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  • Jean-Yves Le Gallou : « Reste l’hypothèse Marion Maréchal… »

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    Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Récemment interrogé par Boulevard Voltaire, le président de la fondation Polémia s’est exprimé sur les résultats des dernières élections européennes ainsi que sur la personne qui pourrait fédérer la droite de demain.

    Je vous cite « percée identitaire, partout sauf en France ». Or nous nous sommes levés ce matin avec une victoire du Rassemblement national.

    C’est une victoire relative. Le Rassemblement national est certes sorti en tête mais avec deux points de moins qu’en 2014, alors que dans la majorité des pays européens, les partis nationaux et identitaires ont nettement progressé. Ce n’est pas le cas du Rassemblement national qui est passé de 25 % à 23 %, alors qu’il a bénéficié du vote utile. Macron et les médias avaient fait de cette élection une sorte de match entre le Rassemblement national dans le rôle du méchant et Macron dans le rôle du gentil.

    Comment expliquez-vous la défaite de la liste menée par François-Xavier Bellamy ?

    On ne peut pas mettre sur le même plan le recul de 2 % du Rassemblement national et le recul de 13 % de LR. Pour LR ce n’est pas un recul, mais un effondrement qui est comparable à celui du parti socialiste.
    LR partait de 21 % en 2014 et aujourd’hui il tombe à 8 %, alors qu’il avait un candidat plutôt brillant et une campagne plutôt dynamique.
    Quelles sont alors les explications possibles de la chute de LR ? Le vote utile. LR, le RPR, l’UMP ont autant vécu sur le vote utile sur le thème ‘’votez pour nous, votez pour la concurrence ne sert à rien’’.
    Ils ont été victimes du vote utile puisqu’on leur a dit que c’était un match entre Macron et le Rassemblement national. Ceux qui ont des sentiments identitaires, c’est-à-dire une petite partie de leurs électeurs ont dû filer au Rassemblement national.
    Dans le XVIe, à Neuilly, au Vésinet ou à Versailles, la République En Marche est devant LR et devant Bellamy. Il suffit de regarder les résultats. La droite d’argent s’est ralliée à Macron comme représentant du parti de l’ordre et du parti de l’argent. Pour LR c’est extrêmement préoccupant. Ils sont vraisemblablement en voie de disparition.

    Comment la droite peut-elle retrouver une dynamique qui permettrait de se relancer ?

    Cela n’est pas facile. Marine Le Pen reste malgré tout démonétisée, même si ce résultat la remet en selle. On pourrait rêver d’un Macron de droite, d’un Macron national et identitaire. Cela se heurte à deux difficultés. Macron a été créé grâce et avec les médias. Les médias ne vont pas jouer le rôle de créateur d’un candidat de renouveau identitaire et de droite. Cela serait tout à fait contraire à l’intérêt des gens qui les dirige. Reste l’hypothèse de Marion Maréchal, mais encore faut-il qu’elle sorte de son Aventin. Je ne sais pas si le temps est encore venu pour cela.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou réalisé par Boulevard Voltaire 02/06/2019

    Source : Bvoltaire.fr

    https://www.polemia.com/jean-yves-le-gallou-hypothese-marion-marechal/

  • Le Plus d’Eléments n°12 : Andréa Kotarac, l’insoumis qui casse la baraque

    Olivier François et son équipe parlent d’Andréa Kotarac de la France Insoumise, du rattachement de la Crimée à la Russie, du réalisateur Paul Vecchiali et du dernier roman de l’académicien Andreï Makine :”Au-delà des frontières”.

    https://www.tvlibertes.com/le-plus-delements-andrea-kotarac-linsoumis-qui-casse-la-baraque

     

  • Présidentielle: En cas de deuxième tour Le Pen/Macron, 61% des Insoumis voteraient RN

    marine-le-pen-candidate-fn-a-la-presidentielle-le-26-fevrier-2017-a-saint-herblain-pres-de-nantes_5807921.jpgL'actuel président l'emporterait par 57% des voix contre 43%. 
    Une semaine après les élections européenne, un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud-Radio se projette déjà sur la prochaine élection présidentielle, dans trois ans.
    Selon ces résultats, Emmanuel Macron et Marine Le Pen arriveraient logiquement en tête au premier tour, et les voix de LFI se reporteraient majoritairement vers Marine Le Pen au second tour, lui permettant d’atteindre 43% des suffrages.
    Dans le cas d’un second tour Emmanuel Macron/Marine Le Pen, l’actuel président de la République serait réélu avec 57% des voix, mais il perdrait du terrain par rapport à 2017, où il avait été élu par 66% des voix. Au contraire Marine Le Pen, même battue, obtiendrait un score inédit de 43%, contre 34% en 2017. Ce haut score, la présidente du RN le devrait en partie… à La France insoumise, selon le JDD. En effet, toujours selon le sondage, 61% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon donneraient leur vote à Marine Le Pen en cas de deuxième tour contre Emmanuel Macron.
    [...]
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  • Brexit : Donald Trump prêt à négocier avec le Royaume-Uni l’accord de libre-échange le plus rapide de l’Histoire

    Brexit : Donald Trump prêt à négocier avec le Royaume-Uni l’accord de libre-échange le plus rapide de l’Histoire

    A force de tergiverser, à force de voir les élites du Royaume-Uni et de l’UE empêcher la volonté du peuple britannique de se réaliser, ce sont les Etats-Unis qui vont profiter du Brexit. Sans doute au détriment de la France et des autres pays de l’UE. Et après nos ministres et commissaires européens viendront pleurer et nous dire que le Royaume-Uni et les USA sont très méchants avec nos pécheurs, nos agriculteurs et nos industries alors qu’ils auraient négocier au lieu de vouloir punir le Royaume-Uni :

    Pour le dirigeant américain, pourfendeur de l’UE, le futur successeur de Theresa May à la tête du gouvernement britannique devrait tout simplement arrêter de discuter et claquer la porte du club européen sans payer la facture du divorce convenue dans l’accord conclu avec Bruxelles en novembre.

    “Si vous n’obtenez pas l’accord que vous voulez, je quitterais” la table des négociations, a dit Donald Trump dans un entretien avec le Sunday Times. “Si j’étais eux, je ne paierais pas 50 milliards de dollars“, a-t-il ajouté en référence au règlement des engagements pris par le Royaume-Uni dans le cadre du budget pluriannuel européen en cours (2014-2020), dont le montant est estimé entre 40 et 45 milliards d’euros par Londres (…)

    La relation commerciale avec les États-Unis sera cruciale pour le Royaume-Uni post-Brexit et occupera sans doute une grande partie des discussions entre Theresa May et Donald Trump à Downing Street, même si certains au Royaume-Uni craignent qu’elle ne tourne à leur désavantage.

    Nous avons le potentiel d’être un partenaire commercial incroyable pour le Royaume-Uni. On fait peu par rapport à ce que l’on pourrait faire avec le Royaume-Uni… Je pense bien plus qu’avec l’Union européenne”, a promis Donald Trump dimanche, affirmant être prêt à négocier un accord de libre-échange rapidement.

    L’ambassadeur américain au Royaume-Uni Woody Johnson a lui affirmé sur la BBC que Washington préparait déjà un accord et qu’il serait “plus rapide qu’aucun autre accord que nous n’ayons jamais eu”. Il a dit s’attendre à voir Londres ouvrir ses portes aux produits agricoles américains et affirmé que “tout ce qui est commercialisable serait sur la table” des négociations, en réponse à une question sur les vues des entreprises américaines sur le système de santé public britannique.”

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-donald-trump-pret-a-negocier-avec-le-royaume-uni-laccord-de-libre-echange-le-plus-rapide-de-lhistoire/

  • AfD : « Certaines parties de l’Allemagne sont maintenant sous le contrôle d’un califat islamique »

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    Le parti de droite allemand AfD a publié un graphique démontrant que certaines parties du pays sont désormais sous le contrôle d’un « califat » islamique. La gauche, quant à elle, dit qu’elle préférerait vivre sous un califat islamique que dans une Allemagne contrôlée par l’AfD.

    Au terme des élections européennes, l’une des succursales d’Alternative for Germany à Berlin (AfD) a publié une image sur Facebook indiquant que les États de l’ouest et du sud, où l’AfD recevait le moins de soutien, avaient été repris par des islamistes.

    L’image montre le pays divisé entre la «république d’Allemagne» et le « califat allemand », séparés par une bannière noire sur laquelle figure la déclaration de foi islamique.

    Voir l'image sur Twitter
    bernd bollmann ⭕️@berndbollmann

    lieber Gott lass Hirn regnen

    242 personnes parlent à ce sujet

    Le message, qui a par la suite été supprimé, comportait la légende suivante: « Les images parlent plus que les mots ».

    En dépit de recevoir des critiques contre cette publication, une personne a suggéré qu’elle préférerait vivre dans un califat islamique plutôt que dans une Allemagne gouvernée par l’AfD.

    « Si je devais vivre sous l’égide de l’AfD dans un pays intitulé « République fédérale d’Allemagne », je préférerait le califat, s’il vous plaît. Il y a du soleil et de la nourriture délicieuse ! », à commenté Christina Fischer.

    Pour rappel, une affiche créée par le parti AfD avait déjà fait forte polémique au sein du paysage politique allemand, montrant une femme blanche vendue sur un marché d’esclaves islamique à côté des mots « Pour que l’Europe ne devienne pas » Eurabia »… les Européens votent pour l’AfD! »

    Plus tôt ce mois-ci, les gauchistes allemands ont applaudi aux menaces de mort proférées contre l’AfD, lors d’un débat politique.

    Traduction Carole Compostella pour alter INFO

    Lire aussi:  L'AfD est devenu le parti le plus fort de l'est de l'Allemagne - les victoires aux élections d'État pourraient forcer Merkel à partir plus tôt que prévu

    Source Infowars

    L’Allemagne est, sans conteste, la première puissance économique d’Europe. Et elle semble vouloir, depuis quelques années, reprendre le poids politique qu’elle avait avant 1945. Va-t-elle reprendre les funestes aventures qui ont, à de nombreuses reprises, mis le feu à notre vieux continent ?

    La question mérite d’autant plus d’être posée que la situation allemande a été profondément modifiée, au cours des dernières décennies, par l’afflux massif d’immigrants musulmans.

    Il est désormais possible que les démons allemands, associés à l’esprit de conquête de l’islam, fassent de l’Allemagne le chef d’un nouveau califat en Europe.

    C’est pour conjurer ce sinistre avenir que cet essai a été rédigé.

    https://www.alterinfo.ch/2019/06/01/afd-certaines-parties-de-lallemagne-sont-maintenant-sous-le-controle-dun-califat-islamique/

  • Guillaume Peltier gagne haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste

    Guillaume Peltier gagne haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste

    Vidéo intégrée
    Ridicule TV@RidiculeTV

    Guillaume Peltier vient de gagner haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste pour son spectaculaire revirement idéologique après le 26 mai.

    201 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/guillaume-peltier-gagne-haut-la-main-le-premier-prix-au-festival-international-du-retournement-de-veste/

  • Une France bipolaire, une Europe en miettes

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    Le billet de Patrick Parment

    Si les élections européennes ne sont en général que le pâle reflet de la situation de politique intérieur du pays, ces européennes de 2019 sont, en revanche, instructives à plus d’un titre. Et le fait majeur est bien que depuis l’élection d’Emmaneul Macron, on a assisté à l’implosion des partis politiques traditionnels.

    Et pour cause, les intermèdes de Nicolas Sarkozy puis de François Hollande – mais on peut remonter à Chirac - ont occis la crédibilité de l’UMP et du Parti socialiste. Nicolas Sarkozy et encore moins François Hollande n’ont appliqué le programme pour lequel ils avaient été élus. A gauche cette disparition marque aussi un net recul idéologique quand bien même le politiquement correct est toujours à l’œuvre et demeure la doxa médiatique.

    Ouvrez la téloche et ce sont les droits de l’homme qui vous parlent chaque jour de 13h à 20h quelle que soit la chaîne. Certes, de temps en temps voit-on poindre un mécréant dont la voix est aussitôt étouffée par le Cohn-Bendit de service ou l’autre idiot utile de Jean-Michel Aphatie. Rarement les bonnes questions sont posées, on baigne toujours dans l’eau tiède. Passons.

    La gauche a donc disparu des écrans et le camarade Mélenchon s’est tiré une balle dans le pied. Exit Mélenchon comme héritier. Avec ces européennes ce sont donc les écolos qui héritent du flambeau. Sauf que si leur score est artificiel, la cause ne l’est pas. Car, chez nos écolos, il y a une once d’écologie pour trois de socialisme.  Yannick Jadot, nouvelle coqueluche de Paris-Match est en train de se prendre le melon. Ca ne durera pas. A l’Europe, ils vont souffrir, car les Grünen allemands sont de droite.

    C’est à droite aussi que l’effet est le plus spectaculaire. Emmanuel Macron a siphonné tout le centre de gauche à droite et le Rassemblement national  a fini de ratisser ce qui restait d’électeurs de droite chez les Républicains. On arrive en fin de course d’une droite qui n’a jamais su se distinguer du Front national hier et du Rassemblement national aujourd’hui. Les prochaines élections municipales vont, à ce titre, être intéressantes. Les maires LR vont se pencher avec attention sur les scores réalisés par LREM ou le RN pour savoir à qui se rallier afin d’être réélu. On reste bien dans la cuisine. On risque d’assister à l’effondrement du socle municipal de LR. Désormais, la partie se joue entre macro-mondialiste et identitaires du Rassemblement national.

    Ce qui reste en suspens, c’est cette France divisée entre une classe moyenne laminée, une classe bourgeoise dollarisée et une France des immigrés. Qu’on ne vienne donc pas nous parler d’une France une et indivisible. Liberté, égalité, fraternité, c’était peut-être le cas hier – quoique -  ça ne l’est plus aujourd’hui.

    Quant à la nouvelle configuration européenne, elle n’a rien pour nous rassurer. Petit rappel. L’arrivée de la toute nouvelle puissance américaine en Europe après la Grande Guerre Civile de 1914-1945 a brisé l’élan  de la civilisation européenne à travers deux vagues successives. La Kultur germanique s’est effondrée et la fine fleur de l’intelligentsia européenne a émigré aux États-Unis. Ce pays, nouvelle Rome surarmée, est intervenu trois fois en Europe en 1917, en 1942-1945 et à partir de 1947 avec le Plan Marshall et la Guerre froide. Il y est toujours solidement implanté grâce à ses bases militaires et à l’OTAN et a étendu son emprise à l’économie à travers l’extra territorialisation de son droit et par l’imposition de sanctions économiques contre les adversaires qu’il désigne unilatéralement. Et la tentative d’unification des Européens pour conjurer ce déclin et retrouver leur indépendance est vouée à l’échec à cause des insuffisances délibérées de la construction européenne incarnée par l’Union actuelle. Avec, cerise sur le gâteau, une Russie qu’on tient à la marge et qu’on se refuse de traiter comme un membre de l’Europe à part entière. Un comble.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • [RADIO THERMOPYLES] Sécession, Reconquête et Optimisme Héroïque

  • Européenne 2019: dimanche 26 Mai, LE PARISIEN connaissait les résultats à 07h11 ?

     
    Une explication, les journaleux? 
     
  • La droite n’a plus d’autre choix que de tendre la main au RN

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    Par Adrien Rodier, membre du bureau politique du mouvement Racines d’Avenir ♦ Après les élections européennes, Breizh-Info a publié la tribune d’Adrien Rodier, membre du mouvement politique d’union des droits créé par Erik Tegnér. Son postulat est simple : Les Républicains sont condamnés s’ils ne choisissent pas de s’unir avec le RN autour des valeurs qu’ils partagent.

    Les résultats de ce dimanche 26 mai portent en eux une teneur à la fois destructrice et salvatrice. Jamais dans l’histoire de la Ve République nous n’avions vu les deux partis dits « de gouvernement » pointer au soir d’une élection avec des scores si faibles. Cet aspect destructeur n’est que l’aboutissement d’une recomposition entamée depuis l’élection présidentielle, et renforçant ce nouveau clivage progressiste/populiste.

    Cependant, ce résultat porte paradoxalement le germe d’un nouvel espoir. Il montre que cet électorat favorisant hiérarchiquement son portefeuille au détriment de ses valeurs a majoritairement rejoint Emmanuel Macron depuis 2017.

    Ne reste plus que cette droite décomplexée, patriote et attachée à ses principes. L’histoire montre que ce sont les partis qui s’adaptent aux électeurs et non l’inverse.

    Une prise de conscience doit donc s’opérer au sommet.

    Car aujourd’hui Les Républicains butent sur deux écueils : leur incarnation et leur orientation. Concernant le premier point, Laurent Wauquiez – malgré un choix audacieux et louable de choisir comme tête de liste François-Xavier Bellamy – est très clairement menacé, les prochaines heures étant décisives. Est-ce que l’éjection de Laurent Wauquiez ferait entrer LR dans une nouvelle crise politique ? Rien n’est moins sûr tant le désert de personnalités à même d’assumer ces responsabilités est grand. Et ce n’est certainement pas Gérard Larcher – tenant de cette droite molle – qui serait à même d’insuffler une nouvelle dynamique. La stratégie d’alliance conventionnelle avec le centre est non seulement obsolète mais nuisible, ce cas de figure permettant d’atteindre seulement 11 % des voix avec l’UDI, soit trois fois moins qu’en 2007.

    L’orientation, quant à elle, reste le point central de cette humiliante défaite. L’obstination constante à vouloir esquiver tout rapprochement avec le Rassemblement National – même philosophique – tend à faire de ce parti « l’idiot utile de La République En Marche ». Emmanuel Macron étant assuré en cas de nouveau duel avec Marine Le Pen au second tour, que peu importe le candidat LR, ce dernier appellera au « front républicain » à l’instar de François Fillon.

    Cela serait non seulement délétère, mais préjudiciable à l’avenir de la France, l’immigration et le communautarisme atteignant un paroxysme sous peu irrémédiable.

    Empêcher la réélection d’Emmanuel Macron doit donc être une priorité.

    Les prochaines élections – communales et régionales – feront office de révélateur. LREM ne dispose d’aucune assise locale tandis que Les Républicains sont traditionnellement bien implantés localement. Mais ces derniers risquent de subir le délitement qui les atteint au niveau national. De nombreuses communes et/ou régions seront menacées par LREM ou le RN, les alliances choisies révéleront la réelle orientation que souhaite prendre ce parti aujourd’hui marginalisé.

    L’intérêt de la France doit primer sur cette barrière morale imposée par la gauche.

    Adrien Rodier 02/06/2019

    Source : Breizh-Info

    Crédit photo : Domaine public

    https://www.polemia.com/droite-lr-tendre-la-main-rn/