Alors que la violente émeute perpétrée samedi soir à Rillieux-la-Pape par plusieurs dizaines de voyous ethniques encagoulés et armés venus des cités voisines islamisées ciblait très clairement les chrétiens et les représentants de l’autorité de l’Etat français, les grands médias, surtout audiovisuels, font aujourd’hui tout leur possible pour minimiser cette affaire et présenter ce véritable « acte de guerre » contre la France et les Français de souche comme un banal fait divers !
L’église Saint-Pierre-Chanel prise pour cible
Cette nouvelle nuit de violence, qui nous donne hélas un avant-goût de ce qui attend notre pays dans les années à venir si l’Etat ne se décide pas enfin à frapper très fort, a commencé vers 21 h 30. Heure à laquelle les pompiers et les policiers, appelés pour des feux de voitures dans plusieurs quartiers de Rillieux-la-Pape, ont été immédiatement attaqués et bombardés de boules de pétanque et autres projectiles par des dizaines de « jeunes » venus des cités ethniques de la banlieue lyonnaise. Plus révélateur encore : au cours de la soirée, un groupe d’une dizaine de « jeunes », « vêtus de noir et encagoulés afin de ne pas être reconnus par les caméras de vidéoprotection », précipitait une voiture contre la façade de l’église Saint-Pierre-Chanel et y mettait le feu, avec l’intention évidente d’incendier et donc de détruire ce symbole de notre foi chrétienne. Un acte bien sûr signé, que les grands médias, pourtant si prompts d’habitude à hurler à l’islamophobie dès qu’une mosquée fait l’objet de dégradations, s’efforcent lamentablement aujourd’hui de présenter comme ne visant « pas spécialement les chrétiens », voire… accidentel ! Une version pourtant démentie par le maire (LR) de Rillieux-la-Pape, Alexandre Vincendet, qui, dans un communiqué musclé publié dimanche, a rapporté que l’ensemble de ces « actes de séparatisme […] intolérables, inqualifiables et révoltants » avaient été commis par « un commando criminel », agissant « de manière coordonnée » dans divers endroits de la ville. Bref, par ce que l’on pourrait presque qualifier une « armée » des banlieues islamisées et immigrées.
« S’attaquer à la religion du Blanc »
Depuis, une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon, qui a confié à la Sûreté départementale la tâche d’identifier les auteurs de ces violences. Et, devant la gravité des faits, Darmanin s’est aussi bien sûr rendu sur place lundi soir pour y « condamner la tentative d’incendie » de l’église Saint-Pierre-Chanel et « manifester sa solidarité avec la ville et les catholiques » contre… « tous les actes antireligieux » ! Une condamnation bien politiquement correcte puisque, en l’occurrence, les seuls religieux visés sont chrétiens. Restent enfin ces précisions très intéressantes apportées lundi par Arnaud Lacheret, l’ancien chef de cabinet du maire de 2014 à 2017, dans le Figarovox : en effet, expliquait cet enseignant-chercheur, « allant vers une défaite certaine, certains militants [de gauche, NDLR] n’ont eu de cesse de s’adresser à la frange la plus radicale des jeunes en leur répétant que le maire était “raciste” ». Or, ajoutait-il, « que faire quand on est ultra-minoritaire et qu’on est gavé d’idées selon lesquelles il faut combattre ce maire blanc et raciste ? Il faut s’attaquer à la religion du Blanc, à ce qui la symbolise, et donc tenter d’en faire disparaître le stigmate dans le quartier populaire ».
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 6 octobre 2020