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  • L’affaire Mamoudou : vraisemblablement une nouvelle affaire Théo…

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Mardi dernier, notre équipe de réinformateurs a analysé l’invraisemblable mayonnaise médiatique qu’a suscitée l’exploit de Mamoudou Gassama, ce clandestin malien de 23 ans qui a escaladé la façade d’un immeuble du XVIIIe arrondissement de Paris pour porter secours à un enfant.

    Revenons sur cette affaire à la lumière des questions qu’a posé à son sujet André Bercoff, éditorialiste à Sud Radio, lors d’une émission de Cnews, mercredi dernier. Après avoir regretté l’absence totale d’enquête préalable à cet emballement médiatique, Bercoff pose une première question : cet enfant de trois ans et demi est censé avoir escaladé la rambarde du balcon du 5ème étage, puis être tombé. Sachant que sur une distance de chute qu’on peut évaluer à quelque trois mètres, la vitesse acquise dépasse déjà les 30 km par heure, comment l’enfant, à supposer qu’il ait réussi avec ses petites mains à agripper la rambarde du quatrième étage au cours de sa chute, a-t-il pu mobiliser l’énergie nécessaire pour annuler une telle vitesse et pour rester accrocher dans le vide pendant plusieurs minutes à la seule force de ses bras ? Assurément, si Mamoudou est le héros du jour, ce petit garçon en est un autre, dont l’histoire retiendra la force physique proprement herculéenne. Evidemment, Bercoff n’a pas apporté à sa démonstration les précisions physiques que nous y avons ajoutées.

    La deuxième question ?

    Elle est plus banale mais tout aussi intrigante. Comment se fait-il que le voisin que l’on voit sur une vidéo tentant de sauver le gamin depuis son balcon, un homme barbu, assez trapu et de type méditerranéen, ne soit pas du tout le même que celui qui est peu après interrogé, es-qualité, par Cnews : imberbe, plutôt fluet, et de type caucasien ?

    Des questions qui ont valu à Bercoff une volée de bois vert…

    A peine a-t-il commencé à parler, que Pascal Praud, qui dirige l’émission, s’emporte : « Je ne comprends toujours pas ce que vous voulez dire ! ». Praud l’interrompt peu après sur le même ton scandalisé : « Vous voulez dire quoi ? Que c’est un montage ?». Quant à Alain Jakubowicz, totalement dans son rôle, il évoque avec un sourire entendu la… « théorie du complot ». « Ça, c’est la déformation du bon avocat de la Licra », rétorque Bercoff, à la limite de l’indicible.

    Mais il est une question que n’ont posé ni Bercoff ni les autres…

    Cette question, beaucoup d’internautes l’ont posée, mais aucun journaliste du système ne la posera face à une caméra : que fait en France ce Malien, jeune et en pleine forme physique, alors que le Mali est en guerre et que, depuis 2013, 22 soldats français – un officier, neuf sous-officiers et 12 hommes du rang – se sont fait trouer la peau dans le cadre de l’opération Barkhane, pour que lui et les siens puissent vivre en paix dans leur pays ?

    https://fr.novopress.info/

  • Islamisme en prison: le témoignage alarmant d’un gardien après l’attentat de Liège

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    L’auteur de la tuerie de Liège était un délinquant belge converti à l’islam en prison. Un gardien témoigne de la bombe à retardement qu’on nous prépare…

    Voir la video

     
  • Migrants : le maire de Grenoble appelle à l’illégalité, par Caroline Parmentier

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    9123-20180602.jpgEn tête des collabobos qui veulent se donner le grand frisson, le maire de Grenoble Eric Piolle qui s’autoproclame « délinquant solidaire », appelle les citoyens à la désobéissance et tous les maires de France « à se lever », pour venir en aide aux migrants.

    Le maire (Ecologie-les Verts/Front de gauche) qui a remis lundi la médaille de la ville de Grenoble au passeur de migrants Cédric Herrou, a déclaré dans un tweet grandiloquent (et en écriture inclusive) : « Si la solidarité avec les exilé.e.s est un délit, condamnez-moi ! » Il se rêve déjà en martyr du Grand Remplacement.

    Il a en effet été rappelé à l’ordre par le préfet de l’Isère. Ce dernier a déploré

    ses propos « qui appellent à commettre des infractions ou des actes illégaux, alors même qu’ils sont tenus par un maire auquel les lois de la République confient des responsabilités d’officier de police judiciaire et la charge de faire respecter l’ordre public ». « Prôner l’illégalité ou cautionner des infractions pourtant condamnées par l’autorité judiciaire n’est pas une conduite anodine », a ajouté le préfet.

    Les villes remettent leur médaille d’honneur en reconnaissance d’un service rendu ou pour saluer un acte de bravoure. L’agriculteur Cédric Herrou (qui a grimpé triomphalement les marches de Cannes) a été condamné en appel en août à quatre mois de prison avec sursis pour avoir fait passer des clandestins dans la vallée de la Roya (Alpes-Maritimes). Le 22 avril, l’Assemblée nationale a voté l’assouplissement de la loi, exemptant désormais de sanctions les militants qui apporteraient des soins, un hébergement et de la nourriture aux migrants sans qu’il y ait de contrepartie lucrative. Une évolution insuffisante pour le maire de Grenoble, immigrationniste forcené, qui réclame dans un courrier au procureur préalablement diffusé dans la presse, l’abrogation du « délit de solidarité » et davantage de protection pour les « aidants » comme Cédric Herrou, mais aussi pour des municipalités comme la sienne dont les actions pour accueillir les migrants leur font, selon lui, « courir un risque pénal » : « Ce délit de solidarité est une situation qui nous tord le ventre, toutes tendances politiques confondues. »

    A Grenoble, Eric Piolle multiplie les actions pro-migrants comme la mise à disposition des logements vacants (sic), les aides des Maisons des habitants, le village d’insertion du Rondeau, l’accueil dans les crèches municipales d’enfants issus de famille en demande d’asile, ou encore la coordination de la plateforme Grenoble Terre d’accueil. Il a aussi apporté son soutien aux trois militants de Briançon poursuivis en justice pour aide à l’entrée et à la circulation sur le territoire national d’étrangers en situation irrégulière. Ces activistes ont prétendu répondre à l’opération de Génération Identitaire au col de l’Echelle par l’entrée illégale de clandestins supplémentaires.

    « Peut-être notre action recouvre-t-elle la notion de “bande organisée” visée par l’article L. 622-5 du Ceseda (Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile) qui est reprochée aux jeunes gens qui seront jugés par le tribunal correctionnel de Gap ? », s’indigne Eric Piolle. « Va-t-on nous placer en garde à vue, voire nous traîner en correctionnelle ? »

    Avant de lancer un appel solennel à tous les maires de France : « Je lance un appel à tous les maires humanistes. C’est maintenant qu’il faut se lever, comme les médecins l’ont fait en 1973 pour l’avortement. »

    Et la boucle est bouclée. Après avoir « génocidé » les enfants français à raison de 200 000 par an, on doit maintenant les remplacer à tour de bras par les migrants.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 31 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Marion Maréchal : « Mon projet est politique, au sens noble du terme. Vouloir former une nouvelle élite au service de la cité, c’est nécessairement politique. »

    6a00d83451619c69e20224df374d8f200b-200wi.pngMarion Maréchal a répondu aux questions de Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, et Gilles-William Golnadel, cofondateur de la web télé La France Libre

    « On a la fâcheuse habitude, en ce qui concerne les médias, de comprendre oui quand je dis non. Heureusement que c’est restreint aux médias, sinon, cela serait un peu compliqué à gérer. Au contraire, il s’agit plutôt d’acter mon retour à la vie civile avec ce projet qui est métapolitique. » « Mon projet est politique, au sens noble du terme. Vouloir former une nouvelle élite au service de la cité, c’est nécessairement politique. »

    Marion Maréchal, qui souligne la défaillance des grandes écoles chargées de former les élites, déplore aussi la diabolisation de son académie. 

    « Vous enlevez le nom le Pen, passez dans la société civile, créez une école, et malgré tout, on vous traite d’école de fachos »,. « Je pense qu’ils ont peur qu’on puisse mettre le pied dans la porte, parce que si on arrive à mettre en place une école de qualité, exigeante, […] il est évident que c’est la démonstration que la domination intellectuelle de la gauche sur l’éducation supérieure est finie. »

    « Il n’y a pas de victoire électorale possible sans au préalable une victoire culturelle, ou en tout cas l’accumulation de petites victoires culturelles qui permettent de changer l’état d’esprit des Français et d’avancer ». « Si j’utilise le terme “mâle blanc”, peu de gens s’en offusqueront dans la presse mainstream, mais si j’utilise le terme “mâle noir” ou “arabe”, tout le monde s’en offusquera. »

    « Passer d’actrice de la vie politique à spectatrice, c’est délicat. Je n’ai pas de télévision chez moi et j’ai décidé de ne plus m’imposer les démonstrations de plateaux de télévision avec toujours les mêmes profils, les mêmes sensibilités, les mêmes idées, où l’opposition n’a pas le droit de cité. Parce que je n’ai qu’une seule envie, c’est d’être sur le plateau pour porter la contradiction. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après un mois de lecture des articles de notre « dossier spécial Mai 68 »

    Aspects de la France, couverture en mai 68, numéro spécial  

    Nous achevons aujourd'hui la publication de la série d'articles que Rémy Hugues a rédigés pour les lecteurs de Lafautearousdeau, sur Mai 68 dont on commémore partout les cinquante ans.  

    Ces articles sont parus tous les jours de mai et encore ce 1er juin où cette suite se termine. Ils composent un dossier qui restera intégralement consultable sur le blog. [lien ci-dessous]. 

    Rémi Hugues est beaucoup trop jeune pour avoir vécu Mai 68. Il en traite d'un regard neuf, extérieur, mais documenté et érudit. Avec le recul qui met en lumière les causes profondes et les forces principales plus ou moins dissimulées qui ont produit la révolution de Mai. Dont ceux qui ont été spectateurs ou acteurs dans le camp d'en face - dont nous, à l'Action Française qui avons été alors très actifs - ne furent pas nécessairement conscients. En ce sens, le dossier que Rémi Hugues a réuni vaut à la fois rappel des faits et découverte de ce qui avait pu passer inaperçu de plus ou moins essentiel dans le feu de l'action.

    Rémi Hugues publie Mai 68 contre lui-même.  Nos lecteurs que le sujet intéresse ne manqueront pas de commander cet ouvrage. 

    En tout cas un cordial salut à Rémi Hugues et nos remerciements au nom de la galaxie Lafautearousseau 

    L'ouvrage de Rémi Hugues ...

    (Cliquer sur l'image)

    Couverture_livreM68.png

    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

    Dossier spécial Mai 68

  • Italie : Conte premier ministre, Salvini à l’intérieur, Di Maio au développement économique

    Italy's Prime Minister-designate Giuseppe Conte talks with the Italian President Sergio Mattarella at the Quirinal Palace in Rome, Italy, May 31, 2018. Italian Presidential Press Office/Handout via REUTERS ATTENTION EDITORS - THIS IMAGE HAS BEEN SUPPLIED BY A THIRD PARTY.

    Le juriste de 53 ans dirigera un gouvernement d’union après l’accord conclu jeudi entre les chefs de file du Mouvement 5 Etoiles (antisystème) et de la Ligue (extrême droite), Luigi Di Maio et Matteo Salvini.

    Vers une sortie de crise en Italie ? Le pays s’est doté, jeudi 31 mai dans la soirée, d’un nouveau gouvernement avec à sa tête un juriste de 53 ans, Giuseppe Conte. Cette fois, le président Sergio Mattarella a validé la liste des membres de l’équipe gouvernementale, qui prêtera serment vendredi à 16 heures.

    L’annonce a été faite après le nouvel accord conclu jeudi après-midi par les chefs de file du Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème), Luigi Di Maio, et de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini. Lesquels font d’ailleurs partie de ce nouveau gouvernement en tant que vice-premiers ministres. Comme prévu, M. Salvini hérite également du ministère de l’intérieur. De son côté, M. Di Maio est nommé ministre du développement économique.

    Paolo Savona aux affaires européennes

    Paolo Savona, économiste qui considère l’euro comme « une prison allemande », est nommé aux affaires européennes. Le président Mattarella avait mis son veto, dimanche, au premier gouvernement proposé par la Ligue et par le M5S, car M. Savona était prévu pour le ministère de l’économie et des finances.

    Ce poste revient à Giuseppe Tria, un professeur d’économie politique favorable au maintien de l’Italie dans l’euro. Il est notamment proche des idées de la Ligue, en particulier sur la baisse radicale et la simplification des impôts. C’est également un farouche partisan de l’Union européenne, Enzo Moavero Milanesi, qui a été nommé aux affaires étrangères.

    Après la prestation de serment, M. Conte demandera la confiance au Parlement, où la Ligue et le M5S ont la majorité des deux chambres. « Engagement, cohérence, écoute, travail, patience, bon sens, tête et cœur pour le bien des Italiens. Peut-être qu’on y est enfin, après tant d’obstacles, d’attaques, de menaces et de mensonges », s’est réjoui M. Salvini sur Facebook à l’annonce du nouvel accord avec le M5S.

    L’idée d’un gouvernement d’union M5S-Ligue avait été abandonnée dimanche soir à la suite de ce veto spectaculaire du président Mattarella. Le chef de l’Etat avait alors chargé lundi Carlo Cottarelli, un économiste, de former un gouvernement d’experts en attendant de nouvelles élections.

    Mais après l’annonce de la Ligue et de M5S, M. Cottarelli a fait savoir jeudi soir qu’il renonçait à former un gouvernement. « Un gouvernement politique est de loin la meilleure solution pour le pays », a-t-il déclaré. Les deux partis ont alors de nouveau proposé Giuseppe Conte, un professeur de droit peu connu jusqu’ici, pour prendre la tête du gouvernement d’union.

  • POUR LES PASSEURS DE MIGRANTS C’EST PRESQUE UN CRIME DE RAPPELER LA LOI

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    Mercredi 30 mai, comparaissait Martine Landry – militante d’Amnesty International et bénévole de l’Association nationale d’aide à la frontière pour les étrangers – au tribunal de grande instance de Nice (Alpes-Maritimes), « pour avoir transporté en juillet 2107 deux migrants guinéens de quinze ans [jusqu’aux] bureau de la Police aux frontières (PAF) pour prouver que ces deux mineurs avaient bien fait une demande de prise en charge à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) » (Le Parisien). « Les mineurs en question ne se trouvaient pas, semble-t-il, sur le territoire français quand ils ont été recueillis par l’intéressée, ce qui constitue de fait un délit.

    Martine Landry a, quant à elle, affirmé le contraire en prétendant qu’elle avait recueilli les deux jeunes Guinéens au panneau « France » de la frontière, rappelant que « les deux migrants avaient été interpellés avec des adultes lors d’une perquisition chez le militant Cédric Herrou dans la vallée de la Roya, puis renvoyés vers l’Italie, ce qu’a contesté le parquet » (La Croix).

    La procureur a énergiquement reconnu le caractère délictueux des faits tout en demandant la relaxe et, considérant que l’accusée était « “le dernier maillon de la chaîne” contrairement à “des acteurs qui ont participé à ces manœuvres et pas présents au tribunal” » (op. cit.), elle a toutefois préconisé que « le parquet aurait intérêt à des poursuites pour faux, usage de faux et tentative d’escroquerie ».

    Cette relative bienveillance est donc un mauvais signe adressé aux pourfendeurs des frontières que sont ces passeurs de migrants, qui semblent se rire du désastre imminent si le flux migratoire, actuellement subi par l’Europe, se poursuit.
    Une bienveillance pas bien comprise par l’avocate de la défense, Mireille Damiano, qui a décidé de saisir l’ordre des avocats pour dénoncer les propos de la procureur, suggérant en substance qu’il est inadmissible que la loi française soit rappelée dans un tribunal.

    De son côté, Amnesty International, qui voyait pour la première fois l’un de ses membres mis en accusation dans notre pays, a, dans un communiqué déclamatoire dont elle a le secret, appelé la France à « se conformer à ses engagements et s’aligner sur le droit international en cessant de criminaliser l’action de personnes ou d’associations qui viennent en aide à des personnes migrantes ou réfugiées ».

    En quittant le tribunal, Martine Landry a logiquement été accueillie comme une résistante à l’oppression et, prenant la pose victimaire, elle a dénoncé « une politique générale pour intimider tous ceux qui portent assistance aux migrants et c’est pour ça que nous demandons l’abolition du délit de solidarité ». Qu’elle aille en Turquie pour voir à quoi ressemble une intimidation d’État !

    Enfin, comme le chantait Jean Ferrat à propos des « Pauvres Petits C… » bourgeois qui causaient au nom de la jeunesse ouvrière, si le moi de ces exaltés de la solidarité les « chagrine plus que de raison », il y a des indigents français qui accueilleraient volontiers leurs pulsions humanitaires !

    http://www.bvoltaire.fr/passeurs-de-migrants-cest-presque-crime-de-rappeler-loi/

  • Marine Le Pen propose à Nicolas Dupont-Aignan une liste unique aux Européennes

    6a00d83451619c69e20224df372211200b-250wi.jpgDans une lettre ouverte :

    "Il y a un an, au second tour de l’élection présidentielle, tu faisais un geste que tu qualifiais si justement « d’historique » en ralliant ma candidature sur un projet de gouvernement dont tu avais accepté de prendre la tête. Pour la première fois depuis longtemps, le camp des patriotes se retrouvait, se rassemblait et unissait ses forces dans l’intérêt supérieur de la Nation et du peuple français. En prenant nos responsabilités à un moment crucial de la vie politique française, nous avons au-delà de nos sensibilités respectives répondu à l’attente de millions de Français et bouleversé le paysage politique.

    Nous sommes ainsi devenus des acteurs incontournables d’une recomposition autour du véritable clivage mondialistes/nationaux. Ce paysage nouveau s’articule désormais entre deux visions clairement distinctes : un horizon post-national, fédéraliste, incarné par Emmanuel Macron qui réunit ceux adhérant sans réserve au mondialisme, et un avenir français, indéfectiblement ancré dans ce qui a fait l’histoire et la force de notre pays, la défense de sa grandeur, de sa souveraineté, de sa liberté.

    Ce clivage, et tu le sais, est désormais celui qui traverse nombre de pays européens : En Autriche, en Italie, en Hongrie, les partis nationaux pour les uns déjà au pouvoir et pour les autres se trouvant à ses portes, ont amplifié ce bouleversement historique. Partout l’esprit de rassemblement, la volonté de dépasser les divergences mineures ont prévalu pour rendre possible ce qui était martelé comme étant impossible.

    Dans un an, les Français se rendront de nouveau aux urnes pour élire les députés nationaux au Parlement européen. Emmanuel Macron ne s’en est pas caché, il a déjà clairement annoncé ses intentions d’amplifier la submersion migratoire, la fédéralisation de l’Union européenne, d’assujettir la France un peu plus à la Commission de Bruxelles, à ses technocrates non élus et ses directives supranationales qui font tant souffrir nos compatriotes.

    Face à ce projet de démantèlement de notre cher et vieux pays, nous avons une responsabilité historique, une responsabilité commune, celle d’être le socle d’un large rassemblement de celles et ceux de toutes sensibilités politiques qui croient en la France, à sa liberté, à son droit inaliénable de choisir son avenir.

    Je t’ai suggéré notre présence symbolique aux deux dernières places de cette liste avec un double objectif : pousser la liste vers les sommets en démontrant notre totale implication dans ces élections européennes et nous mettre, nous deux, présidentiables, chefs de partis et députés nationaux, au seul service de l’intérêt supérieur de notre pays au-delà de toute ambition personnelle.

    Je te propose en conséquence de nous rencontrer dans les plus brefs délais afin de travailler à une charte commune qui établira les priorités et les mesures essentielles pour transformer l’Union européenne en une Europe des Nations, des coopérations et des libertés. Je sais que tu partages mon enthousiasme de voir demain une majorité soucieuse des peuples et des nations se constituer au Parlement européen. Il nous appartient aujourd’hui de ne pas décevoir l’espérance des millions de compatriotes qui nous font confiance."

    Une enquête d'opinion menée par Elabe pour BFMTV donne un aperçu de l'état de l'opinion à un an des élections européennes :

    • 24% des Français voteraient pour LREM,
    • 19,5% pour le FN
    • 15% pour LR.
    • La France insoumise 10% des voix.

    Seule l'union permettra de passer devant l'européisme de LREM. Sachant qu'on ignore encore sur quelle ligne sera LR, divisée entre une critique de l'UE et un européisme béat... Sans parler des petites formations, comme l'UPR, qui espèrent mettre leur grain de sel dans la campagne.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Immigration : qu’est-ce que le «délit de solidarité» ?

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    Le délit de solidarité n’existe pas dans un texte de loi mais il fait référence à l’article L 622-1 du code de l’entrée, du séjour des étrangers et du droit d’asile (Ceseda) datant de 1945.

    Ce texte précise que «toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France» encourt jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende.

    Delphine Meillet, avocate au barreau de Paris, explique quel est le cas d’exemption dans la loi en vigueur et quel assouplissement est prévu dans la loi asile et immigration.

    https://fr.novopress.info/210990/immigration-quest-ce-que-le-delit-de-solidarite/