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  • La Femen profanatrice antichrétienne Inna Shevchenko participait officiellement au G7 et s’est trouvée à la même table qu’Emmanuel Macron

    L’information est passée quasiment inaperçue, simplement soulignée par un tweet enthousiaste de l’ineffable Marlène Schiappa et quelques articles de la mouvance “féministe” : la Femen Inna Shevchenko participait de façon officielle au G7 de Biarritz, désignée par la Macronie pour siéger au Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes du G7 et se retrouver à la même table que le président de la république.

    Certes, il fallait un œil très attentif pour la reconnaître. Pour l’occasion, elle avait adopté un look très embourgeoisé, loin de l’image d’hystérique dépoitraillée enchaînant les provocations antichrétiennes, les blasphèmes, les profanations et les séances d’exhibitionnisme sous l’objectif des photographes de presse et des caméras de télévision.

    Pourtant, c’était bien elle.

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  • Un G7 plein de surprises – Journal du lundi 26 août 2019

     

    Un G7 plein de surprises

    On le savait spécialiste des coups de com’, le président français Emmanuel Macron n’a pas déçu pour le G7 de Biarritz. En invitant le ministre des affaires iraniens, le pensionnaire de l’Elysée a surpris son monde et surtout il semble vouloir prendre de la hauteur vis à vis de la fonction présidentielle.

    L’Amazonie met le feu entre Paris et Brasilia

    Alors que de violents incendies ravagent la forêt amazonienne, les relations entre Paris et Brasilia flambent. Depuis qu’Emmanuel Macron a exhorté Jair Bolsonaro à prendre des mesures fortes pour lutter contre le feu, le président brésilien et son gouvernement multiplient les sorties à l’égard du président français…

    Les Républicains en reconstruction

    Trois mois après la déroute aux élections européennes, les Républicains entament leur restructuration. Ce lundi, la haute autorité du parti a dévoilé la liste des candidats à la présidence LR. Une campagne pour tenter de redresser un parti à la dérive

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/un-g7-plein-de-surprises-journal-du-lundi-26-aout-2019

  • "ORAN, LE MASSACRE OUBLIÉ" LE 5 SEPTEMBRE SUR FRANCE 3

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    La chaine France 3 annonce la diffusion le 5 septembre prochain à 23h, d’une œuvre audio-visuelle réalisée par Georges-Marc BENAMOU et Jean Charles DENIAU : Oran, le massacre oublié.

    D’une durée de 52’, elle revient sur un des épisodes les plus sanglants de la guerre d’Algérie, la journée du 5 juillet de 1962 où, alors que les Algériens célèbrent l’indépendance, plus de 700 Européens sont massacrés.

    Le documentaire bénéficie de la puissance de témoignages inédits à ce jour, et de la présentation d’archives privées et surtout publiques, incontestables.

    La responsabilité des plus hautes personnalités de l’Etat français dans la non-assistance aux personnes en danger,  est clairement établie. Comme l’est la réponse à la question : pourquoi ce drame est-il resté depuis près de 60 ans sans reconnaissance officielle ?

    Un document d’histoire.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Qu’a dit Poutine sur les Gilets jaunes que les médias français ont omis?

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    Plusieurs médias français ont repris les propos de Vladimir Poutine sur les Gilets jaunes sans reprendre sa phrase sur le bilan des manifestations – «11 personnes tuées et 2.500 blessées» – faute de traduction de la part de l’unique interprète présent lors de la rencontre au fort de Brégançon ?

    Reçu dans la résidence d’été du Président français, Vladimir Poutine a lancé une pique à son homologue en affirmant qu’il «ne veut pas d’une situation pareille» dans les manifestations à Moscou, en faisant référence aux Gilets jaunes. Il a notamment évoqué les nombres de morts et de blessés ayant marqué les rassemblements en France.

    L’unique interprète qui traduisait le discours du Président russe pour les médias français n’a pas évoqué dans sa traduction les «11 personnes tuées et 2.500 blessées, dont 2.000 policiers» évoquées par le Président russe.

    Certains médias français, dont l’AFP, BFM TV, Ouest-France ou encore Franceinfo, ont décidé de reprendre simplement cette traduction sans attacher d’importance à la phrase exacte et complète du chef d’État russe.

    «Nous tous savons que pendant les manifestations des Gilets jaunes, d’après nos calculs, 11 personnes sont mortes [chiffres officiels de l’Intérieur français, ndlr] et 2.000 personnes ont été blessées dont 2.000 policiers.

    Nous ne voudrions pas que de tels événements se déroulent dans la capitale russe et nous ferons tout pour que notre situation intérieure se passe strictement dans le cadre de la loi», a déclaré le Président russe face à M.Macron.

    Voici comment l’interprète a traduit en direct ce passage:

    «Mais vous savez tous que pendant les manifestations des Gilets jaunes, il y a eu plusieurs dizaines de personnes qui avaient été blessées, il y avait des policiers qui avaient été blessés et on ne veut pas du tout que des événements pareils se passent dans la capitale russe.»

    Cette version a été largement reprise par des médias. Une traduction similaire est retrouvée dans une dépêche de l’AFP publiée immédiatement après la rencontre.

    Source : Sputnik
  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (35)

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    Aujourd'hui : 37. La Revue universelle...

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    La Revue Universelle...

    L’une des plus remarquables réalisations de Bainville, ce n’est peut-être pas un livre, aussi importants qu'ils aient pu être pour certains; l’une des pensées les plus fécondes de son règne intellectuel (pour paraphraser Louis XIV), c’est peut-être... "La Revue universelle"....
    C'est en 1920 que Jacques Bainville fonde cette Revue : il en était le directeur, et Henri Massis, le rédacteur en chef.
    Dans Le Figaro du 19 juillet 1919 était paru un manifeste "Pour un parti de l'intelligence"; la Revue universelle, qui en découle, avait pour programme : 
    "Rassembler tout ce qui, dans le monde, prend parti contre la destruction, fortifier et étendre les relations entre les groupes dévoués à la cause de l'esprit".
    La Revue se situait évidemment dans la ligne du Nationalisme intégral de L'Action française.
    Y collaborèrent Charles Benoist, Marie de Roux, Robert Havard de La Montagne, René Johannet, Georges Valois, Firmin Bacconnier, Pierre-Antoine Cousteau, Georges Gaudy, Gustave Thibon, Pierre Gaxotte, Claude Roy, Gonzague de Reynold, Jacques Maritain (en charge de la rubrique philosophique, au début des années 1920), Charles Maurras, Maurice Vaussard et Henri Gouhier.
    Puis, après 1941, Pierre Boutang et Raoul Girardet. 
    La Revue universelle s'intéressait particulièrement à la politique extérieure, mais on y trouvait aussi des études sur l'art, la littérature la philosophie, écrites par Léon Daudet, Thierry Maulnier, André Rousseaux ou Robert Brasillach. 
    Son dernier numéro paraîtra en 1944...
    "...Ah ! comme tout alors me semblait simple, facile, uni. Je nous revois ensemble dans notre commun bureau de la Revue universelle, lorsque nous établissions le sommaire du prochain numéro, et qu'il en réclamait les épreuves. Il lui suffisait d'un regard, mais c'était un regard infaillible; rien qu'un mot parfois pour formuler sa décision, mais c'était un mot sans réplique. Et quel repos, quel assentiment, quand il avait conclu d'un simple geste, qui supprimait le tâtonnement, l'hésitation, l'incertitude..." 
    (Henri Massis).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/26/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6171801.html

  • Non-assistance à civilisation en danger : le Macronisme au tribunal de l’histoire

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    Il est temps de s’interroger sur ce que nous dit la « vague Macron » de l’état de la société française. Pour éviter la répétition de ce cauchemar et sauver ce qu’il reste d’identité et de ressources nationales, par une prise de conscience salutaire de l’essentiel à préserver.

    Car au côté de hauts responsables seniors ralliés par besoin de compétences ou simple opportunisme, le chantier de création ex nihilo d’une nouvelle société est entre les mains d’une équipe juvénile de « Nulliputiens » déculturés, qui expérimentent sans légitimité une nouvelle bouture de civilisation en mode « idéoponie », hors-sol des réalités ; comme l’aéroponie, sur un substrat neutre et inerte.

    Or, que nous dit notre grand apiculteur, enfumeur des déçus de tous bords, tous futurs mécontents ? Rien. Chaque cérémonie apporte son flot d’incantations lyriques sans début de proposition concrète : « La crise que traverse notre pays réside aussi parfois dans l’oubli du courage, l’esprit de résignation, les petits abandons »« Ne jamais oublier que, quels que soient les désaccords, aux grands moments de notre histoire, nous avons su nous réconcilier pour avancer »« Ce qui porte notre pays, ce sont ces siècles de bravoure, cette force d’âme, cet esprit de résistance. C’est ce fait qu’il n’y a rien en France au-dessus de la liberté et de la dignité de chacun, cet amour de la France, c’est ce qui doit nous réconcilier ». Quel verbiage ! On aimerait connaître les résultats du grand débat (déba-llage), idée géniale d’audit national d’opinion financée sur fonds publics, base de sa future campagne électorale.

    Dans L’Illusion comique, on ne sait si Corneille aurait choisi Macron pour jouer Alcandre le magicien ou le Matamore amoureux. Mais il aurait mérité le rôle de sa dernière pièce, Le Menteur, tant il a bien retenu une leçon de son maître à penser, Paul Ricœur : « Il est illusoire de croire que l’homme puisse vivre sans illusion. ». Or, selon François Dosse (1), « Ricœur ne suit pas la tentative déconstructrice et prône une simple généalogie des interprétations qui recouvrirait les faits historiques ». Selon Ricœur, « le contrat de vérité et le statut du faux appartiennent à la déontologie de l’historien ». N’a-t-il pas dit à son disciple qu’elle s’applique également à la politique ?

    Macron n’est, en réalité, que l’écho fidèle de l’air versatile du temps. Il ne fait rien d’autre que refléter, sans réfléchir, l’état de désorientation d’une société qui ne sait plus pourquoi elle vit, ni pour quoi. Effectivement, toutes les âmes en quête de sens trouvent en lui un écho amplificateur rassurant. Mais comme la nymphe Écho de la mythologie grecque, il est voué à répéter éternellement tout ce qu’il entend. « Peut-être, Écho, as-tu toujours le dernier mot, mais tu n’auras jamais le premier ! » Or, en temps de crise et de doute, la France n’a pas besoin d’un perroquet mais d’un meneur qui fixe un cap et des priorités. Pour l’heure, il savoure les moments d’illusion qu’il joue dans la cour des grands, en égal des géants Poutine, Trump ou Xi Jinping. Avant d’être abandonné, comme Écho par Narcisse, lassé de l’entendre répondre uniquement ce qu’il lui déclarait.

    Finalement, la période Macron, une transition peut-être inéluctable, mais vers quoi ? En attendant que survienne l’homme ou la femme de la situation, on peut anticiper que le tribunal de l’Histoire le jugera un jour pour « non-assistance à civilisation en danger ».

    (1) Paul Ricœur révolutionne l’histoire, François Dosse, Les Cahiers de l’Espace Temps, 1995

    Jean-Michel Lavoizard

    https://www.bvoltaire.fr/non-assistance-a-civilisation-en-danger-le-macronisme-au-tribunal-de-lhistoire/

  • Netflix, Amazon… Vers une homogénéisation culturelle au sein du supermarché mondial ?

    Prenez tout mais laissez moi la culture !
    On lui doit certainement nos plus beaux chefs d’oeuvre mais on la méconnaît. Voici, l’exception culturelle. Qui affirme que la culture n’est pas une marchandise comme les autres. Qui place notre production audiovisuelle hors de griffes de la libéralisation continue.

    L’idée a permis au cinéma français d’exister malgré la force de frappe des majors d’Hollywood. Mais face aux géants Netflix, Amazon et consorts et à l’orée d’une nouvelle ère d’hyperoffre audiovisuelle, le risque d’homogénéisation culturelle se fait à nouveau sentir. Les industries américaines voudraient nous faire croire que la culture se résume à un catalogue de produits.

    Que le plus compétitif gagne ! Laissons le choix au consommateur ! Mais souhaitons-nous vraiment que des marchandises envahissent nos imaginaires ? Peut-on accepter que les créations audiovisuelles ne deviennent qu’un article sur les étagère d’un supermarché mondial ?

  • G7 : mondialisme, imposture et dérision

    6a00d8341c715453ef0240a47ae745200c-320wi.jpgIls se sont donc unanimement mis d'accord dès ce 25 août à Biarritz. Ils considèrent comme catastrophiques pour l'environnement mondial les incendies de forêt en Amazonie. Cela pourrait requérir, en bonne logique, une intervention non moins internationale pour aider la Bolivie et le Brésil.

    Mais, on ne le répétera jamais assez : un verre à moitié plein, cela ressemble terriblement à un verre à moitié vide, et, même face à cette évidente urgence, l'entente demeure apparente entre les grandes personnes de ce monde.

    Ainsi, pour accuser Bolsonaro, nos indispensables écolos sont prêts à dénoncer en lui le facho, le macho, le raciste, peut-être même l'islamophobe. Car bien entendu ce n'est pas à La Mecque que l'on risquerait d'incendier la forêt de pluie. Encore moins de polluer l’environnement en cultivant du soja, puisqu'on n'y cultive rien.

    Soulignons ainsi que pour les lecteurs New York Times, cet excellent journal pour lequel le Mont Saint-Michel se trouve en Bretagne[1] les choses sont claires. Les coupables ? Les super-bobos en lancent la dénonciation. Conscience de la démocratie globale, ils mettaient en cause dès le 19 août les responsabilités des pays limitrophes de l'Amazonie, entre Colombie et Brésil[2]. Et ils encourageaient la mainmise des défenseurs de la biodiversité, l'intervention des ONG de droit divin, etc.

    Nos nouveaux moralistes et autres lanceurs d'alertes épargnent évidemment le Canada. Pourtant, la forêt de pluie de cet immense pays est, de longue date, fort peu ménagée. Mais son gouvernement, politiquement si correct, siège, on ne sait trop pourquoi, dans ce directoire des grandes puissances rassemblées péremptoirement par Giscard d'Estaing il y a plus de 40 ans, en 1975, Dieu sur le mont Sinaï ayant communiqué l'année suivante une liste provisoirement plus définitive.

    Toutes ces galanteries dissimulent assez mal le désaccord profond et le vieillissement de cette formule. On peut la juger peut-être plus dépassée encore que les institutions onusiennes. Ces dernières sont en voie d'être conquises par l'argent et la diplomatie de la Chine capitalo-communiste qui avance ses pions : les Fils du Ciel dirigent maintenant 4 organisations mondiales sur 11, depuis l'accession d'un ses ministres à la tête de la FAO le 1er août.

    Simultanément viennent de se réunir les 5 pays riverains de la mer Caspienne, dont le rapprochement et la coopération a été scellée par un accord historique signé en 2018. Les deux principaux partenaires, la Russie et l'Iran vont pouvoir s'entendre ainsi pour faciliter le transit du pétrole, le transport des marchandises venues d'Extrême orient et pour contourner les sanctions occidentales.

    En Asie orientale la ceinture de sécurité face aux inquiétantes ambitions de Pékin vient aussi de perdre un atout de poids par le retrait, annoncée le 19 août, de la Corée du Sud de sa coopération de renseignement dans le cadre du GSOMIA, Accord général sur la sécurité des informations militaires, signé en 2016.

    L'Europe, dans tout cela, paraît sans doute très présente au G7. Autour de la table officielle de Biarritz, où participait même le président du Conseil européen Donald Tusk, 5 représentants du Vieux continent, dont l'Angleterre fait encore partie, sur 8 membres du club… Mais nos intérêts communs reculent partout.

    On donne des leçons aux Brésiliens mais on ne parvient toujours pas à enrayer nos propres incendies, aujourd'hui entre Canaries et Eubée et jusqu'en Europe du Nord, d'autres années entre Portugal ou Provence.

    Nos dirigeants peuvent bien plastronner. Les dangers se rapprochent. Les institutions de l'Union européenne ne portent toujours que sur le libre-échange commercial et les ratios monétaires technocratiques. Et dans le même temps, la défense du continent reste dépendante du bon vouloir d'un protecteur de plus en plus distant, et de moins en moins maître du jeu.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cf. article du Point en ligne le 20 août "Pour le New York Times, le Mont-Saint-Michel se trouve en Bretagne."
    [2] cf. "How to Save the Amazon Rain Forest."

  • Rubrique : pire, on ne peut pas.

    Alors comme ça, Pierre Moscovici va devenir président de la Cour des Comptes ?
     Ce choix est tellement significatif de la réalité logique du macronisme, qu’effectivement il n’était pas possible de faire pire.
    On ne va pas s’attarder sur la personnalité de quelqu’un qui a toujours montré dans tous ses actes qu’il était à l’extrême droite du social libéralisme voulu par le Parti Socialiste. 
    Suffisamment incompétent pour être nommé ministre par Hollande, et suffisamment nul pour que cela se voie quand même un peu trop. 
    Il sera rapidement exfiltré à la Commission Européenne pour y défendre bec et ongles les intérêts de l’Allemagne et passer son temps à exiger des sanctions contre son propre pays.
    Mais le fait que Macron le propulse à la présidence de la Cour des Comptes dès son retour dévoile une fois de plus et s’il en était besoin un des ressorts du fonctionnement du système mis en place avec « l’élection » présidentielle de 2017. 
    La réussite dans la durée de l’opération politique propulsant Macron à la présidence impliquait que les organes républicains de contrôle du pouvoir acceptent de couvrir la mise en place du régime néolibéral autoritaire et policier voulu par les commanditaires du coup d’Ėtat. 
    La fusion du bloc élitaire à l’origine du vote Macron (11 % des inscrits) l’a permis.
    • L’Assemblée nationale composée d’une majorité d’analphabètes caporalisés a complètement abdiqué de ses responsabilités de contrôle.
    • Le Conseil Constitutionnel est présidé par Laurent Fabius qui vient d’être rejoint par son jumeau en calvitie Alain Juppé dit Nestor. 
    Les décisions sur les lois « fake news » et « anticasseurs » montrent clairement leur souci de ne faire aucun chagrin au petit Emmanuel, fût-ce au prix de nos libertés publiques.
    • Le Conseil d’État, depuis 30 ans cheval de Troie de l’européisme néolibéral, sera dirigé maintenant par Bruno Lasserre, spécialiste des questions de « concurrence libre et non faussée » et qui se présente lui-même comme un « libéral convaincu ». 
    De ce côté-là, Macron sera tranquille.
    • La Cour de cassation qui depuis 15 ans a couvert quand elle ne les approuvait pas toutes les évolutions jurisprudentielles liberticides, est présidée depuis le mois de juillet par Chantal Arens auparavant présidente de la Cour d’appel de Paris. C’est dire…
    • Et maintenant la Cour des Comptes ou Pierre Moscovici va pouvoir aider à la mise en œuvre de son credo austéritaire : « à un moment donné la dette se vengera, et ce sont les services publics essentiels qui seront frappés ». 
    Après la Libération, quand Macron et sa bande se seront vus infliger 261 années d’indignité nationale, quand lui et ses pareils ramasseront la fleur de sel à Salins de Giraud, nous nous dirons « mais qui étaient ces gens et comment avons nous fait pour les supporter » ?