santé et médecine - Page 21
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Soignants suspendus : Macron pris au piège !
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Censure
Pas en Russie, en France : Le Point ne publiera pas son palmarès des hôpitaux et des cliniques :
Il existe pourtant depuis plus de vingt ans, des centaines de milliers de lecteurs lui font confiance, des dizaines d’établissements hospitaliers prestigieux l’arborent fièrement sur leurs murs. Que s’est-il passé ? Un quarteron de bureaucrates, allergiques à l’évaluation indépendante de notre système de santé et visiblement atteints par l’ivresse de leur pouvoir, a décidé de l’interdire. Une censure : il n’y a pas d’autre mot pour décrire ce qui vient de se passer. Une censure d’État pour briser un thermomètre qui en dérange certains.
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La médecine au temps des Lumières, Philip Rieder
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Docteur Vernon Coleman sur Covid-19 : comment le plus grand crime de l'histoire s'est produit
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Nous Sommes Empoisonnés : Il Faut Dire Stop ! – Claude Janvier
Publié par Aphadolie
Par : Claude Janvier
Nous sommes empoisonnés par un Président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien. (1)Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux. – Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales -. (2)
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ? -
L'Italie va réintégrer les professionnels de santé non-vaccinés contre le Covid-19 et annuler les amendes imposées à toutes les personnes âgées de plus de 50 ans qui n'ont pas été vaccinées
Les médecins et infirmières italiens suspendus de leur travail parce qu'ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19 seront bientôt réintégrés, a déclaré vendredi le nouveau ministre de la Santé, Orazio Schillaci.
Cette décision est motivée par une pénurie inquiétante de personnel médical et par la diminution des cas de Covid-19. Le nouveau gouvernement va également annuler les amendes imposées à toutes les personnes âgées de plus de 50 ans qui ne se sont pas fait vacciner, a-t-il ajouté.
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L’incroyable effondrement des covidistes !
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Nicolas Dupont-Aignan (DLF) : "Au moment où la Cour suprême de l'Etat de New York impose la réintégration et l'indemnisation de tous les soignants non vaccinés, Emmanuel Macron ose se plaindre du manque de médecins alors qu'il refuse d'en réintégrer des m
Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, s'est dit "révolté" face aux "larmes de crocodile" d'Emmanuel Macron au sujet du manque de médecins en France : "C'est lui qui a saboté l'Hôpital pendant cinq ans, en supprimant 17.000 lits (...) Au moment où la Cour suprême de l'Etat de New York impose la réintégration et l'indemnisation de tous les soignants non vaccinés, Emmanuel Macron ose se plaindre du manque de médecins alors qu'il refuse d'en réintégrer des milliers" (Vidéo)
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150 millions d’euros pour les hopitaux : une rustine de plus
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Professeur Perronne : la plainte du Conseil National de l’Ordre des Médecins rejetée, les médias restent silencieux
Les plaintes du Conseil National de l’Ordre des Médecins et du Dr Nathan Peiffer-Smadja ont été rejetées en première instance par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins vendredi dernier. Il lui était notamment reproché d’avoir dénigré les « politiques de santé publique » mises en place durant la crise du Covid-19. Dans sa plainte, le « CNOM dénonçait plus précisément des propos outranciers contraires à tout principe de dignité et à plusieurs règles de la déontologie médicale. » Sa défense de l'hydroxychloroquine était également mise en cause puisque le CNOM accusait le professeur d’avoir « fait courir un risque injustifié aux patients par cette défense. »