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Affaire Méric : la police a-t-elle cherché un effet Carpentras ?

Le 5 juin dernier, Clément Méric, brillant étudiant à Sciences Po et militant antifasciste, âgé de dix-neuf ans, succombait aux coups que lui avait portés au cours d’une bagarre de rue un jeune homme d’un an son aîné, Esteban Morillo, membre du groupe d’extrême droite Troisième voie.

Au lendemain de ce drame, des manifestations se déroulaient un peu partout en France aux cris de « Pas de fachos dans les quartiers, pas de quartier pour les fachos » et le Premier ministre en personne déclarait dès le 8 juin devant l’Assemblée nationale qu’il entamait une procédure d’interdiction contre Troisième voie et leur bras armé, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires. Samedi dernier, les « antifa » rendaient de nouveau hommage à leur mort et des casseurs infiltrés dans leur sillage en profitaient pour vandaliser une fois de plus quelques magasins qui n’en pouvaient mais.

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