Pieter Kerstens
"Ils ne passeront pas"... Ce mot d’ordre a été lancé par Dolores Ibarruri, « la Pasionaria », le 19 juillet 1936 du balcon du Ministère de l’Intérieur à Madrid : « le Parti Communiste vous appelle au combat, pour écraser définitivement les ennemis de la république et des libertés populaires. NO PASARAN ! »
Si le docteur Micron s’inspire du passé et reprend à son compte ce slogan, la situation n’a rien de comparable, parce qu’à cette époque la guerre civile faisait rage en Espagne, ce qui n’est pas (encore ?) le cas en France. Il aurait mieux fait de se souvenir du message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014, par Abou Mohamed El-Adnani* qui avait déclaré à l’attention des musulmans : « la meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »
Et depuis six ans, ce ne sont pas les exemples qui ont manqué en France et ailleurs en Europe.
Les intellectuels, les politicards de tous poils et la presse aux ordres nous manipulent, nous mentent et usent de la désinformation au nom du politiquement correct, du padamalgam et du vivre ensemble. Curieusement, les assassinats, les meurtres et les attentats commis contre les européens au nom d’Allah, ne sont nullement exécutés par des individus « gentils », « serviables », « bons pères de famille » ou parfaitement intégrés. Tous sont des délinquants multirécidivistes, bien connus de la police et sont en forte majorité issus de l’immigration, comme l’attestent les rôles que l’ont peut consulter aux audiences des tribunaux.
L’insécurité n’est pas un « sentiment », mais une réalité et un constat depuis fort longtemps, niés par la classe politique, malgré la loi du 14 novembre 1996 qui avait créée un Observatoire national des Zones Urbaines Sensibles, concernant 4,5 millions d’habitants. Cette loi fut supprimée et remplacée le 1erjanvier 2015 par les Quartiers Prioritaires de la politique de la Ville (Q.P.V) soit 1296 quartiers de plus de 1.000 habitants, nécessitant un Kärcher.
Le boomerang leur revient en pleine figure !
De Bernard Tapie à Najat Vallaut-Belkacem, des dizaines de milliards d’euros ont été dépensés dans les Zones de Sécurité Prioritaires, au nom de la Politique de la Ville, par des ministres imbéciles qui pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers. Et depuis des décennies, les instances de l’Education Nationale sont évidemment responsables de la situation dans les écoles, collèges, lycées et universités. A cause de l’égalitarisme et d’un multiculturalisme enrichissant, le niveau des connaissances n’a cessé de baisser, comme l’atteste le livre de J-P Brighelli, « la fabrique du crétin » (écrit en 2005), à tel point que plus de 25% des étudiants universitaires ne maîtrisent ni l’écriture ni la compréhension d’un texte simple…à défaut de pouvoir penser et d’exprimer une idée avec un vocabulaire adéquat.
La violence existe dans l’école depuis « la guerre des boutons » et n’a fait qu’empirer au cours des années par l’apport de communautés étrangères, dont les agissements sont minimisés par les rectorats et passés sous silence par le corps éducatif par crainte de représailles ou par lâcheté. On en voit le résultat maintenant.
Il faut en finir avec les dogmes et l’idéologie socialaud-marxiste qui ont ruinés l’enseignement depuis trop longtemps, mais favorisés l’expansion de l’Islam dans nos banlieues.
* De son vrai nom Taha Sobhi Falaha, né en 1997 à Binnish dans le gouvernorat d’Idleb en Syrie. Co-fondateur du Front al-Nostra en 2012, il rallie l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL) en 2013. C’est lui qui annonce la restauration du califat le 29 juin 2014 et la désignation d’Abou Bakr al-Baghdadi comme « calife ». Porte-parole et chef militaire, Al-Adnani devient « Ministre des attentats » de l’Etat Islamique à partir de 2014, à la tête d’une cellule secrète « l’Amniyat ». Il est tué le 30 août 2016 dans le gouvernorat d’Alep par un missile tiré par un drone.
NDLR SN : "Ils ne passeront pas"... Macron aurait dû réfléchir et se montrer plus prudent avant de lancer cette phrase car l'exemple n'est pas très heureux et peu même laisser craindre le pire. En effet, quelques mois après cette harangue restée célèbre de la furie communiste madrilène, les troupes nationalistes du Général Franco et les phalangistes "passèrent" et, en 1939, libérèrent l'Espagne de la dictature sanglante imposée par les "républicains"...
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/10/19/ils-ne-passeront-pas.html