Voici ce que révèle l’affaire Mila qui décidément marque une étape dans la conquête musulmane, dans la soumission des élites et maintenant dans celle de 50 % du peuple de France.
Zekri, président du CFCM, confirme l’appel au meurtre sans que personne ne s’y oppose.
Ce fanatique haineux, représentant la communauté musulmane de France, s’est autorisé à cautionner l’appel au meurtre en affirmant publiquement que Mila l’avait bien cherché.
« Cette fille sait très bien ce qu’elle fait. Qui sème le vent récolte la tempête ».
Bien cherché quoi ?
La mort, bien sûr, que lui ont promise les barbares musulmans sur les réseaux sociaux !
Personne pour lui faire fermer sa gueule.
La menace est telle, elle est tellement crédible, prégnante, avérée, que le gouvernement a été obligé de placer Mila et sa famille sous protection policière.
Et pourtant, personne pour faire fermer la gueule de Zekri et de tous les musulmans avec lui. Personne pour lui intenter un procès pour incitation au meurtre.
Personne pour arrêter net l’appel au meurtre rituel.
Voilà où nous en sommes en France.
Maintenant, le premier des musulmans peut s’autoriser à appeler au meurtre rituel sans que rien ne se passe.
Le gouvernement impuissant.
L’affaire Mila révèle que le point de non-retour a été franchi.
Il y a désormais tout lieu de penser que l’affrontement est inévitable.
Nous n’y échapperons pas.
Martin Moisan
Impuissant à lutter contre la conquête musulmane, qu’au contraire il favorise par tous les moyens, impuissant à contrer l’arrogance musulmane ; le pouvoir républicain est incapable de faire taire l’appel au meurtre.
Impuissant dans toutes ses fonctions régaliennes, le pouvoir est incapable de protéger Mila, incapable de la scolariser normalement, incapable de faire respecter les lois de la république à l’école, incapable de s’opposer à la prise de contrôle des musulmans sur les établissements scolaires, où désormais règne la charia.
Les masques de la taqîya sont définitivement tombés.
Par ses déclarations publiques, le président du CFCM a définitivement assumé l’intention musulmane de nous imposer la charia.
Pour la première fois le masque de la taqîya est tombé, révélant que les conquérants en étaient arrivés à un tel point d’avancement dans leur entreprise qu’ils n’avaient plus besoin d’avancer masqués.
Cela représente pour eux une étape majeure.
Et pour nous que le point de non-retour est franchi.
Les masques des soumis sont définitivement tombés.
Le président de la République, la quasi-intégralité du gouvernement, la gauche et la droite républicaines, les francs-maçons, les tenants de la laïcité, les féministes, les associations et groupes de pression LGBT, la quasi-intégralité du monde politique, le monde de l’éducation, les syndicats enseignants, Fourest, de Haas, Autain, le monde judiciaire, le monde des arts et des médias, les grandes voix, les grandes consciences, la LDH, les défenseurs des droits de l’homme, les ligues de vertu diverses et variées ; tous les masques sont tombés.
Tous se sont écrasés devant la loi imposée par les musulmans.
Tous se sont couchés.
Tous se sont soumis.
Pire, emboîtant les pas du président du CFCM, certains, dans un excès d’empressement dans la soumission, ont même déclaré que Mila l’avait bien cherché.
Dont des femmes, dont des femmes de gauche.
Pire, la ministre de la Justice a publiquement remis en cause le droit au blasphème et un procureur a failli mettre Mila en examen.
Une honte. À part quelques voix dans la fachosphère, personne ou presque n’est monté au créneau pour prendre la défense de cette jeune fille menacée d’être enterrée vive, de mort, de viol, de brûlure à l’acide.
Comble du comble, certains en sont même à considérer que si des voix dans la fachosphère viennent au soutien de Mila, cela confirme qu’elle n’a que ce qu’elle mérite.
L’intelligentsia française quasi intégralement soumise.
À quelques très rares exceptions près, toute l’intelligentsia française a abandonné sa foi républicaine et s’est soumise en bloc à la loi des musulmans.
Toute l’intelligentsia française s’est aplatie devant l’islam et devant la loi coranique.
50 % des Français contre le droit au blasphème. En fait déjà soumis à la charia.
Un récent sondage Ifop commandité par Charlie Hebdo nous apprend que 50 % des Français se déclarent défavorables au blasphème.
En fait, bien que la question n’ait pas été posée de cette manière, il faut comprendre : défavorables à toute critique de l’islam.
En effet, à part quelques cathos, plus personne en France n’est défavorable au blasphème contre le catholicisme.
Pareillement pour le judaïsme et pour les autres religions minoritaires pour lesquelles la question est sans objet.
Par conséquent, l’islam est la seule religion pour laquelle cette question se pose.
Et c’est donc bien à l’islam et à lui seul que se soumettent ceux qui s’opposent au blasphème.
Résumons.
- Appel public au meurtre rituel lancé par le premier représentant de la communauté musulmane de France, sans aucune réaction de l’État,
- Conquête musulmane tellement avancée que le premier des musulmans peut s’autoriser a abandonner la taqîya pour imposer la loi coranique à visage découvert,
- Quasiment toute l’intelligensia soumise à la charia et opposée au blasphème contre la religion musulmane,
- Un pouvoir soumis à la mainmise des musulmans sur l’école,
- 50 % de la population française opposée au blasphème contre l’islam et donc déjà soumise à la charia.
Il y a désormais tout lieu de penser que l’affrontement est inévitable.
Nous n’y échapperons pas.
Martin Moisan