
Partout s’observe une présence policière intraitable, interdisant même de passer d’un lieu de confinement à un autre, tandis que le portable pourrait devenir l’instrument d’un traçage impitoyable, tout cela dans un climat de psychose médiatique savamment entretenue.
Ce confinement sanitaire toujours plus contraignant pourrait-il dissimuler une assignation à résidence plus politique ?
De plus en plus de Français, stupéfaits par cette criminalisation sans précédent de la liberté individuelle, s’interrogent sur l’instrumentalisation possible d’une pandémie dont personne, cependant, ne nie la gravité ni la nécessité de s’en protéger, mais avec raison gardée.
La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens.