social - Page 73
-
Macron ou la technique de la dictaricature
-
Quotas dans les écoles privées : plus de mixité pour plus de nullité ?
Le ministre de l’Éducation nationale a décidé, en octobre 2022, de publier l’indice de position sociale (IPS) des établissements scolaires. Jusque-là tenu secret, cet indice, mis en place à la demande du personnel du ministère, sert à calculer les origines socio-professionnelles des foyers qui envoient leurs enfants dans un établissement scolaire, avec un (discutable) système de points. On y découvre – en fait, on ne le découvre pas tant que ça – que les familles aisées choisissent plus volontiers le privé sous contrat.
-
Macron veut tourner la page mais, en France, les radars recommencent à brûler
-
MANIFESTATIONS (réforme RETRAITES) : La république de Macron jette de l'huile sur le feu | GEN X n°9
-
LE POUVOIR DE L’INSULTE !
Avec Hollande, les Français avaient cru toucher le fond. Non ! Poussés par des médias serviles, intéressés et superficiels, ils ont creusé et élu l’un de ses lieutenants, qui avait pour seul talent la trahison envers son mentor. Aujourd’hui, ils peuvent mesurer que la trahison n’est pas un accident de naissance mais le fil conducteur du personnage, car c’est la démocratie, c’est-à-dire le peuple qui est trahi d’une manière insultante par l’occupant de l’Elysée. On reconnaît souvent les dictateurs à leur goût pour les actions nocturnes : effectivement, Macron a promulgué la loi honnie par une large majorité des Français durant la nuit qui a suivi sa validation partielle par le conseil constitutionnel. L’obsession de tourner la page l’a conduit à un passage en force qui continue une série d’instrumentalisations des textes pour les vider de leur esprit.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, social 0 commentaire -
La victoire et le malaise
Vincent Trémolet de Villers
C’est une victoire politique indiscutable et pourtant elle a un goût amer. Peut-être parce que la sage décision du Conseil constitutionnel ne dissipera pas le malaise qui traverse le pays. Elle ne fera malheureusement pas disparaître les cortèges, les casseurs, les banderoles syndicales. La défiance est là et ne va pas s’évaporer par enchantement. Et puis quel gâchis collectif ! On est pris d’une sorte de vertige quand on mesure tout ce que ce psychodrame laisse derrière lui.
-
Réforme des retraites : 74% des Français prêts à signer pour le référendum d'initiative partagée déposé par 252 parlementaires
La demande de référendum d'initiative partagée déposée par 252 parlementaires sera examinée par le Conseil constitutionnel, rapporte BFMTV. Si celle-ci est jugée recevable, les opposants à la réforme des retraites devront réunir les signatures d'au moins un dixième des électeurs inscrits, soit 4,8 millions de Français. Cette double décision est très attendue, car elle déterminera si le recul de l'âge légal de départ à la retraite sera soumis au vote des Français.
-
Panique à Macropolis, par Camille Galic
« De l’isolement à l’impuissance : Macron, retraité à 45 ans ? ». Cette manchette, assez cruelle il est vrai, du Point (du 23 mars), aurait mis en rage l’Élyséen qui ne s’attendait pas à une telle attaque de la part de ses potes François Pinault et Bernard-Henri Lévy. Mais sans doute ceux-ci ont-ils été déçus par le « Mozart de la finance », qui nous accule à une crise économique et sociale sans précédent et coagule contre lui tous les antagonismes, au-delà des divergences partisanes et même des frontières comme la conduite de Grenoble que viennent de lui infliger les Bataves lors de sa visite d’Etat aux Pays-Bas.
-
La république en son Conseil
14 avril, à l'heure matinale où ces lignes sont écrites, la France officielle reste dans l'attente d'une décision du soir que doit rendre le Conseil constitutionnel.
Disons d'emblée que l'exaspérante appellation de "Sages" pour désigner les personnages composant cet aréopage factice relève de la dérision et, plus encore de l'imposture.
-
Ce ne sont pas les immigrés qui sauveront le système de retraites
Dans un dossier consacré à l’immigration, L’Incorrect laisse la parole au syndicaliste chrétien Joseph Thouvenel, qui dénonce quelques lieux communs :