Les débuts d’année sont l’occasion de diverses cérémonies de vœux plus ou moins sincères et, souvent, très politiques quand il s’agit de ceux des ministres et de leur président, ainsi que de leurs opposants. 2023 n’a donc pas dérogé à la règle, et le locataire de l’Élysée en a profité pour lancer, véritablement, le coup d’envoi d’une rentrée sociale qui pourrait s’avérer tumultueuse si l’on en croit les devins médiatiques. Il est vrai que la question des retraites est, depuis longtemps, beaucoup plus inflammable que nombre d’autres sujets sociaux : sans doute parce qu’elle touche, concrètement, à l’espérance d’une vie tranquille « après l’emploi » et que, pour nombre de nos concitoyens, l’entrée dans cette période post-professionnelle est vécue comme une forme de libération du temps et des efforts obligatoires et salariés.
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La retraite à 65 ans, cette nouvelle injustice sociale...
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Tiers-mondisation sanitaire : Scène de misère dans le Centre-Bretagne
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Retraites : ce qui manque au mondialiste Macron pour demander des efforts aux Français
Le dossier des retraites, flou, variable, plus flexible qu’une canne de bambou au printemps, illustre à nouveau la méthode du président. On tente de satisfaire les intérêts de tous en commençant par ceux qui crient le plus fort. Sur les retraites, c’est l’Europe qui exige des réformes. Mais les syndicats sont écoutés aussi, on réduit le départ à 64 ans. On écoute encore LR dont les voix seront nécessaires à l’Assemblée. Le tout après avoir annoncé une campagne éclair et reculé indéfiniment l’échéance. L’aiguille du baromètre n’a jamais montré de direction très claire, elle s’agite aujourd’hui sans fin, elle est devenue folle. « En même temps ». La formule macronienne décrit décidément le mieux possible l’incapacité du président à prendre un cap, à déterminer la hiérarchie des priorités, à choisir et à trancher.
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Le gouvernement annonce un tarif garanti pour les copropriétés et les PME sur l'énergie
L’énergie toujours au cœur des inquiétudes des français.
Alors que les boulangers et d’autres TPE et PME payent le prix fort et ont vu le gouvernement envisager un plafonnement des tarifs, c’est au tour des copropriétés qui pourraient bientôt être visées par un tel dispositif. Le ministre délégué du logement Olivier Klein a ainsi annoncé dimanche qu’une mesure analogue pour les logements collectifs serait discutée avec les fournisseurs de gaz et d’électricité. Une bonne nouvelle pour les français… Reste qu’à la fin se sera toujours le contribuable qui paiera d’une manière ou d’une autre.
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Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !
Bernard Germain
63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?
C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain.
La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.
Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.
On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.
En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».
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Dordogne : la boulangère de Sarlat dément les propos tenus par la ministre Olivia Grégoire à son é
Par Grégoire MorizetSur BFMTV, la ministre aux PME et à l’artisanat a expliqué avoir appelé Isabelle Nimal et regardé « ligne par ligne » ses dépenses d’énergie pour en faire baisser le montant. « Tout est faux », réagit la boulangèreVendredi 6 janvier, l’émission « Le live Toussaint », sur BFMTV, avait pour invitée Olivia Grégoire, ministre déléguée aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce et à l’Artisanat.
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Prélèvements sociaux, charges, impôts…et tiers-mondisation de la France. Mais où va notre argent ? [L’Agora]
Chaque année en France, l’Etat collecte des dizaines de milliards d’euros en prélèvements sociaux, charges, impôts. La République française, qui a inventé depuis le début de la Vème République un nombre délirant de taxes et de prélèvements en tous genres, est l’un des pays qui ponctionne le plus sa population.
A chaque fois que vous faites vos courses, vous donnez de l’argent à l’Etat via la TVA. Chaque journée de travail à laquelle vous contribuez, vous payez une partie de vos revenus à l’Etat. Vous allez mettre de l’essence ? L’Etat encaisse. Une facture d’électricité stratosphérique ? L’Etat se gave (ainsi que de confortables retraités du secteur). Il en va de même pour absolument TOUTES les actions économiques quotidiennes que vous menez.
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Interdiction de louer les logements énergivores : cette autre catastrophe économique et sociale planifiée par Macron
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Prélèvements sociaux, charges, impôts…et tiers-mondisation de la France. Mais où va notre argent ? [L’Agora]
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Inflation : Les prix des produits alimentaires ont augmenté de presque 13% en moyenne en un an
Bien que l'inflation en France a légèrement ralenti en décembre, avec une augmentation de 5,9% des prix sur un an, les hausses de prix ont été très variées selon les secteurs, avec une augmentation de près de 13% en moyenne des prix alimentaires sur une année, peut-on lire sur le site TF1info.