santé et médecine - Page 240
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CORONAVIRUS : Entretien avec Pierre-Yves Rougeyron (par le Club du Mercredi) - 2/2
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Coronavirus: le confinement profite-t-il à l’islam radical ? (Vidéo)
Le 25 mars, jour de l’Annonciation, les cloches sonnaient pour les malades, leurs proches et le personnel soignant. Dans plusieurs villes, des imams en ont profité pour faire résonner l’appel à la prière, interdit en France. Invoquant l’argument de solidarité, le Conseil Français du Culte Musulman est resté ambigu sur le sujet, tandis que le ministre de l’Intérieur a demandé de « cesser ces initiatives ».
https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-le-confinement-profite-t-il-a-lislam-radical-video
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Dans Valeurs Actuelles, “Il fait la guerre à un virus, mais pas à des soldats du djihad” : Zemmour se paie Macron après l’attaque de Romans-sur-Isère.
Dans l’émission Face à l’info sur Cnews, Eric Zemmour a ironisé sur le déni d’Emmanuel Macron et des médias de qualifier l’attaque au couteau de Romans-sur-Isère d'“islamiste”.
Macron « est toujours à contre-temps », déclarait Eric Zemmour le soir du lundi 6 avril dans l’émission Face à l’info sur Cnews. Alors que le président de la République fait « la guerre à un virus », il ne serait pas capable de combattre aussi « des soldats du djihad », prévient Eric Zemmour. La séquence a été relayée sur Twitter par de nombreux internautes.
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CORONAVIRUS : Entretien avec Pierre-Yves Rougeyron (par Le Club du Mercredi) - 1/2
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Droits de l’homme ou Salut public ?
Bernard Plouvier
Depuis le milieu des années 2010, les nouveaux fous d’Allah, les fanatiques djihadistes de « l’islam radical » (si tant est que ces deux mots ne forment pas un pléonasme) se sont lancés dans le terrorisme tous azimuts.
Par l’utilisation de moyens inédits et très spectaculaires – tueries de masse et décapitations filmées, enfants et femmes kamikazes, vandalisme architectural, maniement en virtuose de tous les moyens de communication et du camion-bélier, en plus des classiques poignards ou de leur version moderne, le couteau en céramique, et de l’inusable kalachnikov -, ils ont créé puis entretenu l’enthousiasme meurtrier des moins accessibles au raisonnement : les jeunes gens à la fois obsessionnels, incultes et mal insérés dans la société... les tueurs d’allah se recrutent en grande partie chez les délinquants qui se recyclent par désir de « bonne conscience ».
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Au pays des droits de l’homme, on ne confine pas les aides sociales
Les comparaisons entre les systèmes de santé allemand et français vont bon train, ces derniers temps. Beaucoup s’interrogent sur une contradiction apparente : alors que le taux de prélèvements obligatoires est plus élevé en France, les services publics paraissent moins efficients.
En France, le montant des prestations de protection sociale était de 741 milliards d’euros, en 2018, répartis de la façon suivante : 339 milliards pour le pôle vieillesse-survie ; 261,2 milliards pour la santé ; 55,4 milliards pour la famille ; 44,6 milliards pour l’emploi ; 23,7 pour la pauvreté-exclusion sociale ; 17,2 milliards pour le logement (source : Les Échos).
Mentionnons, sur ce thème, les études du magistrat Charles Prat pour qui 2,4 millions de personnes nées à l’étranger sont en surnombre dans le système de Sécurité sociale française mais qui touchent des droits ouverts pour les prestations sociales, retraites et allocations familiales. Interrogé par la commission d’enquête au Parlement, il estime la fraude à 30 milliards d’euros par an (Le Figaro, 5/3/2020).
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Le Président et le Professeur : de la com’ ?
Le Parisien nous annonçait, mercredi, qu’Emmanuel Macron parlerait à la télévision, jeudi soir. On avait même le menu, au cas où l’on aurait raté l’événement. Un menu sans surprise s’annonçait. Une sorte de réchauffé, de soupe à la grimace en cette quatrième semaine de confinement dont on ne voit pas le bout. Eh bien, non, mauvaise pioche ! L’allocution présidentielle, ce sera pour lundi prochain. Lundi de Pâques.
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Crise économique et sanitaire : la France va offrir 1,2 milliard d’euros à l’Afrique, et l’UE 20 milliards à l’Afrique en particulier
De nombreux Français, artisans, commerçants, indépendants, sans parler des PME et TPE commencent à se retrouver dans une situation catastrophique. Mais leur argent, arraché abusivement par le fisc, va servir à autre chose.
D’une part, la République va arroser un peu l’Afrique, comme d’habitude, alors que le sentiment antifrançais s’y développe continument.
« La France va accorder une aide de «près de 1,2 milliard» d’euros pour la lutte contre la propagation du Covid-19 en Afrique, a annoncé mercredi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
«Les besoins sont immenses», a-t-il souligné, selon le texte de son intervention, en appelant à renforcer «les systèmes de soins» en Afrique ainsi que «les capacités de détection et de recherche scientifique en appuyant la recherche africaine». Il faut aussi «assurer une mobilisation financière considérable», a insisté le chef de la diplomatie française en invitant le G7 et le G20 à oeuvrer en ce sens. » (source Figaro) -
Quand la science sert de cache-sexe*
Par Eric Zemmour
La science a pris le pouvoir. Le Président n’a pas un mais deux conseils scientifiques pour l’entourer. Le premier ministre ne prononce plus une phrase sans citer le patron de l’OMS. Le ministre de la Santé avoue qu’il consulte les médecins avant de prendre ses décisions. La science dirige les moindres pas de la politique, qui est fière de son assujettissement. C’est le triomphe du saint-simonisme qui, dès le 19e siècle, prophétisait le remplacement du « gouvernement des hommes » par le « gouvernement des choses ». Mais voilà, la science n’est pas la vérité ; elle est, comme le dit fort pertinemment Henri Guaino, une méthode pour accéder à la vérité. L’histoire des sciences est pleine de bruit et de fureur, comme toute histoire humaine. Les querelles de doctrines et d’ego ne sont pas moins fiévreuses que dans la politique, les affaires, l’administration, l’armée, la justice, la littérature, l’art, le journalisme, etc.
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Dans Marianne, le coronavirus annonce "la fin du capitalisme néolibéral", selon le chef économiste de la banque Natixis.
Le temps du capitalisme néolibéral, qui a misé sur la globalisation, la réduction du rôle de l’Etat, les privatisations et la faiblesse de la protection sociale, est révolu selon Patrick Artus, chef économiste de la banque Natixis.
Ce n’est pas un poisson d’avril. Très productif en analyses, le chef économiste de la banque Natixis Patrick Artus a publié le 30 mars une note où il prédit tout simplement "la fin du capitalisme néolibéral" à cause de la crise du coronavirus. Ces dernières années, cet économiste s’est habitué à sortir, une fois de temps en temps, des sentiers battus de la pensée dominante. Il avait notamment clamé haut et fort que "Marx avait raison" en février 2018.