De Bernard Antony :
Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, a eu simultanément la bonne idée de s’inquiéter de la progression de l’islamo-gauchisme universitaire et la mauvaise de ne vouloir l’identifier que dans la « recherche ». Elle a ainsi absurdement demandé au CNRS d’enquêter sur ce phénomène.
En effet, d’une part, ce n’est pas que dans la « recherche » que l’université est gangrénée, de l’autre le CNRS n’est vraiment pas l’institution la plus épargnée par la subversion de sa finalité à des fins révolutionnaires.