« Plutôt qu’aux locataires et squatteurs, attaquez-vous à la crise du logement !
Une proposition de loi « visant à protéger les logements contre l’occupation illicite » sera débattue à la fin du mois de novembre. Elle pénalise en réalité les mal-logés, s’alarment des associations.
Chaque soir, le 115 refuse un hébergement à plus de 6 000 personnes, dont 1 700 enfants.
Etre pauvre ou mal logé n’est pas un crime ! Programmée pour la fin du mois de novembre, une proposition de loi envisage pourtant de durcir comme jamais la pénalisation des personnes « squattant » un logement ou un immeuble vacant, mais aussi les locataires en difficulté et menacés d’expulsion… »