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  • Pas de "violences irréparables" contre les "gilets jaunes": les propos de Macron sont "terribles" et "dangereux" selon la LDH

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    Arié Alimi, avocat membre du bureau national de la Ligue des droits de l'homme et conseil de plusieurs "gilets jaunes", réagit aux propos d'Emmanuel Macron, qui a assuré lundi que les forces de l'ordre n'avaient pas commis de "violences irréparables" lors de ce mouvement social.

    "Je trouve ces mots terribles et profondément dangereux", réagit sur franceinfo lundi 26 août Arié Alimi, avocat membre du bureau national de la Ligue des droits de l'homme et conseil de plusieurs "gilets jaunes"
    "Je m'interroge de savoir ce que vous penseriez d'un homme qui fait primer l'ordre public sur le droit à la vie", poursuit-il, évoquant les cas de Zineb Redouane, une femme atteinte au visage par une grenade lacrymogène à la fenêtre de son appartement lors d'une manifestation de "gilets jaunes" à Marseille en décembre 2018, et de Steve Maia Caniço, jeune homme mort en tombant dans la Loire pendant la fête de la musique à Nantes alors qu'une intervention policière a eu lieu ce soir-là. 
    Arié Alimi a également pointé du doigt "un homme qui fait primer l'ordre public sur la liberté d'expression et d'opinion".
    [...]
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  • La Petite Histoire : La Gaule à la chute de Rome

    476 est une date marquante, très symbolique, puisqu’il s’agit de la chute officielle de l’empire romain. Et pourtant, ça n’est justement qu’un symbole. En effet, au-delà des événements qui se déroulent à Rome, dans le reste de l’empire, la transition ne s’est pas faite en un jour, particulièrement en Gaule. Quelle était la situation de la Gaule romaine et comment la transition a-t-elle été gérée pour aboutir à la prise de pouvoir des Francs de Clovis ? En résumé : comment a débuté l’histoire de France ?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-gaule-a-la-chute-de-rome

     

  • Gilets jaunes : les engagés de la première heure toujours mobilisés

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    La rédaction de France 2 est allée, en cette fin du mois d’août, à la rencontre des “gilets jaunes” engagés depuis le début du mouvement.

    Ils restent mobilisés, malgré les mesures du gouvernement.

    https://fr.novopress.info/215262/gilets-jaunes-les-engages-de-la-premiere-heure-toujours-mobilises/

  • La forêt amazonienne mérite toute notre attention.

    La forêt amazonienne brûle un peu plus chaque année, comme les forêts d’Afrique ou d’Asie, mais aussi les forêts françaises, cet été touchées par des incendies qui, trop souvent, n’ont rien de bien naturel. C’est une tragédie mille fois répétée qui ne peut nous laisser indifférent car l’indifférence serait, là, de l’insouciance et une insulte au bien commun que les royalistes français prétendent défendre et pratiquer. Car un incendie de forêt est toujours une perte de biodiversité importante et la transformation d’un paysage vivant en un triste horizon noirci, au moins pour quelques temps. Bien sûr, il ne s’agit pas de méconnaître aussi que, dans sa grande complexité, la nature joue parfois du feu comme d’un moyen de se renouveler, comme le signale nombre de scientifiques spécialistes des milieux forestiers, ou d’ouvrir à d’autres plantes et animaux ces zones consumées. Mais, dans nos temps contemporains, les forêts du Brésil ou d’Afrique brûlent trop souvent pour des raisons qui n’ont rien d’écologique et souvent tout d’économique ou politique, au-delà des cas psychologiques de quelques pyromanes qui semblent plutôt se concentrer dans nos propres pays d’ancienne déforestation.

    Comme le signale Alain Pavé dans un entretien publié par Ouest-France samedi 24 août, ce sont les activités agricoles et minières qui sont les « moteurs de cette déforestation » qui ravage l’Amazonie sans beaucoup d’égards pour la flore et la faune, et qui chasse de leurs territoires les tribus « vivant » de la forêt telle qu’elle est, et c’est bien l’actuel président brésilien, homme-lige des grands propriétaires, qui, par son attitude et ses propos, favorise et amplifie un phénomène à terme dangereux pour son propre pays et, au-delà, pour les équilibres environnementaux de la planète, cela même s’il n’est ni le seul responsable, ni le seul coupable de cette situation écologique malheureuse. Les incendies en Amazonie « ne sont probablement pas d’origine naturelle. Ils se déclenchent en périphérie de la forêt, là où se trouvent les grands propriétaires terriens, qui souhaitent agrandir leurs terrains pour l’agriculture et l’élevage.

    « (…) La situation est préoccupante. Le phénomène risque de continuer si on n’arrête pas les politiques de déforestation du président Bolsonaro. Avec lui, les propriétaires terriens ne sont plus inquiétés. » L’argument du président (démocratiquement élu, preuve supplémentaire que le système électoral démocratique n’est pas forcément le meilleur moyen d’éviter le pire…), c’est le « Développement », ici celui du Brésil, processus qui n’est rien d’autre, et cela depuis que les Etats-uniens Rostow et Truman (ce dernier en tant que président des Etats-Unis en 1945-53) l’ont défini et valorisé, que le moyen d’accéder à la société de consommation, qu’il serait bien possible, en définitive, de qualifier de « société de consumation » et, présentement, de façon quasi-littérale ! Mais c’est ce même Développement qui entraîne la destruction (et pas seulement par le feu mais aussi par des coupes massives de bois) des forêts d’Afrique et d’Asie, dans une sorte d’indifférence générale fort décourageante pour tous les amoureux de la Terre et de ses richesses, de ses beautés aujourd’hui en passe d’être massivement dévastées. La même indifférence n’a-t-elle, d’ailleurs, pas cours aussi dans notre pays quand l’on constate que se construisent encore tant de zones industrielles ou commerciales et de lotissements au détriment de zones dites « naturelles » ? Si les 1.600 hectares de bocage de Notre-Dame-des-Landes ont pu être sauvées (au moins pour un temps), que dire de ces 80.000 hectares de terres artificialisés chaque année en métropole française ?

    Le roi Harald de Norvège à la rencontre des Indiens d'Amazonie.

    Or, les forêts, et l’Amazonie en particulier et de par son immense superficie, sont nécessaires à la vie et à sa qualité sur terre, comme le rappelle Alain Pavé : « La diversité de la forêt est aussi essentielle pour la vie de nombreuses espèces. Le cacao, par exemple, est très cultivé en Côte d’Ivoire. Mais si on utilise les mêmes populations de cacaoyers pour les régénérer sur place, au bout d’un temps, la diversité génétique se perd. La production diminue et la sensibilité aux parasites augmente. Il faut régénérer le patrimoine génétique en allant chercher des souches sauvages dans l’Amazonie. ». D’autre part, la forêt amazonienne, sans être le poumon de la planète (c’est bien plutôt la mer, elle aussi fortement affectée par les activités humaines contemporaines et la démesure de la société de consommation et de croissance), joue un rôle important dans le maintien de certains mécanismes environnementaux nécessaires au cycle de l’eau et à sa pérennité sur notre planète, à l’heure où le stress hydrique menace de plus en plus, jusqu’à notre propre pays atteint par des périodes de plus en plus longues et préoccupantes de sécheresse. Le risque de la déforestation amazonienne, c’est aussi une forme de savanisation de la forêt, au risque d’entraîner une diminution trop forte des précipitations pourtant utiles et même vitales pour les activités humaines dans la région concernée.

    Alors, que faire et, surtout, que peut faire la France face à cette situation amazonienne préoccupante, et qui ne concerne pas, d’ailleurs, que le seul Brésil, la Bolivie étant elle-même en proie à de gigantesques feux ? Les propos rudes du président Emmanuel Macron, au-delà de leur caractère incomplet et d’une photo d’incendies antidatée, ont au moins eu le mérite de faire bouger les choses, en particulier la menace d’une non-ratification du traité de libre-échange avec le Mercosur qui a incité les grandes entreprises brésiliennes du secteur agroindustriel à faire pression sur M. Bolsonaro pour qu’il soit plus « volontaire » dans la lutte contre les incendies dévastateurs. La France a raison de souligner qu’elle aussi est une « puissance amazonienne », grâce à la Guyane, mais encore faudrait-il qu’elle ne favorise pas dans le même temps la déforestation « minière » en accordant des autorisations d’exploitation à des compagnies aurifères pas toujours très scrupuleuses en matière d’environnement. Le meilleur moyen d’être efficace dans sa lutte contre la déforestation, c’est encore de relocaliser une partie importante de sa production d’aliments pour le bétail et de ne plus dépendre du soja (souvent OGM) produit au Brésil. Là encore, cet objectif ne peut être atteint que par la mise en place d’une véritable stratégie agricole de la France, y compris hors des mécanismes de la PAC et de ceux de la mondialisation, stratégie visant à rendre aussi à notre pays sa propre capacité d’autosuffisance alimentaire et de « redéploiement rural » (et paysan, dans ce cas précis) pour activer des circuits à la fois plus courts et plus « propres ». Cela ne se fera pas en un jour, mais c’est maintenant qu’il faut donner l’impulsion la plus forte, et seul l’Etat, s’il s’engage véritablement dans une stratégie de long terme (et pérenne), peut le faire : encore faut-il qu’il le veuille et qu’il prenne les moyens de le pouvoir, et il n’est pas du tout certain que la République actuelle, prise dans les rets de la mondialisation, en soit capable…

    D’autres moyens d’agir, plus individualisés, existent, ne serait-ce qu’en contrôlant mieux l’activité de certaines multinationales (y compris françaises) qui « s’enrichissent en important du soja, du bœuf, du sucre ou du bois, auprès des défricheurs illégaux », comme le souligne Christelle Guibert, toujours dans Ouest-France : « Ainsi les actionnaires, les clients de la banque française BNP Paribas, pourraient demander des comptes à la direction sur ses relations avec les quatre géants qui importent le soja dans l’Union européenne : ADM, Louis-Dreyfus, Bunge et Cargill. (…) Les adhérents des grandes coopératives françaises présentes via des filiales au Brésil pourraient s’enquérir de la façon dont les maisons-mères engrangent des bénéfices dans un pays où les pesticides sont utilisés de façon affolante. » Le rôle de l’Etat pourrait consister, ici, à soutenir, voire promouvoir officiellement ses attitudes de responsabilisation des acteurs privés de l’économie, de l’agriculture comme du commerce. Cette stratégie de responsabilisation ne devrait pas hésiter à s’adresser aussi aux consommateurs que nous sommes, mais aussi à imposer ces quelques règles simples aux acteurs de la Distribution, souvent plus préoccupés de bénéfices immédiats que de santé publique ou de respect environnemental. Ainsi, « les amateurs de produits Nestlé, premier producteur mondial de l’alimentaire, pourraient freiner leur consommation s’ils jugent que les 250 millions de dollars d’investissement supplémentaires – annoncés par un discret communiqué mercredi, au plus fort des feux ! – contribuent encore à augmenter le réchauffement de la planète. » Là encore, l’Etat peut jouer un rôle moteur dans cette prise de conscience, éminemment politique et jouant sur le levier économique, qui, si elle se fait assez « convaincante », pourrait permettre à la forêt amazonienne de mieux « respirer » et survivre aux appétits des grands propriétaires et du secteur agroindustriel mondial…

    En tout cas, la tragédie amazonienne nous oblige à repenser la France en tant que puissance médiatrice, capable de se faire entendre et, surtout, de proposer un modèle alternatif à la société de consommation et de croissance portée par la mondialisation libérale. Pour cela, la République semble bien moins assurée et rassurante que ne le serait une Monarchie royale enracinée, de par ses institutions et la continuité dynastique, dans le temps long nécessaire à toute écologie véritable et intégrale

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1573%3Ala-foret-amazonienne-merite-toute-notre-attention&catid=53%3A2019&Itemid=64&fbclid=IwAR2s5kuolq48ndSu4L0XjPdLMSJ_ajwIGn78O75eBVwWMT23XWfFn9dXv6I

  • 153 djihadistes marocains binationaux risquent la peine de mort en Syrie si leurs pays refusent de les rapatrier

    La presse marocaine a indiqué que sur plus de 1.400 Marocains détenus en Syrie, 153 binationaux, dont la plupart ont des nationalités européennes, notamment française, belge et espagnole, et ont combattu pour l’Etat islamique, risquent la peine de mort si leurs pays refusent de les rapatrier et que les Forces démocratiques syriennes (FDS) ou l’Irak décidaient de les juger.

    Jeudi dernier, lors d’un échange avec des journalistes sur la pelouse de la Maison-Blanche, le président américain Donald Trump a menacé de libérer dans leurs pays d’origine les combattants de l’Etat islamique européens détenus en Syrie si les pays de l’UE ne les rapatriaient pas eux-mêmes. « Nous détenons des milliers de combattants de l’EI en ce moment. Et l’Europe doit les reprendre », a expliqué Donald Trump. « Si l’Europe ne les reprend pas, je n’aurai pas d’autre choix que de les libérer dans les pays d’où ils viennent, c’est-à-dire la France, l’Allemagne et d’autres endroits », a notamment déclaré le président américain.

    Sputnik

  • Affaire Epstein : le scandale qui court au delà de la mort – Journal du mercredi 28 août 2019

     

    Affaire Epstein : le scandale qui court au delà de la mort

    Trois semaines après la mort suspecte du milliardaire Jeffrey Epstein en prison, de nombreuses victimes américaines ne comptent pas en rester là. Tandis que de nombreuses questions demeurent sans réponse, une enquête qui pourrait éclabousser de nombreuses personnalités est également en cours en France.

    Education Nationale : le ministre Blanquer fait sa rentrée

    Mal aimé des professeurs et des oppositions, le ministre de l’éducation nationale fait sa rentrée après la chaotique session du bac 2019. Jean-Michel Blanquer a profité de l’occasion pour annoncer quelques mesures controversées notamment concernant les violences scolaires.

    Syrie : Libération de Mhardeh, la guerre se poursuit dans le silence

    La ville de Mhardeh en Syrie libérée des bombardements terroristes. Une information passée presque inaperçue alors que des cellules islamistes sont toujours actives en Irak et en Syrie.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/affaire-epstein-le-scandale-qui-court-au-dela-de-la-mort-journal-du-mercredi-28-aout-2019

  • "Fils de collabos, neveu de résistant", le nouveau livre du Dr Jean-Pierre Cousteau

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    Jean-Pierre Cousteau nous avait fait l'amitié, l'an passé, d'intervenir lors de notre journée Flandre-Artois-Hainaut de Synthèse nationale cliquez là. Ces jours derniers les Editions Via Romana ont publié un nouveau livre de lui : Fils de collabos, neveu de résistant. Ce titre résume à lui-seul l'une des singularités de la vie de l'auteur.

    Voici la préface de Nicolas d'Estienne d'Orves :

    « Chaque fois que tu le penses possible, fais ce que les autres ne font pas. »
    Commandant Jacques-Yves Cousteau, de l’Académie française

    «  Mon père est mort en décembre 1958 à 52 ans, alors que j’en avais 20, étais en seconde année de médecine et préparais le concours de l’externat. J’ai pleuré un bon coup comme six ans auparavant pour la disparition de ma mère, mais inconscient de la perte qui allait me frapper. Je pensais écrire le mot "fin" au bas de ma petite histoire de "Fils de" tant il semblait évident que mon existence n’offrirait plus rien que… de commun  !  »

    Cardiologue et professeur né à Paris à la veille du second conflit mondial, Jean-Pierre Cousteau confie ici ses souvenirs et réflexions de gentilhomme. Plongée dès l’enfance au cœur des tribulations de la guerre et de l’Épuration, sa vie reflète les ombres et les lumières d’une époque oubliée où « les Français ne s’aimaient pas ». Fils de Pierre-Antoine Cousteau, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Je suis partout, condamné à la Libération pour intelligence avec l’ennemi, neveu chéri du commandant Jacques-Yves Cousteau, résistant de la première heure dont il fut le médecin et confident jusqu’à sa mort, Jean-Pierre Cousteau a le caractère d’un battant et le verbe incisif. Sans doute parce qu’il vécut la longue séparation du père, la pension anglaise et ses châtiments, Juilly et ses « humanités » forcées, la mort d’une mère alors qu’à peine adolescent, puis plus heureusement la passion médicale et l’affection et la protection de l’oncle providentiel. Par delà une étonnante carrière médicale achevée dans les coulisses de Roland-Garros, Jean-Pierre Cousteau témoigne ici des riches amitiés littéraires de son père autant que de l’odyssée des profondeurs de son oncle à bord de la Calypso au fil des océans lointains.

    Fils de collabos, neveu de résistant, Jean-Pierre Cousteau, Via Romana, 2019, 196 pages, 19 euros.

    En savoir pluscliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/28/fils-de-collabo-neveu-de-resistant-le-nouveau-livre-du-dr-jean-pierre-cous.html

  • Fraude électorale en Allemagne : « Mon cœur bat à gauche », explique l’assesseur coupable

    Un jeune assesseur du Brandebourg a reconnu avoir fraudé lors des élections communales [26 mai 2019] dans le Brandebourg. Selon l’enquête, il a attribué lors du dépouillement plusieurs voix AfD aux Verts. Il assure avoir falsifié au moins 50 voix.

    Comme motif pour cette fraude, le jeune homme a avancé ses opinions politiques. « Mon cœur bat à gauche », a-t-il déclaré […] Il n’a pas pu supporter que le parti populiste de droite ait obtenu une adhésion aussi forte. […]

    (Traduction Fdesouche)

    Focus

    https://www.fdesouche.com/1252203-fraude-electorale-en-allemagne-mon-coeur-bat-a-gauche-explique-lassesseur-coupable

  • Italie : vers une coalition sociale-démocrate étoilée.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Les populistes en peau de toutou du Mouvement 5 étoiles qui ont goûté aux joies des privilèges et au faste des palais nationaux, sont évidemment prêts a tout pour conserver le pouvoir y compris s'allier avec la sociale démocratie.
    Ceux qui en France rêvent encore de possibles convergences entre les Insoumis et les nationaux doivent enfin rompre avec leurs chimères. Les pourris de la gauche supposée rebelle reviendront toujours à ce qui est leur famille de raison sinon de cœur. C'est une question de gènes, pour ne pas dire une question d'odeur. Asinus asinum fricat...
    Salvini finira par gagner. C'est écrit et ne se discute pas. Ce sera dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais son arrivée aux responsabilités est inéluctable. Et plus l'attente sera longue, plus les solutions à mettre en œuvre devront être radicales.
    Pour la France et les Français, c'est malheureusement en années qu'il nous faut compter. Mais notre temps viendra.
    Et quand il sera venu, ce n'est pas en termes de réformes que nous exprimerons, puis appliquerons sans que notre main ne tremble les éléments impératifs de notre politique. Ce sera en termes de révolution nationale.

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