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POUR EN FINIR AVEC LA CLASSE MOYENNE (ou pourquoi personne ne peut blairer les profs)
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Salaires minables. Plus de 100 % de charges sociales
Les salariés se rendent rarement compte du poids de la « solidarité », du prix ou du coût de la « sécurité sociale ».
A gauche, on aime parler de salaire « différé ». C’est une belle invention sémantique pour parler de charges sociales qui pèsent sans aucun doute sur le niveau des salaires, et c’est un niveau de charges et de prélèvements qu’il important d’interroger.
Le service rendu vaut-il l’argent pris, taxé tous les mois sur ceux qui travaillent pour de moins en moins…
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L’accès à la retraite : pour certains, l’alpha et l’oméga de leur existence
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés cliquez ici.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
« Dans le passé, pour l’immense majorité de la population, le travail était une fierté et à ce titre, on craignait surtout d’être dans l’incapacité de travailler et de devenir une charge pour ses proches…
On respectait alors le travailleur… et on méprisait ou plaignait celui qui ne travaillait pas »Le débat sur les retraites s’enlise dans une cacophonie entre ceux qui estiment qu’il ne faut rien modifier et ceux qui affirment qu’il est urgent d’allonger la durée du travail pour éviter la faillite du système… Qu’en pensez-vous ?
Ce n’est pas tout à fait exact : tout le monde admet, peu ou prou, qu’il faille modifier le régime des retraites, à l’évidence, mais… pour les autres ! C’est comme pour les impôts ; tout le monde se plaint d’en payer trop – impôts directs ou indirects –, enfin surtout d’en payer trop par rapport à untel ou untel qui n’en payerait, lui, pas assez ! Et donc, que les autres travaillent plus longtemps, tout le monde est d’accord… à condition qu’on ne touche pas, surtout pas, à sa propre durée de travail.
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Retraites. Et si nous changions absolument tout sans tenir compte des boomers ? [L’Agora]
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Retraites. Et si nous changions absolument tout sans tenir compte des boomers ? [L’Agora]
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Retraites : 10 éditorialistes « influents », dont Nathalie Saint-Cricq (France télévision) son fils Benjamin Duhamel (BFMTV), ont été reçus secrètement par Emmanuel Macron à l’Élysée, avec un objectif : influencer discrètement l’opinion
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[La Chronique Agora] Les petits contribuables restent les souffre-douleurs de Bercy
Retraites, CICE… l’un des principaux enjeux de ces réformes, c’est leur financement. Mais qu’est-ce qui coûte vraiment un « pognon de dingue » à l’Etat ?
En marge du débat sur les retraites où l’enjeu financier des « grands équilibres » se joue à 10 ou 12 Mds€ près (et encore, ce ne sont que quelques scénarios parmi d’autres), les aides d’Etat aux entreprises – comprenez, les grandes, celles qui sont cotées en Bourse – donnent le vertige.
Des économistes opposés à la réforme des retraites citent des montants qualifiés de « pognon de dingue » distribués chaque année aux grandes entreprises, ce qui leur permet d’optimiser leur bilan et de gâter leurs actionnaires avec des dividendes plus généreux.
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La Sécurité sociale déconventionne deux centres de santé en Île-de-France, l’un au Blanc-Mesnil (93), l’autre à Trappes (78), pour pratiques frauduleuses ; le montant du préjudice s’élève à 1,5 million d’euros
L’Assurance maladie a décidé de déconventionner pour une durée de cinq ans, deux centres de santé au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) et à Trappes (Yvelines). Elle leur reproche “d’avoir établi de fausses facturations”.
Deux centres de santé dentaires ou ophtalmologiques, situés dans à Trappes (Yvelines) et au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), ont été déconventionnés par la Sécurité sociale pour des pratiques frauduleuses, a annoncé dimanche 22 janvier la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) à l’AFP, confirmant une information du journal Le Parisien.
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Salaires non payés, absence de congés, chantages… l’exploitation des migrants illégaux sur les chantiers des JO 2024 rappelle tristement les abus au Qatar
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Retraites : comment le RN compte se faire entendre…
« Notre combat se situe dans l’Assemblée nationale. » Ce mantra, répété et diffusé par les élus du RN dans l’ensemble des médias, a été le cap du RN alors que la réforme des retraites et son cortège de colère se profilaient à l’horizon. Soucieux de garder l’image d’un groupe d’opposition responsable et constructif, soucieux de participer à l’effort du perchoir de ne pas « laisser l’Assemblée se transformer en ZAD », pour reprendre les mots de la présidente Braun-Pivet, le RN était catégorique : leur place n’était pas prioritairement dans la rue mais bel et bien dans l’Hémicycle.