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MANIFESTATIONS (réforme RETRAITES) : La république de Macron jette de l'huile sur le feu | GEN X n°9
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LE POUVOIR DE L’INSULTE !
Avec Hollande, les Français avaient cru toucher le fond. Non ! Poussés par des médias serviles, intéressés et superficiels, ils ont creusé et élu l’un de ses lieutenants, qui avait pour seul talent la trahison envers son mentor. Aujourd’hui, ils peuvent mesurer que la trahison n’est pas un accident de naissance mais le fil conducteur du personnage, car c’est la démocratie, c’est-à-dire le peuple qui est trahi d’une manière insultante par l’occupant de l’Elysée. On reconnaît souvent les dictateurs à leur goût pour les actions nocturnes : effectivement, Macron a promulgué la loi honnie par une large majorité des Français durant la nuit qui a suivi sa validation partielle par le conseil constitutionnel. L’obsession de tourner la page l’a conduit à un passage en force qui continue une série d’instrumentalisations des textes pour les vider de leur esprit.
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La victoire et le malaise
Vincent Trémolet de Villers
C’est une victoire politique indiscutable et pourtant elle a un goût amer. Peut-être parce que la sage décision du Conseil constitutionnel ne dissipera pas le malaise qui traverse le pays. Elle ne fera malheureusement pas disparaître les cortèges, les casseurs, les banderoles syndicales. La défiance est là et ne va pas s’évaporer par enchantement. Et puis quel gâchis collectif ! On est pris d’une sorte de vertige quand on mesure tout ce que ce psychodrame laisse derrière lui.
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Réforme des retraites : 74% des Français prêts à signer pour le référendum d'initiative partagée déposé par 252 parlementaires
La demande de référendum d'initiative partagée déposée par 252 parlementaires sera examinée par le Conseil constitutionnel, rapporte BFMTV. Si celle-ci est jugée recevable, les opposants à la réforme des retraites devront réunir les signatures d'au moins un dixième des électeurs inscrits, soit 4,8 millions de Français. Cette double décision est très attendue, car elle déterminera si le recul de l'âge légal de départ à la retraite sera soumis au vote des Français.
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Panique à Macropolis, par Camille Galic
« De l’isolement à l’impuissance : Macron, retraité à 45 ans ? ». Cette manchette, assez cruelle il est vrai, du Point (du 23 mars), aurait mis en rage l’Élyséen qui ne s’attendait pas à une telle attaque de la part de ses potes François Pinault et Bernard-Henri Lévy. Mais sans doute ceux-ci ont-ils été déçus par le « Mozart de la finance », qui nous accule à une crise économique et sociale sans précédent et coagule contre lui tous les antagonismes, au-delà des divergences partisanes et même des frontières comme la conduite de Grenoble que viennent de lui infliger les Bataves lors de sa visite d’Etat aux Pays-Bas.
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La république en son Conseil
14 avril, à l'heure matinale où ces lignes sont écrites, la France officielle reste dans l'attente d'une décision du soir que doit rendre le Conseil constitutionnel.
Disons d'emblée que l'exaspérante appellation de "Sages" pour désigner les personnages composant cet aréopage factice relève de la dérision et, plus encore de l'imposture.
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Ce ne sont pas les immigrés qui sauveront le système de retraites
Dans un dossier consacré à l’immigration, L’Incorrect laisse la parole au syndicaliste chrétien Joseph Thouvenel, qui dénonce quelques lieux communs :
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L’inflation alimentaire hors de contrôle en France.
Voici l’essentiel de ce « tweet » qui résume parfaitement un article du Parisien qui revient sur une enquête de l’IFOP.
Les données sont catastrophiques.
Que le pouvoir se rassure.
Il peut toujours matraquer.
Il peut passer en force des réformes à coups de 47.2 et autre calibre 49.3.
Ce sera difficile. Ce sera compliqué, mais cela passera.
Mais que le pouvoir s’inquiète.
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À la recherche du syndicalisme perdu
C’est un aspect mal connu et souvent caricaturé de l’histoire du syndicalisme français que nous présente Didier Favre dans son riche ouvrage consacré au mouvement des « Jaunes » : « Les Jaunes, un syndicalisme tricolore » (La Nouvelle Librairie). Si ce terme revêt aujourd’hui une connotation purement péjorative servant à qualifier les « briseurs de grève », il désignait au début du XXe siècle une tentative de création d’un syndicalisme « non-révolutionnaire » fondé sur le patriotisme et la collaboration de classes.
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La Révolution française, cauchemar social pour les travailleurs ?
Me voici encore une fois à fouiller dans la malle aux écrits « anciens », dans le cadre de la réédition de quelques textes qui me semblent utiles pour saisir le combat royaliste social et le valoriser en cette période de crise politique et de mouvements de rue (à défaut d’être de lycée ou d’université, voire d’usine…) : j’ai pu constater qu’il y avait une vraie demande d’information (et de formation…) parmi nombre des contestataires de la réforme Borne-Macron des retraites et de sa mesure emblématique du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, et il est bien dommage, tout compte fait, que la Gauche et ses extrêmes cherchent à monopoliser une lutte sociale qui, en définitive, pourrait bien ne pas leur appartenir… Voici donc un texte « royaliste social » initialement publié au printemps 2016, et qui me semble répondre à quelques interrogations historiques mais aussi contemporaines…