impulsion du préfet des Yvelines, ancien conseiller UMP de Nicolas Sarkozy.
Appuyant l’opposition du maire à ce projet de mosquée, les militants du Bloc Identitaire sont allés recouvrir d’autocollants « Pas de mosquée chez moi ! » les abords du siège de la CAMY à Magnanville (78), où doit avoir lieu le vote. Le Bloc Identitaire s’engage dans la bataille et annonce d’ores et déjà de futures actions à Mantes-la-Ville et ses environs si la CAMY confirme ce soir la transaction.
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Islam : un hadith qui ne laisse pas indifférent
La source en arabe ne précise pas s’il est question d’animaux, d’êtres humains ou des deux !
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Djihad : en 18 mois, +100% de combattants Français en Syrie, +200 % d’« impliquées »
Bernard Cazneneuve donne un état précis des Français impliqués de près ou de loin dans les filières du djihad en Syrie et en Irak.
Djihadisme : le nombre de Français "impliqués… par LCPBernard Cazeneuve a établi devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les filières djihadistes un bilan des Français dans les filières djihadistes en Irak et Syrie.
Le ministre de l’Intérieur a annoncé une hausse de 203 % du nombre de personnes « impliquées » (combattants, en partance ou suspectés de vouloir partir) et une augmentation de 104 % des combattants, sur une période 18 mois.Sur les 457 Français présents en Irak et en Syrie, le ministère a comptabilisé 137 femmes, 80 mineurs, dont 45 jeunes filles. Plus globalement, il estime à 1 600, le nombre de Français impliqués « d’une façon ou d’un autre dans les filières irako-syriennes » soit une hausse de 203 % par rapport à janvier 2014.
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Islamisation : deux mosquées à Mantes-la-Ville ? (Présent 8356)
Islamisation : le premier maire FN des Yvelines et d’Ile-de-France, Cyril Nauth, se trouve confronté à deux projets d’installation de mosquées dans sa commune. Mantes-la-Ville deviendra-t-elle Mantes-les-Deux-Mosquées ?
Découvrez-vous aujourd’hui ces deux projets de mosquées ?
Découvrir est un bien grand mot. Mon prédécesseur, Monique Brochot, a élaboré un projet de lieu de culte musulman pendant la campagne électorale des municipales. Il s’agissait d’installer une salle de prière dans l’ancienne trésorerie, qui appartient à la communauté d’agglomérations (CAMY), afin de remplacer la salle de prière de la rue Salengro, qui pose des problèmes d’exiguïté et de salubrité. Le montage était le suivant : la CAMY vendait les locaux à la commune de Mantes-la-Ville et celle-ci les revendait à l’Association des Musulmans de Mantes-Sud (AMMS).
Ma victoire a modifié la donne. J’ai refusé de signer l’acte de vente qui était prévue le 15 mai 2014, un mois après les résultats. Depuis, la situation n’avait pas évolué. Or j’ai appris il y a quelques jours, en même temps que tout le monde, que le préfet des Yvelines, Érard Corbin de Mangoux, a écrit au président de la CAMY pour lui demander de se saisir à nouveau du dossier et d’éventuellement vendre la trésorerie à l’AMMS, sans passer par la mairie de Mantes-la-Ville. Selon le préfet, en l’état actuel des choses il y a un risque de troubles à l’ordre public : l’ancien lieu de culte, celui de la rue Salengro, est toujours occupé par l’association musulmane, illégalement puisqu’il y a une procédure d’expulsion.Que va-t-il se passer maintenant ?
La vente de l’ancienne trésorerie est censée passer en délibération lors du prochain conseil communautaire, qui a lieu mardi soir. Personnellement, d’ici là j’aurai rencontré le président de la CAMY, Paul Martinez, pour lui demander de retirer, provisoirement ou définitivement, cette délibération. J’ai plusieurs arguments à faire valoir que j’ai déjà notifiés par courrier à tous les conseillers communautaires (sachant qu’ils sont quatre-vingts élus, dont sept élus Front national, ceux-ci tous de Mantes-la-Ville).Et le deuxième projet ?
Un des arguments du préfet est qu’il n’y a pas d’alternative au projet de l’AMMS. Mais une autre association, El Fethe, annonce avoir en vue un local pour un lieu de culte. Il faut savoir qu’El Fethe est en conflit avec l’AMMS, laquelle a été créée, manifestement, afin de rabattre des voix musulmanes vers le vote socialiste : plusieurs membres de l’AMMS étaient sur la liste de la candidate socialiste, dont la volonté de bénéficier d’un vote communautariste musulman était manifeste. Le projet d’El Fethe poserait moins de problèmes a priori que le projet de l’AMMS. La trésorerie sur laquelle l’AMMS a jeté son dévolu est située à côté d’un cimetière, sur un des axes de la ville et en face d’une des principales salles des spectacles : on déplace le problème. D’autres élus avaient émis des réserves, le Front national n’a fait que dire les choses de façon plus directe et plus virile. Le projet d’El Feth sera étudié, mais, dans un premier temps, mon objectif est d’empêcher la vente de la trésorerie.Comment réagissent les Mantevillois ?
Le Parisien a titré : « La ville FN pourrait accueillir deux mosquées. » C’est provocateur. Après tout, il est possible qu’aucun des projets n’aboutisse… J’espère que le président de la CAMY saura nous écouter. Il a obéi au doigt et à l’œil du préfet : il reçoit le courrier le 11 mai et la question est mise à l’ordre du jour du 19 ! Jusqu’à maintenant, le président de la CAMY m’avait assuré qu’il ne vendrait jamais directement la trésorerie à l’AMMS, parce qu’il avait pris note de mon opposition et qu’il était respectueux de la démocratie. Qu’il ne contraindrait aucun maire, quel que soit le projet. Tout le monde l’admet : cette histoire de salle de prière a joué un grand rôle pendant la campagne des municipales et a été déterminante dans la victoire d’un candidat FN. Les Mantevillois étaient hostiles à ce projet. Imposer ce projet de mosquée un an après les élections serait odieux et scandaleux.Entretien avec Cyril Nauth, propos recueillis par Samuel Martin
http://fr.novopress.info/187774/mosquees-mantes-ville-present-8356/
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Quelqu'un a des nouvelles de Robert Chardon ?
On apprenait il y a quelques jours que le maire UMP de Venelles, Bouches-du-Rhône, avait été frappé sur Twitter d'une sorte de "délire paranoïaque"a en prescrivant l'interdiction du culte musulman en France, et que dans la foulée, il aurait été "interné d'office" (certains médias ont dit plutôt "hospitalisé"), et exclu ipso facto de l'UMP. Depuis, silence radio.
François Falcon revient sur cette affaire sur Boulevard Voltaire, et s'étonne surtout du black out des journaux français, qu'il juge inquiétant :
"Constatant que nombre de commentateurs soutenaient sa provocation, les journaux qui avaient relayé l’information de son internement pour islamophobie sans sourciller ont ensuite observé un blackout complet.
L’Affaire a cependant fait réagir bien au-delà de nos frontières et l’imprudent Robert Chardon a eu les honneurs duWelten Allemagne, duIndependenten Grande-Bretagne et même duTimes of India. À croire que son propos a réveillé un puissant désir refoulé. Les réseaux sociaux sont également en alerte depuis quatre jours, ce qui rend le silence des médias français d’autant plus étrange, voire très inquiétant.
Inquiétant tout d’abord parce que la nouvelle de l’internement forcé d’un élu sur le motif d’un simple tweet dérangeant, nouvelle qui a tenu pendant plusieurs jours de version officielle, aurait dû susciter un immense bruit au pays des droits de l’homme et des Charlie autoproclamés.
Ce type de méthode était pratiquée en Russie à l’époque soviétique, mais sous Poutine, de tels abus de pouvoir ne se produisent plus. C’est une méthode de régime totalitaire, ni plus ni moins.
Les officiels en ont, semble-t-il, pris conscience et ont légèrement rétropédalé : d’après le sous-préfet d’Aix, Robert Chardon aurait en réalité été interné dans le cadre des soins qu’il subit depuis quelques semaines et non pas en raison de ses propos.
Le problème, c’est que Robert Chardon est soigné pour un cancer de la bouche, lequel n’est généralement pas traité dans les hôpitaux psychiatriques et que l’on ne voit pas bien ce que le sous-préfet, représentant du ministre de l’Intérieur, vient faire dans ce dossier médical.
Sans doute est-il encore trop tôt pour s’alarmer et l’on n’ose imaginer un seul instant que la République qui se réclame de ces droits de l’homme issus de l’habeas corpus britannique de 1679 en soit réduite à employer des méthodes de monarque absolu, en l’occurrence la méthode des lettres de cachet, les cachets chimiques en sus.
Pour rassurer ceux qui s’inquiètent de son sort et qui craignent que l’on soit en train de soigner l’élu de sorte que ses propos deviennent réellement incohérents, le mieux serait simplement de le présenter au public, libre de ses mouvements et de ses paroles et dans l’état où il se trouvait jeudi soir, la dernière fois qu’il s’est entretenu par téléphone avec un journaliste."
Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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L’État islamique a-t-il perdu la tête?
Le « Conseil de la Choura » de l’EI réfléchirait à nommer un chef temporaire pour remplacer Abou Bakr al-Baghdadi, qui aurait été très grièvement blessé lors d’une frappe américaine en mars dernier. Une guerre des chefs fait rage au sein de Daesh, et elle pourrait nuire au califat autoproclamé.
Selon des transfuges de Daesh, le « Conseil de la Choura » de l’État islamique réfléchirait à nommer un chef temporaire pour remplacer Abou Bakr al-Baghdadi, qui aurait été très grièvement blessé lors d’une frappe américaine en mars dernier. Comment l’Etat islamique s’organise-t-il dans ces conditions ? Est-il ralenti ?
Il faut rester prudent. Pour l’instant, aucune confirmation de la mise hors de combat d’Al-Bagdhadi n’est parvenue aux autorités ni aux médias. Nous sommes donc dans le domaine des rumeurs. Ce qui peut aller dans ce sens, c’est qu’aucune déclaration affirmant que le « calife » est bien opérationnel n’est venue contredire ces mêmes rumeurs. Sur le terrain, Daech piétine en Syrie depuis la bataille de Kobané mais grignote du terrain en Irak, particulièrement dans la province d’Al-Anbar. Il est donc impossible pour l’instant de tirer des leçons sur une absence éventuelle du « commandant suprême ».
Une poussée à l’international est aussi sensible, notamment dans le Sinaï, en Libye et en Tunisie. Il convient de rester très prudent dans les pronostics avancés.
Deux Irakiens et un Syrien seraient en concurrence pour ce poste, selon les mêmes sources. Peut-on s’attendre à une guerre des chefs ?
Le problème réside dans le fait qu’Al-Bagdhadi n’a pas désigné de successeur (comme l’a fait Al-Zawahiri au sein d’Al-Qaida en désignant de facto l »émir d’Al-Qaida dans la Péninsule Arabique -AQPA-). Il y a donc un certain nombre de prétendants. Il est probable qu’une guerre des candidatures aura lieu. Techniquement, c’est à la « choura » (le conseil consultatif fort de neuf membres) de désigner un successeur.
Qui est le plus susceptible de l’emporter dans ces luttes d’influence ?
Là aussi, rien n’est certain. Les Américains semblent placer Abd al-Rahman Mustafa al-Qaduli, un ancien professeur de physique irakien en bonne place : d’où la mise à prix de sa tête pour sept millions de dollars depuis quelques jours. Cet individu était jusqu’alors peu connu.
On parlait plutôt d’Abou Ali al-Anbari, un ancien major-général irakien responsable du front syrien de Daech ou d’Abou Muslim al-Turkmani, responsable du front irakien. Abou Luqman Ali Moussa al-Hawikh, le « gouverneur » de Raqqa, la « capitale » de l’État Islamique est aussi évoqué. Il peut en sortir d’autres de la besace.
Quelles peuvent en être les conséquences pour l’organisation ?
Certains chefs locaux risquent de vouloir retrouver leur indépendance.
Il ne faut pas penser que la situation est simple pour Daech qui fonctionne grâce à de multiples alliances conclues avec des tribus et d’anciens cadres du parti Baas irakien. Cette unité est volatile. Cela pourrait conduire à une dislocation du « noyau » de l’État Islamique établi à cheval sur l’est de la Syrie et l’ouest de l’Irak. Cela dit, rien ne dit que Daech est « touché au cœur ». Il faut attendre la suite.
Personnellement, je pense que si al-Baghdadi était mort, il y aurait eu une revendication proclamant qu’il avait rejoint les « martyrs de la cause ». Il est peut être que blessé comme le laisse prétendre la rumeur. Les affaires courantes sont alors réglées par la choura.
Viendra le moment où la nomination d’un remplaçant, même temporaire, sera rendue obligatoire car les activistes islamiques ont besoin d’un chef qui les guide et leur sert d’exemple. Attendons la suite.
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[1947] Monsieur Vincent - Multi-subs
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Première condamnation d’un terroriste Français pour actes commis à l’étranger
Le djihadiste français Gilles Le Guen condamné à 8 ans de prison ferme
Gilles Le Guen, 60 ans, avait été interpellé en avril 2013 par les forces françaises présentes à Tombouctou (Mali), dans le cadre de l’opération Serval, alors qu’il se trouvait dans un pick-up bourré d’explosifs. Remis aux autorités maliennes, il avait été extradé puis immédiatement arrêté à son retour en France. Il a écopé hier de 8 ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir rejoint le groupe Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) au Mali de 2012 à 2013. Il était notamment apparu sur plusieurs vidéos de propagande de ce groupe.
Cette condamnation est une grande première en France. Pour la première fois, un citoyen a ainsi pu être jugé et condamné pour des soupçons d’actes terroristes à l’étranger ou pour y être parti s’entraîner, comme le permet une loi votée fin 2012. -
Italie : Des musulmans insultent la procession de la Madone
Lu sur Novopress.info : en Italie, des jeunes musulmans ont accueilli dimanche la traditionnelle procession de la Sainte-Vierge à Conselice, dans la province de Ravenne, aux cris de "Allez-vous-en ! Allez-vous-en !" Le maire de gauche a semble-t-il "désamorçé la polémique" en suggérant que les jeunes musulmans présentent leurs excuses. Le "vivre-ensemble" a du plomb dans l'aile...