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  • Matteo Salvini plébiscité pour son courage politique, par Pierre Malpouge

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    « La ligne dure paie », a lancé Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et du gouvernement Ligue-M5S. Après avoir refusé au navire humanitaire Aquarius de jeter l’ancre sur les côtes italiennes et de débarquer les « migrants » qui se trouvaient à son bord, et malgré les rodomontades bien-pensantes et hypocrites des dirigeants européens, à commencer par celles d’Emmanuel Macron, la droite nationale italienne suscite un raz de marée plus que favorable dans l’opinion de la population du pays.

    Ainsi, selon un sondage, 80 % des Italiens, soit l’immense majorité de la population, soutiennent les actions de Matteo Salvini sur la question de l’immigration et sa décision de fermer les ports italiens aux bateaux « récupérateurs » de migrants.

    Par ailleurs, toujours selon ce sondage, environ 30 % des Italiens ont une position radicale et voudraient que tous les migrants soient rejetés. Seuls 20 % des Italiens seraient prêts à accueillir les migrants sans discrimination.

    Mgr Malle, l’évêque de Gap, menace Matteo Salvini de « l’enfer », mais cette politique de fermeté, plébiscitée par le peuple italien, et aussi par la quasi-totalité des organes de presse italiens, est un énorme succès politique pour le leader de la Ligue. Un succès salué notamment en France par le Rassemblement national (ex-FN).

    La complicité de certaines ONG

    Par la voix de Julien Sanchez, ce parti assure qu’« on aurait pris la même décision que Salvini. Accueillir une immigration supplémentaire est irresponsable. On doit maîtriser nos frontières ». Et une partie des Républicains et le parti Debout la France (DLF) ont emboîté le pas au RN. Le porte-parole de Debout la France, Damien Lempereur, invité mardi sur le plateau de RT France, a salué la décision de Matteo Salvini en déclarant que « contrairement à toute la bien-pensance, nous pensons que c’est le bon signal qu’il fait envoyer ». « La solution, a-t-il ajouté, n’est pas d’accueillir toujours plus [de migrants] mais d’aider à développer l’Afrique. » Le porte-parole de DLF a précisé que les pays européens n’avaient pas « vocation à accueillir tous les clandestins qui se dirigent vers nos côtes avec la complicité parfois un peu douteuse de certaines ONG ».

    En renvoyant dans leur but le diktat franco-allemand et la dictature de Bruxelles en matière d’accueil de toute la misère du monde, l’Italie, par l’intermédiaire d’un Matteo Salvini, droit dans ses bottes et homme fort du nouveau gouvernement italien (soutenu par le numéro un hongrois Viktor Orbán et par le chancelier autrichien Sebastian Kurz), annonce la couleur et montre ainsi le chemin à une Europe irresponsable et incapable d’apporter une solution commune et crédible au flux migratoire actuel. Un chemin mais également un message à l’attention des migrants qui dorénavant vont devoir éviter de débarquer ou tenter de débarquer sur les côtes italiennes.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 14 juin 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Le discours de la méthode

    rassemblement-national-300x169.pngLe peuple italien a gagné son premier bras de fer contre  Bruxelles: l’économiste du FMI  Carlos Cottarelli qui entendait sur ordre former un gouvernement technique a  donné sa démission à  Sergio Mattarella qui s’est finalement soumis à la vox populi. Le risque de séisme était trop fort, le président de la République  a finalement validé et accepté le 31 mai la composition du nouveau gouvernement de coalition Ligue/M5S, avec à sa tête le Premier ministre Giuseppe Conte. Une  équipe gouvernementale  qui devra impérativement, dans le régime parlementaire italien, gagner la confiance et bénéficier de l’appui des députés… Elle se compose de deux vice-présidents et de 18 ministres dont sept appartiennent  au M5S et sept à  Ligue.  Notamment son dirigeant, notre camarade Matteo Salvini (Vice-président du Conseil des ministres et Ministre de l’Intérieur), ou encore Lorenzo Fontana, ministre pour la Famille et le Handicap, très attaché à la défense de la famille traditionnelle et à une politique d’accueil de la vie.  Deux  conditions essentielles  selon lui,  pour lutter contre le grand remplacement des Italiens et des Européens…

    En octobre 2016, sur le  site du Point, le politologue spécialiste es FN, Nicolas Lebourg  pointait les convergences de vues existant entre les différentes formations nationales présentes en Europe : « rejet de l’immigration extra-européenne » et de l’islamisme, « revendication d’une démocratie plus directe face à une Union européenne post-démocratique », refus des « mesures anti-russes » et de la diabolisation de Poutine…  « Marine Le Pen a pris le leadership de l’extrême droite en Europe » notait-il et il citait à l’appui de sa démonstration  son confrère Gilles Ivaldi  : « le FN est devenu une boussole de l’extrême droite européenne. Les partis européens alliés du FN ont copié la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen tout en conservant leurs spécificités locales (…)  par exemple (…) l’AfD en Allemagne, parti de la droite, s’est radicalisé pour être plus proche du FN. En Europe, c’est une tradition de se copier entre partis d’extrême droite. »

    Ce qui est surtout de tradition, c’est de coller l’étiquette d‘extrême droite aux  mouvements d’opposition nationale. Pour le reste il est dans l’ordre des choses,  du moins pour une formation ayant de hautes ambitions,   de tenter de rassembler le plus largement possible au delà de son camp. Bref sans s’aliéner son noyau dur, d’entraîner dans son sillage, d’agréger d’autres familles électorales partageant des constats communs, afin de mener idéalement  ses idées au pouvoir.  C’est au nom de cet objectif que la direction du FN avait invité les adhérents frontistes à se prononcer en faveur du nouveau  nom de Rassemblement National, ayant pour vocation de matérialiser concrètement cette volonté là.

    Les résultats des votes  ont été communiqués par Marine lors du Conseil national élargi qui s’est tenu le 1er juin à Lyon dans une ambiance chaleureuse.   Les 53% d’adhérents qui ont répondu à la question posée se sont prononcés  pour le nouveau nom de Rassemblement National à  80,81%. Le RN conserve cependant  la flamme tricolore frontiste, témoin historique des années de lutte et de sacrificesContrairement au Parti communiste français qui a gardé son nom mais a jeté aux orties en 2013  la faucille et le marteau, un  logo trop lourd à porter;   ou  à feu le RPR transformé en UMP puis devenue en un dernier avatar  le parti Les Républicains, qui a  abandonné la croix de Lorraine jugée trop passéiste ( trop en décalage avec  l’euro-atlantisme ). En gardant notre Flamme nationale, nous maintenons nous  un emblème fort identifié par tous les Français.  Un  repère,  un symbole lumineux de résistance aux forces obscures du mondialisme,  gage de changement dans la continuité…

    Ce changement de nom a affirmé Marine vendredi, « ferme un chapitre de l’histoire de notre Mouvement national ouvert il y a un peu plus de 45 ans.  Mais c’est pour mieux en ouvrir un autre qui, je le crois, ne sera pas moins glorieux »,  au moment ou un   peu partout sur notre continent  les « peuples européens  se réveillent. » Ce n’est pas un secret,  Bruno Gollnisch n’était pas convaincu par la nécessité d’abandonner la marque FN :   « tactiquement, ce serait une erreur de changer de nom », « je crois que ce n’est pas un hasard si les marques Dior, Louis Vuitton, L’Oréal sont tellement attachées à leur marque et la défendent bec et ongles (…). Une marque peut focaliser les hostilités, mais elle focalise aussi la fidélité (…).  Le changement de nom du FN ne me parait pas une priorité, bien moins en tout cas que la nécessité pour notre Mouvement d’approfondir nos réflexions, notre programme face aux grands défis et questions du monde contemporain. »

    Cela étant nuançait-il,  « je ne suis pas nominaliste.  Le Front National est un instrument au service de la France. Si le FN devait s’appeler autrement demain, je ne m’attacherais pas l’étiquette mais à la substance. En revanche, si le Front National devait abandonner ses convictions, il cesserait de m’intéresser comme tel même s’il conservait le nom et la flamme. » Il précisait aussi  que  « si dans l’avenir, il y a une novation importante dans la vie politique de notre pays, si nous devons donner le signe fort de quelque chose d’autre, on (pourrait envisager ce changement de nom). Après tout, quand j’ai été élu député en 1986, un certain nombre de mes collègues élus et moi, à l’initiative de Jean-Marie Le Pen, l’ont été dans un cadre qui n’était pas explicitement celui du Front National puisque c’était celui du Rassemblement national… ».

    Rassemblement National qui,  joignant le geste  à la parole,  a tendu la main à Nicolas Dupont-Aignan dès la veille de son baptême officiel   par le biais d’une lettre ouverte écrite par Marine. La présidente du RN lui propose leur présence  aux   deux dernières places d’une liste  commune aux élections européennes de 2019. Liste fédérant toutes les bonnes volontés pour peser plus fortement dans la balance, contrer plus efficacement les euromondialistes.  Alliance   qui a été gage de succès en Autriche, en Italie, en Hongrie :  « Partout l’esprit de rassemblement, la volonté de dépasser les divergences mineures ont prévalu pour rendre possible ce qui était martelé comme étant impossible.» « Je te propose en conséquence de nous rencontrer dans les plus brefs délais afin de travailler à une charte commune qui établira les priorités et les mesures essentielles pour transformer l’Union européenne en une Europe des Nations, des coopérations et des libertés. »

    Invité hier  de l’émission Dimanche en politique sur France 3, le président de DLF a accueilli assez tièdement  cette  proposition d’alliance: « Je prends mes responsabilités et je ne vais pas me dérober. Je dis à Marine Le Pen très clairement que sa proposition, même si ça part peut-être d’une bonne intention, n’est pas du tout à la hauteur de l’enjeu historique qui est devant nous (…). C’est une question de cuisine politicienne qui ne m’intéresse pas (…). Elle m’a écrit une lettre que j’ai lue dans la presse (…).  Une lettre alors que son bureau est quasiment juste en face du mien à l’Assemblée nationale. J’aurais aimé qu’elle vienne m’en parler, mais qu’importe la forme. » « J’ai entamé une action, il y a un an, les Amoureux de la France. Nous, on veut une démarche sérieuse, on part du projet. Une fois que ce projet sérieux sera élaboré (avant l’automne)  je l’enverrai à tous les responsables politiques qui disent combattre M. Macron et l’abandon de la France: Marine Le Pen, Laurent Wauquiez. » «Mme Le Pen, à ce moment-là, j’espère qu’elle aura travaillé de son côté, qu’elle aura clarifié sa position, parce que je ne la connais pas, sur l’euro notamment. J’espère que M. Wauquiez aura clarifié sa position et je leur dirai unissons-nous tous ensemble. »

    Et peut-être pour   que sa réticence ne soit pas perçue comme de la pusillanimité ou de la frilosité, M. Dupont-Aignan a ajouté: «Personne ne fera passer, et notamment aux yeux des électeurs du Front National, que je puisse être un diviseur, parce que, s’il y a un type qui a été courageux, qui a franchi le pas, c’est moi. En revanche, ce n’est pas parce que j’ai franchi le pas, que j’ai été d’une loyauté parfaite, que j’accepterai de partir aux européennes sur un programme bancal, pas clair. »

    On peut juger le verre à moitié plein ou à moitié vide mais notons pour notre part que Nicolas Dupont-Aignan qui en toute logique, entend marquer son territoire et peser dans la recomposition à venir,  a laissé clairement  la porte ouverte à un accord, à une  alliance avec les nationaux. Rassemblement  qu’il entend comme nous élargir à tous les électeurs, élus , cadres souverainistes, eurosceptiques et antibruxellois attachés à l’identité française, notamment ceux   qui  gravitent encore dans l’orbite de LR.

    D’autant qu’à écouter  celui dont Marine entendait faire son Premier ministre en cas de victoire à la présidentielle, les points d’accord, y compris dans la méthode, nous l’avons vu, sont évidents. Invitée du  Grand Jury sur RTL et LCI,  Marine Le Pen  a précisé la clarté et la cohérence de sa démarche. Point de mauvaise cuisine:  « les manœuvres politiciennes, ça aurait été si nous étions allés tous les deux dans mon bureau à l’Assemblée, ou dans le sien, pour discuter des places de ceci, de cela. » Et de  rappeler qu’elle avait   « entendu (M. Dupont-Aignan)  dire qu’il fallait tous nous mettre autour d’une table pour parler du fond. Et compte tenu du peu de temps qu’il nous reste, c’est le moment de le faire. C’est ce que je lui ai proposé de faire par l’établissement d’une charte.» « (J’ attend)  avec grand intérêt de voir le projet Nicolas Dupont-Aignan », sachant que  «l’euro faisait partie des sujets communs de la présidentielle. »

    L’enjeu est trop décisif, il en va du devenir de la  France française qui va se jouer définitivement dans les deux décennies à venir, pour que nous puissions imaginer que cette nécessaire recomposition politique autour d’un projet national, alternatif,  puise achopper sur des querelles d’égos, des considérations boutiquières, la paresse intellectuelle, la soumission aux ligues de vertu. Les Français les plus lucides, nos amis Européens, tous ceux qui par le monde attendent encore de grandes choses de notre pays,  ne nous le pardonneraient pas.  A chacun des prendre ses responsabilités, en toute conscience, ici et maintenant, l’Histoire ne repasse pas les plats. 

    https://gollnisch.com/2018/06/04/le-discours-de-la-methode/

  • Les ONG, ces négriers des temps modernes

    La fondation Gefira a enregistré pendant 2 mois les déplacements des bateaux des différentes ONG récupérant des immigrés. Ces ONG vont chercher les migrants au plus près des côtes libyennes. Aucune intervention n'a lieu en pleine mer...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'Italie, problème ou solution de l'Europe ?

     L'Italie ferme ses ports à l'Aquarius, le bateau qui porte secours aux migrants

    Par Eric Zemmour

    Le Figaro magazine dans sa dernière livraison [8.06] a publié cette chronique d'Eric Zemmour qui pose les vraies questions et y apporte de justes réponses. A preuve cette interrogation : « Un pays peut s'inquiéter de la révolution « populiste » italienne : c'est l'Espagne. Qui va remplacer Lampedusa ? Cadix ? Malaga ? ». Au soir où nous écrivons, il semble que ce devrait être Valence... Alors, une révolution populiste, bientôt, en Espagne aussi ?  LFAR

    La situation en Italie est révélatrice de tous les atermoiements de l'Union.

    « Le bon temps pour les clandestins est fini ; préparez-vous à faire les valises.» Le patron de la Ligue, Matteo Salvini, a le sens de la formule qui fait mouche. Ce n'est pas un hasard s'il a choisi le poste de ministre de l'Intérieur, laissant à ses alliés du mouvement M5S les ministères sociaux. À ce poste, on peut encore montrer qu'un État déterminé a les moyens d'agir. Encore faut-il qu'il le soit.

    C'est toute la question posée par l'affaire italienne. Celle de la légitimité démocratique est derrière nous. Elle s'est réglée par un compromis à l'italienne: les vainqueurs des élections ont renoncé à « leur » ministre des Finances europhobe ; le président de la République italienne et les milieux européens de Bruxelles qui le soutenaient ont renoncé à empêcher une majorité «populiste» de gouverner. 

    « On croit toujours en France que l'immigration est un phénomène qu'on ne peut maîtriser, une sorte de fatalité qu'on doit subir. C'est faux »  Éric Zemmour

    Désormais, c'est à Salvini de jouer. D'abord parce que l'immigration fut le thème qui l'a porté au pouvoir. Ensuite parce qu'il doit montrer qu'il peut expulser massivement les clandestins (il a promis 500.000 renvois) et arrêter la déferlante migratoire sur les côtes italiennes. Salvini s'en est déjà pris aux ONG qui, sous couvert d'humanisme, sont les complices des passeurs. Il devra utiliser la marine italienne non pour sauver les migrants mais pour les arrêter, voire détruire leurs barques. Il devra enfin tenir tête aux juges européens qui ne manqueront pas de dénoncer des pratiques contraires aux « droits de l'homme ». Osera-t-il ? Il devra aussi faire pression sur les pays de l'autre côté de la Méditerranée - Tunisie, Maroc et, au-delà, les autres pays d'Afrique pour qu'ils reprennent leurs ressortissants. Au temps de Ben Ali en Tunisie et de Kadhafi en Libye, ces pays bloquaient les migrants pour qu'ils ne se déversent pas sur l'Europe - preuve que c'est possible. L'Algérie n'hésite pas à renvoyer brutalement les migrants qui essayent de s'installer chez elle.

    On croit toujours en France que l'immigration est un phénomène qu'on ne peut maîtriser, une sorte de fatalité qu'on doit subir. C'est faux. Les mouvements démographiques sont une guerre qu'on veut gagner ou qu'on accepte de perdre. Comme le note l'historien Pierre Vermeren, le milliard de Chinois pauvres n'a jamais débarqué dans le Japon riche parce que l'État japonais s'est organisé pour qu'il en soit ainsi. Aux États-Unis, depuis l'arrivée de Trump, l'immigration venue du Mexique s'est beaucoup réduite.

    Emmanuel Macron et les dirigeants de l'Europe répètent que chaque nation ne peut rien faire seule et que la question migratoire ne pourra être résolue qu'ensemble. C'est exactement l'inverse. Ensemble, les Européens ont prouvé qu'ils ne font rien. Les États qui l'ont décidé ont bloqué toutes les routes migratoires - la Hongrie en est le meilleur exemple. Et la Pologne montre qu'il est possible d'accueillir une immigration choisie: ils ont accepté des Ukrainiens et refusé les musulmans. Un pays peut s'inquiéter de la révolution « populiste » italienne : c'est l'Espagne. Qui va remplacer Lampedusa ? Cadix ? Malaga ? 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • LONDRES : MOBILISATION POPULAIRE POUR LA LIBÉRATION DE TOMMY ROBINSON

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    Tommy Robinson, journaliste et fondateur de la Ligue de défense anglaise, est incarcéré depuis plus d'une semaine pour avoir diffusé sur son site le compte-rendu du procès d'une bande de violeurs pakistanais. En Grande-Bretagne comme ailleurs, là où les mondialistes sont encore aux affaires tout est bon pour museler les résistances patriotiques.

    Hier après-midi, tout le centre de Londres était en effervescence car les Britanniques se sont rassemblés en masse pour soutenir leur héros. Les forces de répressions ont agressé des manifestants mais cela n'a pas empêché la réussite de ce rassemblement populaire. Pour les patriotes anglais, une seule priorité : la libération immédiate de Tommy Robinson et la levée des sanctions qui pèsent sur lui.

    Chacun sait qu'à Synthèse nationale nous sommes modérément anglophiles. Cependant, nous exprimons notre totale solidarité avec ce combattant qui défend son identité et qui subit la répression des mondialistes au pouvoir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ISLAMISME : L’AUTRICHE AGIT ET LA FRANCE ACCUEILLE !

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    Pendant que la République laïque accueillait 300 imams étrangers pour combler le manque saisonnier de prêcheurs de tolérance concomitant aux ripailles d’un mois de ramadan victime de son succès grandissant, en Autriche, sept mosquées financées par la Turquie ont été fermées et l’expulsion de soixante imams est envisagée.

    « Les sociétés parallèles et les tendances à la radicalisation de l’islam politique n’ont pas leur place dans notre pays », a déclaré Sebastian Kurz. « Ce n’est que le début », renchérit le vice-chancelier et leader du FPÖ, Heinz-Christian Strache. Ça laisse rêveur… Que le jeune chancelier ait ajouté que l’idéologie islamique est, par essence, politique et c’eût été parfait.

    Le gouvernement autrichien réagissait ainsi au scandale suscité par la reconstitution de la bataille des Dardanelles, emblématique dans l’histoire de l’Empire ottoman, au sein d’une des principales mosquées de Vienne, la mosquée des Loups Gris, directement liée à la Direction turque des Affaires religieuses et du nom du groupuscule ultranationaliste prônant le panturquisme. Dans cette bergerie, la reconstitution était interprétée par de jeunes garçons habillés en soldats ; camouflage, saluts militaires, drapeaux turcs et, pour la touche réaliste, des enfants enroulés dans le drapeau rouge et croissant dans le rôle des combattants morts au combat égayaient l’innocent décor.

    Côté Turquie, les cris d’orfraie pathognomoniques du musulman stigmatisé ne se firent pas attendre : « vague populiste, islamophobie, racisme et discrimination »et ceteri et cetera, piaillait le porte-parole du président Erdoğan pour qui, rappelons-le, « les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les croyants nos soldats, cette armée divine garde ma religion »… Et de dénoncer un ciblage de la communauté musulmane, éternelle victime jamais contente, et une décision constituant une « violation des principes légaux universels, des droits des minorités et de la coexistence éthique ». Grandiose : avec des arguments de ce genre, en les poussant à l’extrême, c’est à croire qu’un musulman envoyé seul sur Mars, se sentira opprimé. À ce stade de mauvaise foi « ès taqya« , ce n’est plus l’hôpital qui se fout de la charité, mais carrément la mosquée qui se fout du djihad armé. Hélas, Erdoğan, pour qui l’« assimilation est un crime contre l’humanité », aboie, mais à Vienne, les imams valsent.

    D’Istanbul, en chantre des droits des minorités, celui-ci menaçait encore : « Ces mesures prises par le Premier ministre autrichien sont, je le crains, en train de mener le monde vers une guerre entre les croisés et le croissant. »

    Et pendant ce temps, dans la Ville Lumière, après avoir été une salle de spectacle, puis un lieu de massacre commis par les coreligionnaires de M. Erdoğan au nom de leur idéologie commune, voilà que le Bataclan se transforme en mosquée, une mosquée spectacle, où un prosélytisme en rimes sera éructé par une chance pour la France portant le doux sobriquet du deuxième lieu saint de l’islam (Médine), berceau de l’époque la plus sanglante du parcours pacifiste du prophète de la religion d’amour et de paix. Et c’est ainsi que l’Histoire, petit à petit, risque bien, comme le prophétise M. Erdoğan, de se répéter.

    http://www.bvoltaire.fr/islamisme-lautriche-agit-france-accueille/