culture et histoire - Page 3
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Aux origines de l'archéologie, avec Jean-Paul Demoule
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Hommage à René de La Tour du Pin
René de La Tour du Pin, durant toute sa vie, s’est attaché à construire une doctrine sociale visant à restaurer une manière de vivre où le citoyen reprendrait ses pouvoirs usurpés par la République. Le travail, disait-il, « n’a pas pour but la production des richesses mais la sustentation de l’homme, et la condition essentielle d’un bon régime du travail est de fournir en suffisance d’abord au travailleur, puis à toute la société, les biens utiles à la vie ». Ah Monsieur de La Tour du Pin si vous saviez…
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Effondrement du niveau. « Ils ne savent même pas faire un copier-coller »
« Ils ne savent même pas faire un copier-coller » : les professeurs tirent la sonnette d’alarme sur les nouvelles générations.
“Le monde numérique évolue à une vitesse fulgurante, mais les compétences informatiques des jeunes générations semblent régresser. Des professeurs tirent la sonnette d’alarme face à des élèves incapables d’effectuer des tâches basiques sur ordinateur. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’éducation numérique et l’impact du smartphone sur l’apprentissage. Quelles solutions peuvent être envisagées pour combler ce fossé technologique ?”
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Guillaume d’Orange (William III of England) : un acteur incontournable de l’histoire européenne
Guillaume III d’Orange, connu aussi sous le nom de Guillaume d’Orange (ou de William III outre Manche). est l’une des figures politiques les plus influentes de l’histoire européenne. Né le 4 novembre 1650 à La Haye, il est devenu prince d’Orange dès sa naissance, et a marqué son temps par ses actions politiques, militaires et religieuses. Son règne s’étendit à plusieurs territoires européens, dont les Provinces-Unies, l’Angleterre, l’Écosse et l’Irlande. Il est particulièrement célèbre pour avoir défendu la cause protestante contre les ambitions catholiques de Louis XIV et pour avoir consolidé le pouvoir parlementaire en Angleterre.
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Les « valeurs » de l’oligarchie contre l’être des patries
Heidegger disait qu’invoquer les valeurs était l’attaque la pire qu’on puisse faire contre l’être. On invoque des valeurs pour justifier un projet de destruction. Par exemple, invoquer les valeurs pour justifier l’immigration illimitée est vouloir la mort d’un peuple tel qu’il est.
C’est au nom de valeurs comme l’égalité qu’on a utilisé la guillotine ou qu’on a fait des purges meurtrières. Les valeurs servent de justification hypocrite pour masquer la haine à l’égard de l’être. C’est l’arme préférée des Pharisiens contre le Christ. Il est accusé d’avoir attaqué les « valeurs » des prêtres juifs de l’époque en se prétendant Dieu. C’est au nom des valeurs qu’on demande sa mort au préfet Pilate.
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Honorer nos morts de 14/18, oui, mais ne pas oublier l’Histoire.
Michel Festivi
En cette période de commémoration de l’hécatombe française et européenne, il est important de célébrer nos morts. Il est aussi important de rappeler aux jeunes générations, le passé glorieux de nos aînés qui sont tombés pour la Patrie, mot qui aujourd’hui est bien passé de mode, et qui ne représente plus grand-chose pour beaucoup de ceux qui vivent sur notre territoire. Comme vient de le déclarer le nouveau ministre délégué aux Armées et aux Anciens combattants, Jean-Louis Thiériot, « Prenons garde à ne pas dilapider l’héritage laissés par les poilus de 1914 » (Le Figaro du 11 novembre 2024). Prenons garde aussi, à réfléchir et à tirer les conséquences de ces folies meurtrières. Ils sont tombés aussi pour la préservation de nos frontières, ouvertes aujourd’hui à tout va, que penserait le soldat inconnu, s’il revoyait notre pays en 2024 ?
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Un peu d’histoire… au Manoir d’Anjou
par Émilie Marthe
Au cœur de la forêt de Soignes, dans la longue avenue rectiligne de Tervueren, un large portail dont la grille donne accès, entre deux piliers portant chacun un lampadaire couronné de fleurs de lys dorées, à la demeure d’exil de nos Princes, le Manoir d’Anjou. C’est Philippe VIII qui l’a acquis à la mort de Léopold II de Belgique survenue à la fin de l’année 1909. Pourquoi ce nom me direz-vous ? Il renvoie à « la délicieuse province qui, depuis Philippe-Auguste jusqu’au frère de Louis XIV, tige de la Maison de France actuelle » – que suit avec ardeur, respect et conviction l’Action française depuis les écrits de Charles Maurras –, « lequel en porta le titre avant celui d’Orléans, a été l’apanage de tant de princes de la famille royale », ainsi que l’indique René Brécy dans son article paru dans l’Almanach 1936 d’Action française.Rappelons ici que René Brécy est le nom de plume d’Eugène Langevin, grand critique d’art cotentinois, ayant rédigé de nombreux textes pour le journal L’Action française entre 1931 et sa mort.
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Origines et héritages antiques de l'Europe, avec Violaine Sébillotte Cuchet
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Histoire du goulag soviétique : les îles Solovki
Au lendemain de la révolution d’Octobre 1917, le monastère orthodoxe des îles Solovki, en mer Blanche, est vidé de ses religieux. C’est ce lieu sacré pour les orthodoxes qui est choisi pour servir de terrain d’expérimentation aux principes d’organisation du Goulag : un endroit clos, isolé, éloigné, soumis à des conditions climatiques extrêmes.
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Pie XII, la diplomatie du silence ? avec Frédéric Le Moal