santé et médecine - Page 242
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#Coronavirus Moi infirmière j'accuse Macron
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La chloroquine, ou le populisme en blouse blanche ?, par Christian Vanneste.
Le débat sur l’usage ou non de la chloroquine pour lutter contre le Covid-19 en dit long sur la société dans laquelle nous vivons. Il devrait s’agir d’un débat scientifique, et dans la société menacée par un totalitarisme rampant, nous découvrons avec stupéfaction que l’idéologie le dispute à la science, que des préjugés politiques peuvent l’emporter contre des démarches empiriques inspirées par le bon sens que Descartes croyait la chose du monde la mieux partagée. La question médicale est : la chloroquine peut-elle contribuer à l’amélioration des patients atteints par le virus ?
Manifestement, il y a aujourd’hui deux réponses, l’une est positive, l’autre considère que la molécule ne change pas le cours de la maladie, et que les guérisons sont naturelles avec ou sans elle, et qu’en revanche, elle ne sauve pas les cas désespérés. Le béotien n’a pas à trancher, mais il peut modestement s’en tenir, lui-aussi au bon sens, et émettre un jugement prudent à partir des informations qu’il reçoit.
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Michel Thooris : « La pression pour faire appliquer le confinement ne s’applique pas à Sartrouville ! »
Réaction exclusive de Michel Thooris au piège tendu à la police, à Sartrouville, mardi soir, par une cinquantaine d’individus armés. Il revient aussi sur la pénurie de masques dans la police et la libération de détenus radicalisés et multirécidivistes.
Hier soir à Sartrouville dans les Yvelines la nuit a été agitée. Vos collègues ont été pris dans une embuscade. Ce scénario se répète tous les soirs depuis le début du confinement dans plusieurs villes de France. Fallait-il s’y attendre ?
Il fallait bien sûr s’y attendre. Les lois de la République ne s’appliquent pas dans quelque 600 cités interdites de la République. Il n’était donc pas étonnant que le confinement ne soit pas respecté par une partie de ces populations qui ont clairement basculé dans la criminalité, notamment le trafic de stupéfiants.
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Coronavirus: 76% des Français pensent que le gouvernement leur a menti au sujet des masques
Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting réalisé pour le Figaro et FranceInfo, 76 % des Français pensent que le gouvernement leur a menti au sujet des masques «en les dissuadant d’en porter parce qu’il n’y en avait pas suffisamment pour les soignants». Même chez les sympathisants de La République en marche (LREM), la défiance règne: ils sont un sur deux à penser que le gouvernement a menti.
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, Michel Maffesoli - "Cette pandémie COVID19 annonce un retour des soulèvements populaires".
Michel Maffesoli, sociologue, professeur émérite à l'université Paris-Descartes et membre de l’Institut universitaire de France au micro d'André Bercoff sur Sud Radio !
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/04/10/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-michel-maffesoli-cette-pand-6228668.html -
Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (JEUDI 9 AVRIL)
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Le traitement à l'hydroxychloroquine contre le Coronavirus COVID-19 est efficace - Didier Raoult
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Une facture salée pour dire adieu à ses proches – Thibault Bastide
C’est un scandale de plus en cette période de crise sanitaire. Depuis le 3 avril dernier, un hall du marché de gros de Rungis dans le Val-de-Marne a été réquisitionné pour accueillir les cercueils. Une décision du préfet de police de Paris, Didier Lallement, pour faire face à la tension qui persiste sur l’ensemble de la chaîne funéraire. Ainsi, des dizaines de cercueils sont entreposés dans ce hall excentré et isolé des autres pavillons dans l’attente de leur crémation ou leur inhumation. Problème : les proches des défunts doivent payer 250 euros pour cette disposition. Et la facture peut très vite grimper. En effet, pour pouvoir se recueillir auprès du défunt, un espace est mis à disposition pour 55 euros de l’heure. Un prix à payer difficile à avaler pour les familles déjà privées de visites lors des derniers instants de leurs proches.
Cependant, pour Didier Kahlouche, le co-Président de la Confédération des Pompes Funèbres et de la Marbrerie, cette facture se justifie par le coût technique de l’opération. Il a précisé, par ailleurs, que ce genre de dispositif à déjà été mis en place en 2003 lors de la canicule, avec les même dispositions.
Suite à la colère des familles, le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, a réclamé un contrôle de cette morgue provisoire à propos des tarifs controversés pratiqués par l’opérateur privé qui la gère qualifiant la situation d’anormale.
Thibault Bastide
https://www.tvlibertes.com/actus/une-facture-salee-pour-dire-adieu-a-ses-proches-thibault-bastide
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Confinement, déconfinement : le gouvernement totalement dépassé
Il y a une semaine, alors qu’il nous expliquait par ailleurs que la France n’avait toujours pas atteint le fameux pic de l’épidémie de coronavirus, le Premier ministre abordait malgré tout pour la première fois devant l’Assemblée la question du déconfinement et disait même vouloir « présenter des éléments d’une stratégie de déconfinement pour (…) les jours qui viennent de façon à pouvoir (…) donner une perspective à nos concitoyens ». Or, nouveau coup de théâtre mardi, interrogé par le député du Morbihan Paul Molac (LT) lors de la séance des questions au gouvernement, Edouard Philippe a lancé : « Le déconfinement, ça n’est pas pour demain » !
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Viré ! Ah, quand même…
Il faut savoir reconnaître ses erreurs. Hier, nous écrivions que Christophe Lannelongue, directeur de l’agence régionale de santé Grand Est, n’avait pas été limogé après ses propos qui ont soulevé un véritable tollé, la semaine dernière. Eh bien, c’est chose faite, le haut fonctionnaire a été débarqué au Conseil des ministres de ce mercredi. Ah, quand même !, a-t-on envie de dire. Cela ne règle pas les problèmes de fond, cela ne soulage pas ceux qui souffrent, mais cela met un peu de décence là où il y en a si peu actuellement.
Cet inspecteur général des affaires sociales a immédiatement été interviewé par Libération. Déjà, il nous dit qu’il « n’est pas en colère ». Entre nous, on s’en moque un peu. Il ne manquerait plus que ça, d’ailleurs !