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  • Ukraine : Bernard Henri Lévy présente “modestement” sa pièce de théâtre

    Le 7 août 2014, Bernard-Henri Lévy était invité sur la chaîne ukrainienne “Chanel 1″. Dans un entretien de 20 minutes, le philosophe était interrogé sur sa rencontre avec Petro Porochenko le 7 août, ainsi que sur sa pièce “Hôtel Europe” et sa lecture à l’Opéra National d’Odessa le 8 août 2014.

  • 10 % DES OEUVRES DU MOBILIER NATIONAL ONT DISPARU !

    Elysée, ministères, assemblées, ambassades, préfectures et autres administrations abritent des œuvres d’art et du mobilier d’époque. 307 000 objets prêtés par l’Etat à l’Etat pour orner l’intérieur de ses bâtiments officiels. La Cour des comptes rapporte la “disparition” pour l’année 2012 dans les résidences présidentielles, de 32 œuvres (déposées par les musées nationaux) et de 625 meubles (du Mobilier national). L’horloge Boulle au Château de Maisons-Laffite, le dessin de Dufy au musée de Marseille, le Miro à l’ambassade de France à Washington ? « La République » du sculpteur Alexis André ? Disparus !
    dispatitionParmi les ministères où ces étranges disparitions ont eu lieu, on note les ministères économiques et financiers, où 408 œuvres sur 1128 ont disparu, soit 36,2 %. Mieux encore : au ministère de l’Education nationale, 39 % des trésors se sont volatilisés, et au ministère de la Défense, 41,9 %. Certains objets ne sont pas vraiment volés mais vont agrémenter la maison d’un ancien ministre et seront récupérés éventuellement quelques années plus tard, s’ils le sont… Il n’existe en fait pas d’inventaire complet, ce qui autorise toutes les fantaisies. A l’Elysée, il n’y a pas d’état des lieux. Les chiens de Sarkozy, qui ont croqué quelques accoudoirs et pissé sur le canapé d’époque ne seront ainsi pas poursuivis…

    Robert Spieler dans Rivarol N° 3152

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/10-des-oeuvres-du-mobilier-national-ont-disparu_113807.html#more-113807

  • Obama et la guerre contre la race blanche en Amérique

    Un représentant (député) américain a fait scandale en Amérique en affirmant qu’en ouvrant les frontières australes et en laissant rentrer la moitié de l’Amérique centrale au Texas, Obama et les démocrates menaient une guerre contre les Blancs.   

    Un représentant (député) américain a fait scandale en Amérique en affirmant qu’en ouvrant les frontières australes et en laissant rentrer la moitié de l’Amérique centrale au Texas, Obama et les démocrates menaient une guerre contre les Blancs. Les minorités votent outrageusement pour les démocrates là-bas. Le représentant en question a ajouté que le pouvoir ignore même que les différentes communautés, la blanche comme la noire ou l’indienne, voulaient que l’on fermât les frontières et que l’on ne fît pas entrer tout le monde au pays du rêve américain.

    Mais le rêve américain sous Obama, comme le rêve français de notre élite, c’est justement de faire rentrer tour le monde. Remarquez que l’on peut aussi sortir si la situation devient trop euphorisante. Car les mêmes qui veulent la guerre contre la Russie désirent l’ouverture de toutes les frontières pour favoriser le Grand Remplacement. Ils savent au moins ce qu’ils veulent.

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  • Vian Dakhil , la députée irakienne qui avait fait la une en défendant son peuple, survit au "crash" de son hélico (Add.)

    A suivre...

    Pour mémoire, le fameux playdoyer qui finit dans les larmes.

    En VO iciiciici : la députée figurerait au nombre des 20 blessés, tandis que le pilote aurait été tué. Parmi les autres blessés : Alissa J. Rubin, 56 ans, chef de bureau du New-York Times de Paris.

    Le Salon Beige

  • L’Irak, les Américains, la France, et le double langage

    Que remarque-t-on ? Que ce soit au Kosovo, en Afghanistan (où ils ont promu Al Qaïda avant de le pourchasser), ou en Syrie, partout les Américains instrumentalisent l’Islam au gré de leurs besoins. Alors que sous la présidence de Jacques Chirac la France savait encore manifester une certaine indépendance vis-à-vis des Américains, depuis la présidence de Nicolas Sarkozy, elle s’est complètement assujettie.

    Les USA séparés par les océans des zones de conflit qu’ils suscitent savent qu’en agitant l’Islam ils atteignent l’Europe, la Russie et même la Chine en prise avec les ouïghours. De quoi réduire à néants, espèrent-ils, les velléités d’indépendance financière des pays qui en ont assez de cracher au bassinet pour soutenir le dollar et l’économie américains. La pression permanente au Moyen-Orient musèle et asservie l’Europe;  envahie d’immigrés du monde musulman, celle-ci est tenue éloignée d’une alliance avec la Russie, dont le berceau naturel est l’Europe… La politique du chaos est la bouée de sauvetage dont se servent sans modération les USA pour sauver leur économie qui aurait dû sombrer depuis longtemps. 

    Un langage musclé..

    Sur ce sujet le député UMP et soutien inconditionnel de Nicolas Sarkozy, Claude Goasguen, vient de donner une Interview à BFMTV qui est intéressante à double titre, d’une part pour certaines vérités, d’autre part, au titre du double langage qui est la rhétorique habituelle de nos élites politiques: un langage pour la politique extérieure et un langage différent pour la politique intérieure.

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  • Il n'y a plus de bon père de famille en France

    Et donc plus de bonne mère de famille... Ainsi en a voulu la loi sur le refus de la différence, l'égalité des hommes et des femmes, cette pseudo valeur républicaine qui nie la réalité voulue et construite par Dieu.

    Pauvre France de pauvres hères...

    Le Salon Beige

  • Le trésor (bien) caché des communistes français : l’affaire Gifco

    Après Urba, le Gifco, bureau d’études proche du Parti communiste français (PCF). Une dizaine d’enquêtes pénales, totalisant quarante années d’instruction, ont tourné autour de la citadelle, sans jamais pouvoir établir, à l’instar d’Urba et du PS, l’équation Gifco=PCF. « Le parti est organisé comme si la police allait débarquer le lendemain », affirme aux enquêteurs le dissident communiste toulousain Charles Llabres. Il faut dire qu’il se sait surveillé notamment par la DST, qui veut identifier les filières de « l’argent de Moscou ». 

         Le Gifco a été fondé après-guerre par d’anciens résistants rompus à la clandestinité, sous l’égide de Jacques Grosman, membre du PCF. Son activité consiste à jouer les intermédiaires entre les entreprises et les municipalités communistes, sous forme « d’assistance commerciale » - décidément. Le Gifco facture ses relations avec les élus. Dans la « banlieue rouge », c’est un intermédiaire obligé pour tout type de fournitures. Ses principaux clients sont Bouygues, la Lyonnaise et la Générale des eaux (CGE). « Ce n’est pas de l’achat de vote, mais du lobbying », justifiera un dirigeant poursuivi, Jean-Dominique Deschamps, directeur adjoint de la CGE : « J’avais besoin d’un messager pour expliquer que la Générale des eaux n’était pas l’ogre dépeint. » Aucune municipalité communiste n’a jamais délégué au privé ses services de distribution d’eau – question d’idéologie. Mais dans les villes non tenues par le PCF, certains de ses élus se sont parfois abstenus. Le rôle du Gifco a pu consister à calmer une minorité communiste agissante, voire le syndicat CGT des agents municipaux, toujours susceptible de se mettre en grève en cas de privatisation de financement politique. La litanie des affaires va mettre en première ligne la « bande à Léo » : des dirigeants du PR qui gravitent autour de François Léotard, et qui enchaînent les responsabilités ministérielles sous les première et deuxième cohabitations. Et surtout les fonds secrets qui vont avec. 

         Le 20 juillet 1995, lors d’une perquisition au siège parisien du PR, le juge d’instruction Eric Halphen découvre un coffre-fort contenant 2,4 millions de francs en liquide. Le trésorier du parti, Jean-Pierre Thomas, lui explique qu’il s’agit d’un reliquat des fonds spéciaux hérités du gouvernement Balladur, où François Léotard occupait le ministère de la Défense et Gérard Longuet le portefeuille de l’Industrie. Les billets sont mis sous scellés. Cherchant à en savoir plus, le juge Halphen se voit opposer le secret-défense. Le jour de sa perquisition, s’il avait poussé la porte du bureau de Renaud Donnedieu de Vabres, bras de François Léotard, il aurait découvert une autre montagne de billets : 5 millions de francs en liquide. Branle-bas de combat. Renaud Donnedieu de Vabres et François Léotard s’activent pour recycler ces 5 millions-là, de peur qu’on ne les saisisse à leur tour. 

         Juin 1996 : mallette en main, Donnedieu de Vabres se rend dans les locaux d’une curieuse banque franco-italienne, le Fondo sociale di cooperazione europa (FSCE), où Serge Hauchart, un autre collaborateur de Léotard, a ses entrées. Contre cette remise en espèces, le PR obtient un prêt bancaire du même montant. Un prêt bidon, puisqu’il n’a pas vocation à être remboursé. Cet échange de mauvais procédés (dépôt non déclaré contre prêt non remboursable) est typique d’une opération de blanchiment, visant à donner une apparence officielle – un prêt – à de l’argent non déclaré – un dépôt. 

         Poursuivis pour blanchiment, Léotard et Donnedieu de Vabres réfutent vivement toute accusation de recyclage « d’argent sale ». Les fonds spéciaux, de l’ordre de 400 millions de francs par an, sont alors distribués à la discrétion du gouvernement, sans contrôle parlementaire. L’essentiel est destiné à financer des opérations secrètes de la DGSE, mais un reliquat d’une cinquantaine de millions de francs est réparti par Matignon à ses ministres favoris. Sous Balladur, Léotard en était. Cet argent n’est pas sale en soi, c’est du bel et bon argent public, distribué en liasses de 500 francs directement sortis de la Banque de France. Mais son usage peut l’être. En l’occurrence, son transfert dans le coffre-fort du PR est contrainte à la loi du 19 janvier 1995, qui interdit aux partis politiques d’être financés par une personne morale. Le législateur pensait essentiellement aux entreprises, mais la loi vise également l’État, dont la mission n’est pas de financer clandestinement les partis au pouvoir. L’argent du PR est donc sale, son recyclage est du blanchiment. 

         François Léotard se défend en invoquant un usage courant : « Des centaines de ministres, des dizaines de Premiers ministres et quelques présidents de la République ont procédé ainsi. » Mais lui seul s’était fait prendre la main dans le sac. En février 2004, il est condamné à dix mois de prison avec sursis, une peine amnistiable dès la prochaine élection présidentielle. Renaud Donnedieu de Vabres écope d’une simple amende de 15 000 euros. Le tarif devait encourager les vocations de porteurs de valises... Pour peu, toutefois, qu’ils aient rang de ministre ou de future ministre. 

    Histoire secrète de la 5ème République, Renaud Lecadre

     http://www.oragesdacier.info/2014/08/le-tresor-bien-cache-des-communistes.html