PARIS (NOVOpress) - Aucune occasion n’étant trop belle pour flatter leurs électeurs Français de papier, les socialistes n’en perdent pas une. Après le gag de la mutualité (les politiques), après la foire du Théâtre du Rond-Point (les artistes subventionnés), c’est au tour du Sénat d’être le lieu d’un nouveau sketch, mais sous un verni pseudo scientifique cette fois.
Ainsi, le Sénat a accueilli le 1er décembre dernier, une “rencontre” sur le thème “France/Maghreb”, sous le haut patronage du président du Sénat le socialiste Jean-Pierre Bel, en vue de mettre en avant les apports de l’immigration afro-maghrébine en France.
Mis à part deux noms solides venus se commettre dans une foire étonnante (François Clément, arabisant et historien à l’Université de Nantes, spécialiste de l’Occident musulman médiéval ; et Pascal Boniface, directeur et fondateur de l’Institut de relations internationales et stratégiques), la liste des participants offre le spectacle étonnant du ban et de l’arrière-ban des responsables politiques et associatifs mués en historiens improvisés, et de professeurs d’Université très engagés à gauche.
Selon l’adage bien connu, “qui contrôle le passé contrôle l’avenir”, le Parti socialiste démultiplie les efforts consistant à réécrire l’Histoire de France sous un jour favorable à l’idéologie immigrationniste. Les Français sont-ils prêts à se laisser confisquer leur mémoire ?