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Ce lundi 27 juillet, la loi éthique, mise entre parenthèses pendant plusieurs mois du fait de la crise sanitaire, revient à l'Assemblée nationale en seconde lecture.Alors que le Sénat les avait supprimés, trois articles particulièrement scandaleux ont été réintroduits par les députés de la Commission spéciale chargée de la finalisation du projet.1 - Le remboursement par la sécurité sociale de la procréation assistée pour toutes, femmes seules et couples homosexuelles compris même si la démonstration de leur infertilité naturelle n'a pas été faite. Le coût pour les contribuables en sera très important. Le coût moral pour la Nation, incalculable.
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Sur LCI, Michel Onfray : Une bonne répartie et de bons arguments ici.
"Je souhaiterais qu'on arrête à chaque fois qu'on m'invite, alors marine lepen vous en êtes où?", "à chaque fois qu'on pourrait valoriser mon propos on me dit tiens marine lepen", "croire au projet français, c'est un pays avec une culture, une cuisine, une existence de France", "melanchon n'a qu'une envie c'est d'arriver au pouvoir", "quand on fait la revue avec stephane simon on veut faire sans publicité ni argent public ce sont les abonné qui financent la revue", "on a un peu plus d'un millions ça nous permet 2 ans de réserve pour la revue", "on m'a traité de fascistes alors que la revue était invisible".
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François Villon l’éternel poète des enfants perdus 2/2
Le monde de Villon est encore celui des trahisons amoureuses, des amis qui ne lui ont jamais apporté d'aide, de sa vieille mère, des misérables, des geôliers, des indicateurs de police, des juges, des bourreaux, des cadavres qui se balancent à la potence. Si le personnage principal est toujours le «povre Villon» en personne, les états d'esprit et les thèmes de ses poèmes sont sa jeunesse enfuie, le temps qui passe, et le Destin. En un mot : la Mort, cette mort dont Villon, à la fois par angoisse et par fiction littéraire, décrit partout et toujours l'ombre macabre qui s'avance. Oui, « tout va aux tavernes et aux filles ». Oui, la Mort menace. Mais partout, aussi, François Villon ricane ou gémit, tantôt en riant et tantôt en pleurant. Il s'amuse et nous amuse fort à rédiger, à sa propre intention, des épitaphes (Testament, CLXXVII-CLXXVIII) à la fois tragiques, burlesques, auto-ironiques. Auto-ironiques comme la Ballade des pendus, son poème le mieux connu, mais qui fut de toute évidence écrit, lui aussi, après 1463.
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Isère : Un maire demande à des jeunes d’arrêter de jeter des pétards, il est agressé et violemment frappé
Le maire de Miribel-les-Échelles, une petite commune d’Isère, intervenait pour faire cesser des jets de pétards ce lundi soir. Il a été agressé et blessé par plusieurs jeunes.
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Présent d'aujourd'hui présente le nouveau numéro de Synthèse nationale
Dans sa livraison datée d'aujourd'hui, notre confrère et ami le quotidien Présent commente fort aimablement, sous la plume d'Alain Sanders, le numéro d'été de Synthèse nationale. Rappelons que vous pouvez trouver Présent dans les maisons de la presse ou en le commandant sur son site cliquez ici.
SYNTHÈSE NATIONALE
Macron (et sa tronche de gamin capricieux) fait la une du numéro estival de Synthèse nationale avec ce commentaire : « L’heure des comptes ». Roland Hélie s’emploie à dresser la longue liste des factures : laissés pour compte du mondialisme, gestion antérieure des retraites, mondialisation à outrance, immigration sauvage, etc. Mais, là encore comme à son habitude, Roland Hélie ne cède pas au désespoir (qui en politique est, on le sait depuis Maurras, une sottise absolue). Il écrit : « Tout n’est pas perdu. » Et il dit pourquoi. A lire aussi, dans ce numéro très dense, l’incroyable récit de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, le Marquis, qui a été hospitalisé plusieurs semaines à Bichat. Ce n’était pas pour le coronavirus et c’était avant la pandémie, heureusement pour lui, mais ce qu’il raconte fait se dresser les cheveux sur la tête ! Qu’il soit rentré vivant de cette épreuve tient du miracle. Hospitalisé d’urgence par les pompiers, le 13 décembre dernier, il s’est ainsi retrouvé dans un monde kafkaïen et avec des compagnons de chambre pour le moins exotiques (et les familles des susdits pour qui, manifestement, les règles hospitalières élémentaires ne sont pas faites…). Que celui qui prétend que le Grand Remplacement est un fantasme séjourne dans un hôpital – et pas seulement Bichat – et on en reparlera… (Synthèse nationale, 9, rue Parrot, 75012 Paris.)
Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici
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François Villon l’éternel poète des enfants perdus 1/2
Si l'on ne saurait faire remonter la naissance de la littérature française à François Villon, il est évident qu'il s'est agi, avec lui, d'une renaissance ou d'un nouveau départ tant son verbe, sa prose, son rythme convoquent des données spirituelles inhérentes à la France. L'écrivain Olivier Mathieu le connaît mieux que quiconque : c'est son frère !
François Villon est une immense énigme littéraire. C'est sans doute pour cela qu'il a été l'un des rares, avec Homère et Shakespeare, à voir son existence mise en doute par certains chercheurs universitaires.
Mais, s'il est exact que plus de cinq cents ans ont passé, et que les documents d'époque qui le concernent ne sont pas plus d'une dizaine, s'il est vrai aussi qu'il a soigneusement brouillé les pistes dans cette autobiographie déguisée qu'est son œuvre, il n'en reste pas moins que le plus grand poète du Moyen-Âge français est incroyablement présent.
Les livres scolaires le prétendent né en 1431. On propose aussi, parfois, 1429. Ces hypothèses, on les a principalement extrapolées de la datation donnée par Villon lui-même dans ses poèmes. En vérité, la date et le lieu (Pontoise ?) de sa naissance sont inconnus, ou plutôt douteux.
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Islam : le règne par le sabre
De Constance Prazel sur Liberté Politique :
Vendredi 24 juillet 2020 se tenait en les murs de la basilique Sainte-Sophie, consacrée par le patriarche de Constantinople en l’an 562, la première prière musulmane organisée depuis la décision du président Erdogan de la transformer en mosquée, revenant par là sur la décision du réformateur Mustapha Kemal d’en faire un musée « offert à l’humanité » en 1934. Devant plusieurs milliers de musulmans, dans une cérémonie retransmise en directe, le président de la République de Turquie, Erdogan, coiffé d’une calotte, a lu la première sourate du Coran, avant de laisser retentir l’appel à la prière des quatre minarets.
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Face à l’ensauvagement qui se répand, la colère populaire gronde
Les massacres d’innocents qui se multiplient avec les actes criminels de dévastation et de profanation de l’espace public culturel et chrétien français, perpétrés par une minorité de lâches sauvages, frustrés et hostiles aux valeurs de la France, seront-ils les gouttes de sang qui feront déborder le vase de la colère citoyenne ?
Les habituels commentaires officiels minorants et pusillanimes tentent de faire passer ces assassinats pour des accidents imprévisibles ou des incivilités regrettables, voire pour des revanches sociales légitimes. Ils évoquent systématiquement la tristesse et une fausse compassion. Or, il ne s’agit plus de subir mais de réagir par la force d’un sentiment profond, intense et tabou dans le registre politicien : la colère, une saine et sainte colère qui rejette l’inexcusable et refuse l’inévitable, qui condamne et lutte contre ces actes délibérés.
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Nantes et le pseudo migrant, vrai clandestin/profanateur et criminel : d'accord avec Jean Messiha...
Jean MESSIHA#cathedraledenantes Cet article nous révèle une vérité insoupçonnable et consternante sur l'immigration clandestine L’@Eglisecatho protégeait dans ses locaux un migrant dont elle savait la situation illégale depuis 2019. Pour la remercier il y a mis le feu
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Archéologie. Une découverte extraordinaire aux abords de Stonehenge
Des archéologues britanniques ont annoncé ce lundi avoir fait de nouvelles découvertes autour du site mystique et mythique de Stonhenge. Des découvertes qui pourraient nous apporter bien des lumières sur la nature de l’environnement de l’époque et sur la civilisation qui, il y a cinq millénaires, foulait le sol de l’actuel comté du Wiltshire.
Il s’agit d’une structure préhistorique « unique », formant un cercle de plus de deux kilomètres de diamètre a annoncé lundi 22 juin l’université écossaise de St Andrews. « Selon les archéologues, ces excavations auraient marqué les limites d’une zone sacrée à l’époque néolithique, associée avec l’apparition des premiers agriculteurs en Grande-Bretagne, et parfois à l’érection de très imposantes structures rituelles » indique Le Monde.
Un reportage de la BBC ci-dessous :