On ne peut pas mieux résumer la situation déplorable que connaît notre pays !
Vous n’aurez pas ma haine !
Pourtant, beaucoup de français ne semblent pas avoir enregistré cette évidence dans leur disque dur. Comme les parents de cette gendarmette de 25 ans, Mélanie Lemée, tuée par accident volontaire d’une racaille multirécidiviste.
Je cite brièvement leurs propos, sous anesthésie du pape François : « Avec la haine, on n’avance pas. Nous portons les valeurs du vivre ensemble. Je n’ai pas de jugement à porter sur le meurtrier. Ce qui est sûr c’est que sa vie est fichue ».
Il est certain, que si la haine est mauvaise conseillère, elle peut quelquefois se comprendre et se justifier, surtout quand l’opinion en arrive à banaliser le crime, qu’elle l’oublie trop vite et que la Justice ne punit plus.
Il ne reste alors que la haine contre le coupable.
Quant aux « valeurs du vivre ensemble »; où sont-elles ces valeurs ?
Tous les jours, nos compatriotes se font agresser, dépouiller, violenter, insulter et aussi massacrer par des allogènes, sans que les médias n’en disent un mot.
Tout en transformant ces exactions en simples incivilités.
Peut-être, ces parents aux bons sentiments, vivent en dehors de notre société (de sauvages en liberté), dans un petit village isolé de la Normandie profonde.
Le vivre ensemble, dont on nous rebat les oreilles, depuis des années est déjà difficile à réaliser entre gens qui se ressemblent par la façon de vivre, par la culture, la civilisation, les mêmes croyances etc…
Comment espérer la trouver entre des populations qui vivent dans le même pays, mais qui ne se comprennent pas, par la mentalité, le caractère, les mœurs et qui se croisent dans la rue, sans la moindre sympathie réciproque.
Des gens qui ne respectent pas, la plupart du temps les traditions du pays d’accueil et qui traitent les français de racistes, alors que par leurs comportements, ils font tout pour qu’ils le deviennent.
Je pense surtout au clan Traoré, qui veut vivre ici comme en Afrique, tout en réclamant le beurre, l’argent du beurre et la fermière par-dessus le marché.
Et penser sérieusement que la vie du meurtrier est finie après cet acte odieux est bien naïf.
A 22 ans, il a encore toute la vie devant lui.
Peut-être, son crime sera requalifié en accident sans intention de tuer ?
Peut-être, sortira-t-il de prison, dans un an, ou bien portera-t-il un bracelet électronique, avec obligation de pointer tous les jours au commissariat.
Ensuite, il sera libre de reprendre son trafic de drogue ou de fréquenter la mosquée Salafiste du quartier.
N’attendez pas de remords de la part de ce genre d’individu.
Dans leur mentalité, on ne pleure pas la mort de quelqu’un qui n’est pas des siens.
Et de toutes façons, quand on est capable de foncer délibérément sur quelqu’un, avec une voiture, pour essayer de s’enfuir, c’est qu’on est capable de tuer sans état d’âme.
Alors je trouve, que les français sont très gentils, qu’ils ont une patience à toute épreuve et une tolérance pour les étrangers qui se comportent mal, digne d’admiration.
Mais assez de marches blanches, assez de bisounours, assez d’excuses.
Des actes forts, et comme disait Pasqua (ex-ministre) « LA PEUR DOIT CHANGER DE CAMP ».
Et quand un micro est tendu à des témoins, à des parents, à des amis qu’ils en profitent pour hurler leur colère: Cette immigration qu’il ne faut pas citer, elle tue et nos élus, par leur idéologie mondialiste, par leur lâcheté et leur laxisme, en sont responsables depuis 40 ans.
Assez de pleurnicheries, comme en classe de maternelle.
Madame, Yacine, il est méchant avec moi.
Ne t’en fais pas mon petit, je vais le gronder …
« Les traîtres, sont ceux qui ont transformé le pays où il faisait bon vivre, en pays sous tranquillisant, au nom du mensonge et du vivre ensemble ». (Yvan Rioufol).
Onyx