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Le 12 mai vers 22 heures, on apprenait que plusieurs personnes avaient été poignardées dans le quartier de l'Opéra à Paris. A minuit, CNews annonçait que l'attentat venait d’être revendiqué par l'Etat islamique, qu’un jeune homme de 29 ans avait été tué et deux personnes grièvement blessé, et que le terroriste avait été abattu.
Fort d’une trop longue expérience de ce genre d’événement, on pouvait penser que le terroriste était, comme quasiment toujours, une racaille « radicalisée » issue de l’immigration. Eh bien, pas tout à fait cette fois-ci, où l’on a eu droit à une variante, que CNews nous dévoilait le 13 mai à 14 heures : le terroriste, nommé Azimov, était le fils de deux « réfugiés politiques » tchétchènes ; il avait, bien entendu, été naturalisé « Français » en 2010.
En l’occurrence, ce n’était donc pas la démentielle politique d’immigrationnisme de masse qui était à mettre en cause, mais son petit-frère, le droit d’asile républicain, qui consiste à accueillir n’importe qui et à accorder la nationalité française n’importe comment, car, lorsque l’on accorde l’asile politique à des Tchétchènes indépendantistes, comme c’était ici le cas, on doit bien se douter qu’il s’agit d’islamistes qui ne vont certainement pas mettre leurs convictions en sourdine une fois installés en France.
Les « autorités » qui ont ainsi accordé l’asile à des djihadistes et naturalisé leur rejeton sans sourciller devaient donc rendre des comptes maintenant, car c’est leur nullité pleurnicharde qui est responsable du drame d’hier. Jamais de tels individus, par définition dangereux et fanatiques, n’auraient dû être ainsi admis à séjourner en France, et jamais leur fils, fiché « S » comme il se doit, n’aurait dû être naturalisé. On se demande d’ailleurs à quel titre il a obtenu cette naturalisation, car, comme le disait le Front national il y a quelques années, « être Français, ça s’hérite ou ça se mérite » : à quel « mérite » le jeune terroriste Azimov devait-il sa naturalisation ?
CONTRE LE TERRORISME, SEPT MESURES INDISPENSABLES
Mais nous posons ces questions et faisons ces remarques pour la forme, bien entendu, car nous savons très bien que, comme d’habitude, les républicains n’y répondront pas, qui se contenteront de mettre en place des « cellules de soutien psychologique » et vont attendre bien sagement le prochain attentat.
Car pourquoi la République prendrait-elle cette fois-ci les mesures qui s’imposent pour assurer la sécurité des Français, alors qu’elle ne l’a pas fait après les précédents attentats ? Ces mesures sont au nombre de six, que nous avions rappelées dans notre article du 24 mars, et que nous rappellerons une nouvelle fois sans nous lasser, en les complétant par une septième, pour tenir compte de la question du droit d’asile :
1 - rétablissement de la double-peine, lâchement abandonnée par le pitre Sarkozy ;
2 - mise en place d’un contrôle solide de nos frontières ;
3 - mise en œuvre d’une sécurisation sérieuse des rassemblements de foule ;
4 - ratissage intégral des soi-disant « zones de non-droit », lâchement abandonnées par la République aux racailles « radicalisables » ;
5 - réarmement du peuple français, qui fut un grand peuple combattant et dont une large partie ne sait plus, aujourd’hui, ni se battre, ni utiliser une arme à feu (ce qui était évidemment le résultat recherché par la République castratrice) ;
6 - lancement d’une politique d’inversion des flux migratoires, seule capable de rendre au peuple français sa sécurité et le respect de son identité ;
7 - vérification approfondie de la personnalité et des idées des demandeurs d’asile, afin de s’assurer que ceux-ci ne seront pas susceptibles de mettre en danger la sécurité de nos concitoyens.
Tel est, une fois encore, le minimum que nous devons exiger de la part de ceux qui prétendent nous gouverner : il ne faut pas les lâcher !