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l'information nationaliste - Page 2808

  • José Antonio et le national-syndicalisme 2/2

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    [Ci-contre : José Antonio Primo de Rivera (1903-1936). Jeune avocat, il entre en politique pour défendre la mémoire de son père, le dictateur déchu. Tout d’abord favorable à la République, quelque peu influencé par le fascisme italien, mais d’une façon totalement idéaliste, il fonde la Phalange espagnole en octobre 1933]

    Prolégomènes de la guerre civile

    En décembre 1935, les Cortès sont dissoutes, à l'issue de la septième crise ministérielle de l'année. En vain, José Antonio tente de rompre l’isolement de son mouvement. Des envoyés phalangistes discutent à plusieurs reprises avec le leader syndicaliste-révolutionnaire Angel Pestana. D'autres entrent en contact avec Juan Negrin, un des principaux représentants de la fraction non-marxiste du parti socialiste. Mais ces négociations répétées n'aboutissent à aucun accord. À la veille des élections de février 1936, obsédé par l'éventualité d'une seconde révolution socialo-marxiste — après la tentative manquée d'octobre 1934 — José Antonio suggère la création d'un large front national. Proposition sans lendemain ! L’échec des pourparlers — cette fois avec des dirigeants de droite — laisse la Phalange en dehors du Bloc national, coalition comprenant les conservateurs-républicains, les démocrates-chrétiens, les monarchistes, les traditionalistes carlistes, les agrariens et les divers modérés de droite. Cinq mois plus tard, ce Bloc national constituera l'essentiel des forces civiles qui soutiendront le soulèvement militaire.

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  • Sur Boulevard Voltaire, passe sanitaire et UE : Nicolas Bay sans détour !

    Le vice-président du groupe Identité et Démocratie au parlement européen et ancien secrétaire général du RN Nicolas Bay est revenu sur l'opposition de son parti au passe sanitaire à l'échelle nationale et européenne.

     

  • En France, les traître à la patrie sont toujours les mêmes.

    Et, dans la nouvelle tragédie migratoire qui s’annonce à partir de l’Afghanistan, nous retrouvons les acteurs habituels de la trahison : les intellos autoproclamés, les « cultureux » en mal de reconnaissance , la plupart des médias et les maires de gauche. La traditionnelle ANTI-FRANCE qui, depuis la chute de Kaboul, dimanche 15 août, donne de la voix ou se montre sur tous les écrans, dans toutes les radios et les colonnes de tous leurs journaux pour exiger du gouvernement la mise en place d’un pont aérien (l’Afghanistan n’a aucune frontière maritime) et l’accueil des centaines de milliers de citoyens Afghans qui veulent quitter leur pays.

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  • 28 juillet 1794 : thermidor

    François Furet, récemment disparu, dénonçait dans un livre stimulant, Penser la Révolution française, la « logique manichéenne » et le « catéchisme révolutionnaire » de ceux qui veulent réduire l'histoire de la Révolution à un affrontement entre les bons et les méchants, les forces du Bien et celles du Mal. Il en va de la Révolution française comme de toute autre période de l'Histoire : la réalité historique ne se plie pas aux dogmes, de quelle que nature et de quelles qu'origines qu'ils soient. C'est donc en laissant de côté les simplismes que l'on peut espérer tirer de l'Histoire quelque enseignement.

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  • Un livre qui devrait faire grand bruit : le couple Macron mis à nu !

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    Tant qu’on est tous les deux, livre de Gaël Tchakaloff, à paraître le 25 août prochain, devrait faire figure de choc éditorial en la rentrée, puisque nous proposant une immersion dans l’intimité du couple présidentiel. Comme toujours, il s’agit d’un ouvrage rédigé par une proche ayant excipé de sa position privilégiée pour ensuite raconter quelques petits secrets avant d’être répudiée par la cour.

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  • AFGHANISTAN : LA DÉROUTE DES DÉMOCRATIES ! (II)

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    La guerre selon charlie Wilson est un excellent film américano-allemand réalisé  par Mike Nichols. Son “héros” a suscité le soutien décisif des Etats-Unis aux “combattants de la liberté” afghans contre les Soviétiques. Sa conclusion était lucide : “c’est toujours comme ça avec nous : on vient avec nos idéaux, on change le monde et puis on s’en va.  Le manège n’arrête pas de tourner… ” Effectivement, les Américains sont allés en Afghanistan d’abord avec leurs armes et l’argent de leur allié saoudien. Ils avaient des intérêts plus que des idéaux, à savoir mettre les Soviétiques en difficulté. Ils ont laissé le chaos tribal s’installer après la chute du gouvernement communiste, se sont félicités que des musulmans purs et durs formés par leurs alliés pakistanais, les Talibans, mettent de l’ordre en établissant la charia, c’est-à-dire le totalitarisme islamique dans l’ensemble du pays.

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  • L’appel de Cassandre pour les manifestations du samedi 21 août

    Voici le message diffusé par Cassandre Fristot à l’attention de tous ceux qui se préparent à participer aux manifestations du samedi 21 août 2021 pour la défense de nos libertés fondamentales à l’heure où 43 % des Français estiment que la France est devenue une dictature.

    https://www.medias-presse.info/lappel-de-cassandre-pour-les-manifestations-du-samedi-21-aout/145663/

  • Meurtre d’un prêtre français par un clandestin rwandais : la faillite de la république, par Robin de La Roche.

    On sait depuis 230 ans que la république n’aime pas les catholiques. On sait maintenant avec certitude qu’elle n’aime tout simplement pas les Français.

    Que voulez-vous ? La république – surtout française – est universaliste. Il lui est impossible de préférer les siens aux autres. C’est même cette fameuse “préférence nationale”, qui paraît absolument évidente pour tout un chacun – et est appliquée un peu partout dans le monde de la manière la plus naturelle – qu’elle a en horreur. La Res Publica version Grand Orient est Publica jusqu’à l’extrême : en gros, n’importe qui dans le monde peut s’en revendiquer.

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  • José Antonio et le national-syndicalisme 1/2

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    [Ci-contre : José Antonio Primo de Rivera (1903-1936). Jeune avocat, il entre en politique pour défendre la mémoire de son père, le dictateur déchu. Tout d’abord favorable à la République, quelque peu influencé par le fascisme italien, mais d’une façon totalement idéaliste, il fonde la Phalange espagnole en octobre 1933]

    Le 29 octobre 1933, deux mois après la chute du gouvernement de centre-gauche de Manuel Azana, trois jeunes gens organisaient au Théâtre de la Comédie de Madrid un meeting qualifié vaguement d’« affirmation nationale » : un héros de l'aviation, Julio Ruiz de Aida, un professeur de droit civil, Alfonso Garcia Valdecasas, et un jeune aristocrate, espoir du Barreau madrilène, José Antonio Primo de Rivera. L'histoire devait retenir cette réunion, retransmise par radio mais passée pratiquement inaperçue dans la presse, comme acte de fondation de la Phalange espagnole.

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  • Clichy : le tribunal exige le relogement des migrants clandestins

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    Privilégier « l’autre », favoriser l’étranger plutôt que les siens semble être devenu l’impitoyable doxa des institutions républicaines françaises. Ainsi, le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a demandé la semaine dernière à la municipalité de Clichy de reloger en urgence des migrants en situation irrégulière qui avaient été évacués d’un immeuble insalubre.

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