par Boris Egorov
L’empereur français Napoléon Bonaparte était un dur à cuire pour ses ennemis. Peu de généraux ont voulu prendre le risque de faire face à sa Grande armée en terrain découvert, et les commandants russes ne faisaient pas exception. Jusqu’à la bataille de Borodino, ils ont évité une bataille frontale, permettant aux troupes françaises de traverser le territoire du pays et de s’enliser dans le centre de la Russie.