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Statistiques raciales : le tabou français

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Pendant des décennies, les lobbies et les politiciens immigrationnistes ont menti aux peuples ouest-européens et organisé une immigration de masse de populations de couleur, main d'œuvre bon marché pour le patronat capitaliste négrier, tout en niant son ampleur.

Mettant en lumière leurs mensonges sur la réalité de cette immigration non-blanche de peuplement en Europe - terre sacrée des Blancs -, les statistiques raciales constituent donc un cauchemar pour ces lobbies et ces politiciens, notamment en France. Karl Marx s'était lourdement trompé dans ses analyses historiques : la seule science «infrastructurelle» en Histoire, mettant en mouvement les dynamiques historiques, ce n'est pas l'économie, mais la démographie. Tout changement historique de fond a été précédé quelques années auparavant par un bouleversement démographique (baisse de la population, à cause de guerres, d'épidémies ou de phases de dénatalité ou, au contraire, augmentation rapide de la population de «peuples jeunes»). Tous ces bouleversements démographiques étant liés à la lutte pour l'espace vital des peuples, conquête ou défense de l'espace... Comme le disait si bien le Dr Claude Soas, le vrai moteur de l'Histoire, ce n'est pas la « lutte des classes », mais la « lutte des races ».

La fin du mythe national français

En science politique, les définitions de l'identité politique d'une communauté sont multiples nationalité, citoyenneté, race, langue, religion. De par son histoire politique «républicaine» et égalitariste (récente à l'échelle historique, à peine plus de deux siècles), la France a choisi une définition juridique et «civique» de son identité nationale, fusionnant nationalité et citoyenneté on est Français ou on est étranger (c'est-à-dire «non-Français»), quelle que soit son origine raciale, culturelle ou religieuse. Ainsi sur le territoire français, il y a des Français blancs (indigènes en France) et des Français de couleur (Ultramarins et colorés en tout genre, issus de l'immigration extra-européenne postcoloniale de peuplement); face à des étrangers, qu'ils soient blancs (Italiens, Espagnols, Portugais, Est-Européens) ou colorés (millions d'immigrés récents issus du Tiers Monde, «migrants», «sans-papiers» qui n'ont pas la nationalité française. Dans ses statistiques de population, l'INSEE ne fait donc pas de différences entre catégories raciales (comme aux USA, en Grande Bretagne, en Israël, dans l'Afrique du Sud de l'Apartheid, etc.), où l'origine ethnique et/ou raciale figure dans les documents d'identité mais entre catégories juridiques, entre « Français » et « étrangers ».

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Mais cette classification officielle est artificielle en termes civilisationnels et ne tient absolument pas compte des vraies réalités de groupes de populations et de leurs dynamiques depuis les années 1960, mais surtout 1970 (décret du 29 avril 1976 qui reconnaît le droit au «regroupement familial» pour les étrangers, à l'époque de Giscard Président et de Chirac Premier ministre), la proportion de Non-Blancs augmenta inexorablement en France. Tenir compte des statistiques raciales, c'est donc changer de paradigme et mettre fin au mythe politique égalitariste et assimilationniste français, le «mythe républicain».

Le cauchemar des lobbies immigrationnistes

En fait, le refus des statistiques raciales, et le fait de continuer à classer la population uniquement entre «Français» et «étrangers», permet de camoufler la réalité du Grand Remplacement en cours (et qui s'accélère depuis les années 2000) sur notre territoire en effet, la proportion d'étrangers en France (environ 6,5 à 7% de la population française) est le même qu'en 1936, et cet argument (ressassé par les démographes de gauche, comme Hervé Le Bras) doit rassurer la population française, sur le mode : « On n'est pas envahi, voyons, la proportion d'étrangers reste stable en France, affirmer le contraire est une manip' d'extrême droite ! »... Mais cet argument est faux, voire criminel, pour deux raisons complémentaires : c'est vrai qu'en 1936, il y avait 6% d'étrangers, mais à cette époque, tous les étrangers étaient européens (Italiens, Belges, Polonais...), aucun n'était de couleur ce qui n'affectait pas le substrat biologique et racial français. Aujourd'hui, de par le droit du sol, la natalité différenciée entre Blancs et Non-Blancs au profit de ces derniers, le regroupement familial, les naturalisations et le métissage, la majeure partie des Non-Blancs est de nationalité française (Ultramarins, «Beurs», enfants d'Africains nés en France...) et ils ne sont donc pas classés «étrangers» dans les statistiques. Une estimation personnelle, basée sur des travaux universitaires anglo-saxons (en Amérique du Nord ou en Grande-Bretagne, parler de catégories raciales est normal), des recoupements épidémiologiques (dépistage de la drépanocytose, qui n'affecte pas les Blancs) ou des statistiques partielles françaises (dont celle de Jean-Paul Gourevitch) pourrait résumer la situation.

On prend là la vraie mesure du phénomène. La réalité est crue : oui, le Grand Remplacement (colonisation de peuplement par des populations de couleur remplaçant progressivement les Blancs, indigènes, sur leur propre sol d'Europe, comme les Américains blancs ont remplacé les Amérindiens indigènes en Amérique du Nord) est en cours, et s'accélère. Pouvoir définir les choses avec de vrais outils, c'est pouvoir prendre conscience du problème, pour tenter de le résoudre. Et c'est là le vrai cauchemar des élites et lobbies immigrationnistes : ils ont organisé l'immigration de couleur pour briser les Blancs et ils nient l'ampleur du phénomène, pour éviter la colère des autochtones. Les statistiques raciales mettent en lumière ce mensonge et cette imposture. Les statistiques raciales, le tabou français...

par Klaas Malan Réfléchir&Agir N°66 Été 2020

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