Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le "génocide par substitution".
Je sors du métro, station Belleville. Belleville, ou ce qu’il en reste. Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le « génocide par substitution ».
Si je suis là, en ce vendredi, c’est pour voir et pour témoigner. Les « prières de rue » – dossier classé au ministère de l’Intérieur – subsisteraient dans le XIe arrondissement. Puisqu’il ne faut rien attendre des médias officiels – seuls Riposte laïque, le Bloc identitaire et quelques blogueurs se sont penchés sur la question –, je me ferai une opinion de visu.